Reste Gay Bordel !

Précaution délicatement vus.

Le lit s'abaisse d'un côté et clairement savoir que Damien est là. Il regarde les draps puis finit par se coller contre moi.

- Désoler de d'avoir réveiller douceur...  souffla-t-il dans mon cou avant de poser sa main contre ma hanches.

• • •

- Pas grave...  dort.

J'avais mal au coeur, pourtant je suis pas amoureux. On est juste amis je pense. Ma voix était froide tel mon corps. Sa main et son corps resta contre moi et il embrassa ma joue, elle s'enflamma à son contact.

- Bonne nuit douceur. Sa voix était mielleuse et douce, l'opposé de la mienne.

- Bonne nuit Dam'.

Je pouvais sentir son sourire contre la joue et il la lâcha. J'en veux plus ! Ses bras m'enroule et je sourit aussi, même si mon coeur me fait mal. Je somnole dans les bras d'un diable angélique. Je m'y sens si bien et à la fois si mal. Je l'entend ronfler doucement, même en dormant il ne veux pas me déranger. C'est si mignon et si guimauve à la fois.

~

Je me réveille,  toujours dans les bras de Damien. Il ronronne doucement, la tête sur mon épaule, il y a bavé aussi. Je tente de me lever doucement mais ses bras me retiennent plusieurs fois. J'essaye de passer la tête sous ses bras et j'embrasse son poignet de façon involontaire. Il lâche sa proie et me laisse me lever. Il est environ 10 heures et je suis pas fatigué, étrange. Je regarde mon bras gauche et je vois que le sang à bien coloré le bandage. Je décide donc de le changer et je marche à pas de loup vers la salle de bain. Pauline et Tom sont déjà levé, leurs lits sont vides. J'entre dans la salle de bain et allume la lumière qui m'aveugle quelques secondes puis je ferme la porte doucement derrière moi.  Je me met devant le miroir et je me lave rapidement, j'enlève le bandages avec précaution et je sers les dents de douleur, le sang et le bandages sont collés. Je finit de l'enlever et je passe ma main mouillé sur mon bras, enlevant le sang séché et me regarda dans le miroir tristement.

- Pourquoi ? demanda une voix.

Je sursaute et je me retourne cachant mes bras derrière moi, Damien me regardait, le visage colérique et son regard froid.

- De quoi tu parle Damien ? demandais-je comme si de rien n'était.

- Ne me prend pas pour un con ! Je t'ai vus ! Cria-t-il en me regardant méchamment.

Je garde le silence,  ne le regarde pas et reste dans cette position. Il s'approche, je recule, il s'approche encore, je recule encore,  il continue,  je continue aussi. Il avance toujours, je ne peux plus reculé, je suis contre le mur. Il leve ses mains vers moi.

- Ne me frappe pas ! Lâchais en un sanglot.

- Je ne vais pas te frapper...  Calme toi... Il avait sa voix douce, il me prit dans ses bras. Explique moi...  pourquoi ?

Je pleure et garde mes pensées pour moi même. Je ne veux pas qu'il s'inquiète, il doit s'en bat les couilles de moi de toute façon.

- Lâche moi... demandais-je.

- Soit tu me le dis, soit je raconte tout à ta mère.

- Tu ne le ferais jamais !

- Ne me tente pas Thomas !

Sa voix méchante m'avait clairement fait comprendre qu'il ne rigolait pas, qu'il le ferait s'il le faut. Je reste contre lui et il me câline.

- Explique moi... demanda encore une fois Damien en caressant mon dos avec délicatesse.

- Je me hais...  Personne ne m'aime...

- Tu a tout faux, une personne t'aime...

- Alors qui !?

- Reflechi idiot...

- Euh... je sais pas...

Il souleva mon menton et déposa de ses douces lèvres un délicat baiser sur les miennes. Il dira quelque secondes mais elles m'avaient semblé durer plus longtemps.