Reste Gay Bordel !

Fête - partie final: ange vengeur -

[ Point de vue de Damien ]

Thomas est devant moi, ses yeux sont tellement remplis de larmes que je pense pas qu'il puisse voir quelque chose. Il bloque, les larmes coulent, il a le visage de la terreur. Il recule, je l'attrape, il fuit quelque chose et il vas dans leur direction. Il se tord de douleur, son visage aussi ; je n'ai qu'attraper ses poignets. Je les regarde, ils sont si bleu comme si on les avait serrer avec énormément de violence. Je le tire contre moi.

- Tu le lâche, on a pas finit avec lui ! Lâche un brun, sa voix fait trembler Thomas, il se sert plus contre moi.

- Dégage ! Maintenant ! Grognais-je envers l'homme, je crois que l'on peut ressentir ma colère à des mètres. 

- Il veux quoi et qu'est-ce qu'il fout avec notre pute ? Demande le blond au brun, visage d'incompréhension. 

Alors ils prennent Thomas pour une pute. Thomas n'as pas l'air en bonne état, il respire vite, ses yeux sont livide. Je le câline et le porte , passant mon bras sous ses genoux et l'autre sous son bras. Ils avancent vers moi et je cours le plus vite possible . J'ai l'impression que je tourne en ronds, les couloirs se ressemblent tous, je ne sais même pas si j'ai réellement avancé. Je tourne et on atterrit dans un cul de sac. 

Je me retourne, ils m'ont rattrapé, ils ont des sourires malsains. 

- Sois gentil et donne la pute ! Commence l'un.

- Et tu aura rien ! Sinon tu deviens une pute aussi ! Finit l'autre.

Ils avancent, je recule, Thomas tremble. Certes j'en veux énormément à Thomas mais je vais pas le donner ; je suis pas un connard. Je le sert plus contre moi, il me sert lui aussi. 

- Non ! Cassez vous ! Criais-je, mes yeux sont pleins de colère. 

Ils continuent d'avancer, le stresse monte, je peux pas trop me défendre, sinon l'un vas choper Thomas et en abuser encore. Je recule, il reste trois rangés de portes avant qu'il soit trop prêts. 

Deux rangés, j'essaye de mettre Thomas derrière moi mais il se remet toujours dans mes bras ; je peux sentir sa peur. Il tremble, il pleure silencieusement en me regardant, je regarde Thomas impuissant et les hommes qui avancent.

Une rangé porte, je suis prêt à me battre ; mes poings sont serrés et je suis plein de rage et de stresse. Thomas pleure plus fort, ses yeux sont des rivières qui ne stoppent pas. 

J'entends un petit rire, je les regarde, c'est pas eux, ils se regardent aussi. L'un tombe, face la première, derrière lui se trouve Tom. Hache à la main, il frappe l'homme avec violence, il a du sang plein sur sa chemise blanche ; il relève la tête.  

L'autre homme se jette sur Tom, celui-ci viens mordre l'homme avec violence, le sang coulent de la morsures qui n'en finit pas, le tueur à la hache vient arracher le morceau de peau qu'il tient entre ses dents. Il a du sang sur le visage, il a l'air diabolique. 

Un gosse vient devant le blond qui recule, le gosse fait peur à voir. Tom vient donner un coup de hache dans les jambes du blond violeur. Le gosse se jette dessus, il vient lui arracher la gorge. Le sang gicle partout, une marre pourrait se formait si le gosse ne venait pas tout aspirer. 

Tom approche, il laisse la hache au sol ; ont recule. 

- J'vais rien vous faire... Quelqu'un a un téléphone ? Je dois appeler quelqu'un pour éviter de nous faire choper. 

Je lui passe mon téléphone, il appelle un numéro et sourit. 

- Oui, j'ai fait un petit nettoyage et j'aurai besoin d'aide pour nettoyer ... Oui et l'enfant se nourrit, oui ne vous inquiétez pas ... Il coupe l'appel et rend mon téléphone. Venez ... on vas dans votre chambre ...