T'as apparu dans ma vie comme une étoile filante dans le ciel, et t'étais déjà parti que je réalisais enfin ce que toi comme l'étoile vous étiez : trop rapides, trop éclatants, trop beaux pour être approchés. Brûlants d'un feu qui me consume aujourd...
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Honnêtement, je ne sais même plus comment je suis censée vivre. Je veux dire, je pense tellement à toi que parfois, j'en oublie jusqu'à respirer. Je pense tout le temps à toi, et finalement, peut-être que c'est ça qui va finir par me tuer.
Tu vois, moi j'ai jamais trempé dans le genre de trucs nocifs pour ta vie, comme la clope, la beuh, ou j'sais pas trop quoi d'autre. J'ai même du mal avec l'alcool. Mais il faut croire que l'amour, ou le manque, ou bien les deux combinés, ou bien toi tout court, rien que ça suffit pour me détruire.
Crois-moi quand je te dis que tu te sens stupide quand tu réalises que la raison pour laquelle tu vas aussi mal, c'est parce que tu aimes. Franchement, moi, j'aurais jamais pensé que l'amour ça pouvait faire autant de mal. Et surtout, j'aurais jamais pensé pouvoir tomber aussi simplement amoureuse de simples mots.
Je crois que c'est pour ça que tu as autant de pouvoir sur moi, en fait ; je suis tombée en amour avec tes mots, et j'en vois tous les jours qui ne sont pas les tiens. Personne ne les assemble comme toi, et le fait de les lire sans y voir ta touche personnelle ne fait que de me rappeler que tu n'es plus là pour en ordonner à mon intention.