Film

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Je n'ose rien faire, il m'embrasse. Il stoppé et je continue, je caresse sa joue chaude et rougit. On se sépare doucement et je reste contre lui.

- Tu arrêterais pour moi ? Me demanda Damien en caressant mon épaule.

- Oui... j'arrêterais...

Il sourit et me câline, il regarde mes plaies et vient mettre du désinfectant dessus. Je sert les dents de douleur et il vas plus doucement, essaye de faire moins mal. Il applique un bandage sur mon bras et je le remercie.

- Un bisous et tu retourne au lit petit prince ! ajouta Damien en me serrant.

- Et si il veux pas ? demandais-je en embrassant le coin de ses lèvres.

- Alors le prince n'auras pas de papouilles de son roi !

Je ricane et vais dans le lit, je m'allonge et Damien vient se mettre contre moi.

- On reste secret ? ou on le montre ? Me demande Damien en caressant mon bras.

- Je sais pas...  choisit... 

- Secret pour l'instant et on se montreras quand on rentra okay ?

Il m'embrasse le cou et me caresse le torse. Ses mains se glissent sous mon pull, me réchauffant le coeur.

- Monsieur me caresse Beaucoup... avez vous une idée en tête ? Je plaque mes lèvres contre les siennes en souriant, me rapprochant de lui.

- J'aimerais bien que mon prince dorme sur son nounours d'amour...  car le prince est tous froid. Il caresse mon dos et j'en frissonne.

J'obéis, je me met sur Damien, il soupire un peu et me re-place bien.

- Pas sur cette partie...  À moins que tu me chauffe la !

- Ce serait mauvais de le faire la maintenant.

J'embrasse son cou,  m'amusant à le torturer doucement. Il grogne de plaisir et m'attrape les fesses avec douceur et une touche de sexualité. Je frotte mon genoux contre sa virilité et je me mors la lèvre en le voyant gémir de frustration.

- Tu a de la chance que c'est de la torture car sinon...  tu aurai pris cher vilain petit canard !

Je stoppé et je reste sur lui, ma tête sur son torse à écouter son coeur battre rapidement. Je passe mes ongles sur son bras,  tentant de calmer la rapidité de son coeur. Il s'endort avant moi, ses mains se frottent à mon dos, sous mon pull. Il caresse ma colonne vetebrale, me volant des dizaines de frissons et de frémissements.

~ ~

Je me réveille, suivit par Damien, décoiffé. Je suis sur le dos et Damien et sur moi, il ne m'écrase pas, il me câline. Je l'embrasse et son corps chaud se frotte à moi.

- Damien...  il est quel heure ?

- uhmm...  environ 14 heures...  pourquoi ?

- J'aurai aimer faire un truc à deux...

- comme quoi Thomas ?

- Je sais pas...  un film encore ?

- Pourquoi pas !

- Mais pas un...

- Film d'horreur ! J'en ai encore pleins !

- Mais... mais...  okay...

Je savais que j'aurai perdu à ce jeu avec Damien, il continua de m'embrasser mon cou. Frottant chaque partie de son corps contre le mien, il me faisait mordre ma lèvres de plaisir et de frustration.

Je me lève après que Damien me remette contre lui et j'enfile un jean noir et sa chemise. Il me regarde en souriant.

- Habillé toi crappé et prépare le film ! Lui lançais-je en souriant.

- Fais attention à ce que tu dis...  ton fessiers pourrait avoir mal !  Ria-t-il en se levant, il ne portait que son boxer.

Je descend et part prendre à manger,  je croise la dame au crâne chauve, elle me sourit et vient me donner un panier d'osier. Je la remercie et voit qu'il y a pleins de nourritures dedans avec une boîte rouge au fond. Je remonte,  j'entre et je m'aperçois que Damien est déjà dans le lit, à déjà fermer le rideaux de la chambre et qu'il s'est coiffer. J'avance vers lui et dépose le panier sur la table de chevet à coté de moi et j'enlève tout sauf mon boxer puis foncé dans le lit. Je regarde le panier et trifouille dedans. Des boissons, des chips, des gâteaux, des capotes,  des bonbons...  DES CAPOTES ?

Je suis sur le cul et gêné. Damien me regarde et vient poser sa tête sur mon épaule.

- Que fais rougir mon prince ?

- Un cadeau de la dame chauve de la réception...

Il regarde ce que je tient dans la main et ricane un peu, embrasse la joue et prends la boîte.

- Qu'une dizaine ? C'est pas beaucoup pour nous ! 

Je le regarde surpris et il m'embrasse.

- Je rigole Thomas...  J'aime te faire rougir... viens entre mes jambes...

- Pourquoi être tes jambes ?

- Car tu y sera en sécurité et que tu pourras te réfugier dans mes bras !

- Biensur pervers ! Je mord sa lèvre inférieure, il frémis en souriant.

- Ne me force pas à devenir plus pervers que maintenant !

Je me met entre ses jambes, il place son ventre contre mon dos et ses bras autour de moi, j'ai chaud et je me sens si bien. Il met le film en route.

Reste Gay Bordel !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant