Reste Gay Bordel !

Plainte gagnantes

Okay. Okay. ET Okay. J'AI PEUR ! Il a mit un film avec un fantôme tueur... J'me colle comme je peux contre lui, si j'avais pus être sous sa peau, je l'aurai fait.

- Alors on a peur petit ange ? Il a un sourire sur ses lèvres et j'ai envie de le taper.

- Tu m'donne envie de te frappé...

- Tu préfère pas m'embrasser plutôt ? il rit et approche ses lèvres des mienne.

Je rapproche mes lèvres des siennes aussit,  je me penche sur lui et appuie sur son ventre. Je mord ses lèvres et il me sert contre lui, grognant.

- Monsieur grogne ? demandais-je en souriant tel un vainqueur.

Il stoppé le film et me plaque contre le lit. Il me grogne dans le cou et il se colle contre moi. Son corps est brûlant, il mords mon cou par la même occasion.

- Tu dis rien la hein ? me grogne-t-il en souriant.

- Tu veux que je te dise que tu es lourd ? je ricane en le poussant doucement.

Il ne bouge pas et se frotte à moi, nos corps sont l'un contre l'autre et j'adore cette sensation. Il vient embrasser mon cou, y laisse quelque suçons et me regarde avec amour.

- J'aime bien être dominant tu sais ça ?

- Oui mais j'ai pas envie Damien... 

J'embrasse son cou et reste contre lui, il se relève, tient mes hanches et s'allonge, m'allongeant sur lui. Il ricane et me caresse le dos.

- J'aimerais bien quand même voir ce que mon petit prince fait comme bruit !

- Plus tard ...

Ses lèvres dévorent mon cou,  me font gémir de plaisir, il y passe longtemps. Sa torture me fait changer d'avis, il l'aura chercher aussi ! Je commence à caresser son bas-ventre, le regarde sourire.

- Tu a gagnée mais...  tu auras juste un petit truc !

- Laisse moi t'en faire aussi...  Il passa sa main sur ma colonne vertébrale, des frissons me parcourent l'échine.

- Tait Toi et profite...  ma voix l'avait fait frémir d'avance, il se laissa faire. Son corps était mien,  je pouvais jouer un peu.

Je passa ma main sur sa virilité en l'embrassant, ses baisers sont doux et tendres. Je peux l'entendre frémir de frustration, il en mordille ses lèvres. Je commence par doucement m'amuser avec son...  enfin vous voyez. Il me regarde et je vais doucement. Il me tire contre lui et je l'embrasse, il lèche mes lèvres avec douceur et caresse mon bras.

- Laisse moi te faire du bien...  Me supplie-t-il entre deux baisers, sa respiration est légèrement saccadée.

Je continue et après de longue plainte, je le laisse faire. Il passa sa main sur mon boxer et en masse la forme. Il gémit pendant que j'accélère, il vint de suite m'embrasser, grognant contre mes lèvres qu'il adore. Il ferme les yeux et commence lui aussi à me faire du bien. Il est doux, vraiment et aussi très délicat, sa main me fait gémir plus fortement de plaisir que la mienne. Il joue calmement. Les baisers tendres devient lentement des baisers d'envie et sauvage, on s'embrasse fortement. Nos mouvement sont plus rapides même si on essaye de garder notre douceur. Il stoppé pour venir se frotter à moi.

- Tu veux bien ou on fait plus tard ? Je veux pas te pressé Thomas... il m'avais stopper, il me serrait contre lui. Ses lèvres caressait ma clavicule, encire des frissons.

- Je sais pas...  je veux pas aller trop vite...  et je veux pas être trop long...  pour toi... Avouais-je entre quelques baisers gemissant.

- Alors on feras plus tard... tu es adorable quand tu es comme ça. Ricana-t-il en m'embrassant.

- La ferme bel homme !  Riais-je en mordant sa langue.

Il grogne en riant un peu. J'adore son rire.

- Remet le film ? ordonais-je en lui caressant le bras.

- Monsieur n'auras pas peur ?

Il se mange mon poing dans l'épaule et ça ne lui fait rien. Je fais semblant de bouder, il remet le film et me câline, reste comme ça et me murmure à l'oreille.

- J'aime quand tu fais semblant de bouder...  on dirait un petit... 

Je l'embrasse et je regarde l'heure.
Déjà ?!

~ 19:53 ~

Il s'écrase contre moi,  sourire au lèvres et mains baladeuse. Il caresse mon torse et mon dos, me réchauffe par la même occasion et aussi me faire ronronner de plaisir.

- On vas manger ? Me demande-t-il, les lèvres à quelque centimètres des miennes.

- Le seul truc que j'ai envie de manger, c'est toi !