Chapitre X : Du Grand Spectacle

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J'ai cogité durant la semaine et finalement pourquoi ne pas tout simplement revenir à la bonne vieille méthode ?

Voler, c'est ce que j'ai toujours réussi à faire .                                  
Tromper les autres et me faire passer pour quelqu'un que je ne suis pas, pour cela je sais où me rendre .

Le gala de charité c'est ce soir , le beau monde de Gotham y sera présent et moi aussi.

Voler un portefeuille ou un collier n'est pas compliqué, de toute manière vue la foule présente personne ne me remarquera ni même Jim et Leslie.

Pour l'occasion je me suis donc faite livré une jupe courte noire ainsi qu'un haut blanc assortit d'une noeu noire au niveau du col avec de beaux escarpins .

Cette tenue est plutôt simple mais me permettra de passer inaperçue.

Pour ce faire , je porte également un masque en dentelle noir afin que personne ne reconnaisse mon visage.

Mes cheveux eux sont relevés telle ma coiffure habituelle qui est une petite queue de cheval ainsi que le reste de mes cheveux détachés, ce qui laisse entrevoir mes mèches violines .

Il était 19h30 lorsque je montai dans le taxi pour me rendre au gala, revenons maintenant à la réalité qui ait que je suis coincé dans ce même taxi depuis 1 heure car la route que le chauffeur voulait emprunter est bouchée.

Le chauffeur s'énerve et lance des injures à tout vent, entre deux injures de sa part mon portable sonna.

Lacée de son comportement, je paye sa course en vitesse et sors au plus vite de la voiture.

C'est Jérôme .

- Que veux-tu Rouquin ? 

- Déjà Bonsoir , ensuite tu m'appelles pas comme ça et pour finir je veux savoir où tu aies.   Ton vieil oncle est venu voir mon spectacle mais pas toi. Tu m'expliques ?

- Pardonne-moi Jérôme. Je ne suis plus loin de la salle, mon taxi à eux un léger souci.

J'arrive enfin, des gens courent et d'autres crient.

La police, les ambulances et les journalistes se pressent auprès des forces de l'ordre.

Se devait vraiment être un beau spectacle, Jérôme a fait du bon travail.

Mon téléphone émit de nouveau un bruit, cette fois Jérôme m'a envoyé un message

Je le lis en vitesse .

- Rejoins-moi derrière le bâtiment, il y a un escalier et une porte de sortit au bout.Dépêches-toi Beauté.

Les lumières des gyrophares m'éblouissent et je fais de mon mieu pour "courir" avec mes talons derrière le bâtiment sans me faire repérer .

Dans mon élan, je dégringole les escaliers glissant pour finalement me faire rattraper par Jérôme qui se tient juste en bas aux côtés d'une blonde .

- Toujours aussi gauche , se moqua Jérôme .

Nous nous mirent à nous dévorés du regard en souriant narquoisement lorsque la blondinette nous ramena sur terre.

- Deux Barges, murmura-t-elle  Vous deux là, vous continuerez vos petites affaires plus tard la ont à plus le temps .  Jérôme ?

- C'est moi ! , dit-il  fièrement .

- Te voir comme ça est très dérangeant.

Barbara passa devant nous et remonta les escaliers en s'appuyant contre le mur, Jérôme lui, attrapa mon poignet ( toujours avec délicatesse) et nous imitèrent la blondinette.

Nous arrivâmes dans une ruelle avec pour seul éclairage un lampadaire, une voiture noire aux vitres teintées nous attend.

Jérôme m'ouvrit la porte et m'invita à m'asseoir, je pris le temps de regarder autour de moi tandis que la voiture démarra .

L'intérieur est très luxueux, du cuire rouge ornant les sièges jusqu'au distributeur automatique de champagne .

Je suis assise à l'arrière de la voiture, au milieu pour être plus précise .

À gauche se trouve Jérôme qui depuis le début du trajet se vante de son spectacle de magicien tout en jouant avec quelques mèches de mes cheveux.

Et à droite de moi , Barbara qui elle reste silencieuse et regarde par la vitre semblant ennuyé de la conversation que Jérôme entretient avec son ego et mon regard focalisé sur lui hochant la tête à tout ce qu'il dit .

Sur ce que j'ai compris, nous nous rendons chez Théo Galavan.

Un homme très riche et que j'ai déjà vu à la télévision lorsque j'étais encore à l'hôpital .

Je somnolais sur l'épaule de Jérôme, à moitié endormie je pus constater que le moteur de la voiture c'était arrêter .

- Bienvenu à la maison Beauté , dit Jérôme souriant de toutes ces dents .

Jérôme me tenait et m'aidait à me déplacer, je me sentais soûle tellement j'étais fatigué .

À vrai dire tous ce don je me souviens fût la faible lumière émanant du couloir, les draps noirs chauds et doux et la vue du rouquin poussant la porte de la chambre derrière lui.

Partenaires du crime  - Jerome Valeska [TERMINER]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant