Tu ne réponds pas quand on te parles, quand on te demandes ce qui ne va pas. Pourquoi ? Je crois le savoir.
Tu penses que les autres ne comprendrons pas. N'est-ce pas ? Que si ils comprenaient ils te ne le demanderaient pas. Que se sont des ignorants qui ferraient mieux de se taire et de se trouver une vraie occupation constructive. Oui, c'est ce que tu penses. Alors tu ravales fièrement tes larmes avant de monter dans le bus le matin, et tu ne t'autoriseras à les laisser sortir que le soir, quand personne ne sera là pour te juger. Toute la journée tu souris, mais tu souffres. Et personne, absolument personne ne le voit. Sauf moi. Et ça te fait chier. Pas vrai ?