Chapitre 6

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On traverse la ville qui est bien peuplé. On roule peu de temps avant d'arriver à la maison.

- Euh on va habiter ici ? Dis-je.
- Oui. Me dit Marc en souriant fièrement.
- Waouh, elle est magnifique !
- Oui j'en suis très fière.

Il descend de la voiture et commence à entrée les cartons dans la maison.
Je me retrouve seule avec mon père.

- Mais papa c'est des riches ?!
- Nan ma chérie c'est des gens aisés
- Ouais c'est bien ce que je dis.
- Il m'a dit qu'ils nous loger gratuitement.
- Ah sympa !
- Plutôt oui. Entre et trouve ta chambre pour y déposer tes cartons.
- Ok pap's.

J'entre dans cette baraque de fou. Il y a une piscine exposé plein sud, une maison immense, sa me change beaucoup de là où j'étais, on croirait une villa.
Je monte à l'étage pour voir où est ma chambre. Je traverse le couloir et je tombe sur un post-it écrit Jade dessus qui est coller sur ma porte. Je suppose que c'est ma chambre.
J'entre et tombe sur une immense chambre, le lit coller contre le mur face à la porte, un lit de princesse, avec des baies vitrées énormément grande qui donne vu sur la piscine, un dressing privatifs et une salle de bain incluse.
J'adore ma chambre.
Je redescends et je vais chercher mes cartons dans la voiture pour les ramener dans ma chambre. Je m'empresse de remplir mon dressing de toutes mes fringues et dispose toutes mes affaires un peu partout.
Une fois que j'ai fini je me dirige vers les escaliers pour descendre et rejoindre mon père en bas, mais je me rends conte en touchant mes cheveux que j'ai perdu ma boucle d'oreille. Je regarde par terre en fouinant un peu partout. Je la retrouve facilement vu que c'est des diamants, je la récupère, et, en me relevant, je percute quelque chose. J'ai pas le temps de voir que je comprends que c'est Raphaël.

- Salut toi ! Dit-il.
- Hey !

Toujours aussi beau. Il a tellement changé, il est sculpté, je le voit car il devait sortir de la douche, il tenait une simple serviette autour de sa taille.
C'est yeux vert étincelant reflété par le soleil me faisais craqué et avec ses cheveux brun en bataille, toujours aussi mignon.

- Ça va ? Dit-il sans gêne.
- Euh... Ou..oui et toi ?
- Oui, tu veux pas qu'on se parle plus tard ? Je suis juste un peu en serviette... Me dit-il avec un sourire crispé.
- Euh bien-sûr, oui, ta raison.
- A tout à l'heure.
- Euh ouais...

Et je reprends mon chemin un peu troublé.

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