Reste Gay Bordel !

Delicat réveil

[ Pdv de Damien ]

Il est vraiment beau quand il est comme ça, je vais refuser juste parce qu'il veux me faire plaisir. On vas prendre notre temps, certe, j'ai était un peu Beaucoup pervers à vouloir faire avec, la j'ai compris. On a le temps non ?

- Calme tes hormones petit ange, on vas manger et après on verras. Répliquais-je en le câlinant.

Il râle et je le lâche, le décoiffe,  encore plus qu'il ne l'est et je l'embrasse doucement. Je me lève et saisit un jean,  un t-shirt au hazard et une paire de basket. Lui, prend plus de temps à choisir ses vêtements, il prend un jean bleu, qui le moule un peu je trouve, une chemise blanche et un pull noir par au-dessus, il est beau bordel ! Je viens l'embrasser et le portait un peu. Il râle de le lâche et je m'exécute, sur le lit.

- Le dernier à la porte... est un bébé !  Lançais-je en courant vers la porte d'entrée de la chambre.

Il le fait aussi, arrive second et me tape l'épaule.

- C'est pas du jeu ! Tu es plus grand que moi ! Sa voix était mielleuse, même si je pouvais sentir un peu de reproche dans sa voix.

Je l'embrasse et je sort de la chambre. Il me suit, sourire aux lèvres et pas dansants. Il se dandine un peu et je le laisse marcher devant pour admirer sa dance, qui est pas si horrible que ça.

On arrive à la cantine,  Maxime et Cyril sont séparés, Pauline et Tom leur parlent, chaqu'un de le côté. Tom à Maxime et Pauline à Cyril.

- Il y a quoi ? demande Thomas en se mettant sur sa chaise.

- On essaye de savoir...  déclare Pauline en ayant un visage d'incompréhension.

Tom et Maxime parlent, longtemps et Maxime soupire. Tom se retourne et regarde le groupe.

- Rien de grave normalement...

- Rien de grave mdr... Lâche Maxime d'une voix qui trahissait l'ambiance.

- La ferme...  Lâche Cyril sèchement...

- Calmez vous...  tu veux parler avec moi Cyril ? Je pose cette question en sachant à l'avance la réponse: Non.

- Non... 

On mange dans le calme, on est la seule table à ne pas parler. C'est malaisant, vraiment même pour moi. Je regarde tous le monde et Tom parle maintenant à Cyril, qui semble se lâcher un peu trop. Pauline parle à Maxime qui se calme un peu.

- On fait quoi ? me demande Thomas a mon oreille.

J'ose les épaules et le regarde, il a un sourire gêné et un tique de toujours jouer avec ses manches. J'attrape ses main.

- Stoppe...

- Ça fait mal...

- Je regarderais en rentrant dans la chambre... okay ?

Il embrasse ma joue discrètement et continue de manger. Cyril et Maxime sont calmés, ils n'ont plus leur face colérique. Tom et Pauline pousse Cyril et Maxime à se re-mettre à coté l'un de l'autre. Ils le font et le résultat est rapide. Cyril s'excuse au prés de Maxime et Maxime accepté les excuses. Rapide et efficace. Ça parle maintenant, parfait. Pauline et Tom se tapent sa's les mains signe de victoire.

Je sens une main sur la mienne, c'est Thomas. Discrètement, on se tient la main, sous la table. Sa main est plus chaude que d'habitude, c'est agréable même si j'aime bien la froideur de son toucher. Il sourit et parle avec tous le monde. Pauline et Tom partent les premiers en parlant et en riant puis Cyril et Maxime, tel des enfants. Thomas et moi, nous lâchons nos mains, à contre coeur et on se lève. On part vers la chambre. Il y a un gosse à notre porte, il est comme squelettique, il s'enfuit à notre apparition au bout du couloirs. Thomas le rappelle et l'enfant disparaît rapidement dans la pénombre. On entre, Thomas m'embrasse et enlève son pull. Sa chemise avait prit une couleur rosé à cause du sang. Je lui enlève et je viens enlever les bandages d'hier soir. Je le fait s'assoir dans la salle de bain et Thomas ne râle pas, reste calme. Je nettoie le sang séché et appliqué du désinfectant dessus, il grimace de douleur. Puis j'applique un bandages propres sur sa plaies. Il me regarde et me sourit. Il passe ses bras autour de mon cou et m'embrasse le coin des lèvres et me murmure.

- Alors ? J'ai le droit ?

- Le droit à quoi ? Demandais-je en le câlinant.

- Continuer ce que l'on faisait. Murmure-t-il à mon oreille comme un secret.

- Je suis fatigué Prince... Mentais-je en l'embrassant.

- Alors c'est pas grave on continuera plus tard ! Me sourit-il en me relevant.

Il me traine au lit, m'enlève mon t-shirt, mon jean et mes baskets puis me pousse dans le lit.

- Pourquoi donc Monsieur me déshabille ? demandais-je en le regardant se dénudé lui aussi.

- Car comme ça je peux jouer un peu !

Il me regarde et me saute dessus, je pouffe de rire. Il est pas si lourd mais quand même ! Il s'allonge sur moi et embrasse mon torse.

- J'ai le droit de te faire des papouilles ? demande-t-il en me regardant avec des yeux de chien battu.

- Bien sûre ! Mais je t'en fait aussi !

Il m'embrasse et commence à faire des ronds sur mon torse, sa main est froide, si froide que j'en ai des milliers de frissons. Je parcours son dos de mes doigts et le fait frissonner aussi. Je m'endors à peu près en même temps que Thomas.

~~

Je fut réveillée par un doux bruit. Thomas venait de gueuler une insultes des plus beaux. Il s'écroule sur le lit en serrant son pied.

- Connard !

- Wow...  magnifique réveil !

- La ferme... 

Il ne finit même pas sa phrase que je l'embrasse, je le prend dans mes bras et je ricane un peu.

- Bon tu t'es fait mal ?

- Oui...  au pied...

- Orteil ?

- Nique ta mère ! Je venais de toucher son petit orteil bleutée.

Je rit et je le laisse se calmer, jallume mon chronomètre en souriant.

Il a mit 20 minutes et 32 secondes, record de Monsieu Thomas. Je ris en déjeunant. Il arrive et me câline par l'arrière, ses dents viennent marquer mon cou.

- Vengeance pour le chronomètre enfoiré... Il continue et il me fait grogner ce con.

- J'vais te punir sale gosse !

Je le saisit par la taille, le soulève rapidement et cours avec lui dans la chambre. Il se laissa faire, trop occupée à me faire grogner en me mordant. Il me laisse des marques de morsures sur le cou. Je me jette sur le lit, le plaquant contre le matelas froid. Il m'embrasse et commence à me faire comprendre qu'il est prêt.