Je te vois de partout, je te sens de partout.
Je te pense à toi en lisant, en marchant, en regardant un film. Je pense à toi en me levant, en me couchant, et même en dormant. Je pense à toi en entendant ton prénom, un mot que tu m'as un jour écrit, une musique que je te sais aimer. Je pense à toi en cours de français quand on parle de Victor Hugo, je pense à toi quand je vois des gens s'embrasser parce que je me dis que je ne pourrai jamais sentir tes lèvres contre les miennes.
Je pense à toi quand je lis, j'entends, je parle ou j'écris de l'anglais. Je crois que cette langue te sera toujours intrinsèquement liée dans mon esprit. Et tu sais à quel point j'aime l'anglais. Alors, ça devient un rappel constant de toi. Mais j'ai renoncé depuis longtemps à renoncer à l'anglais parce que tu vois, j'aurais beau l'exclure totalement de ma vie, je n'arriverais pas à t'exclure, toi. Je n'arriverais pas à ignorer tout ce qui me fait penser à toi ; je ne sais même pas s'il y a une seule chose qui en soit capable.
C'est à toi que je devrais renoncer, et je ne le sais que trop bien. Mais je ne peux pas. J'essaye de faire une croix sur toi depuis plus d'un an, et j'ai l'impression que rien n'a changé. J'ai toujours aussi mal. Est-ce que c'est normal ? Moi j'ai peur d'être seule à ressentir comme ça, darling. J'ai peur d'être la seule à compter les jours que tu mets à me répondre et à m'accrocher au moindre de tes mots.
J'ai peur d'être seule à avoir mal quand tu ne me parles pas, parce que si je suis seule, personne ne pourra me dire qu'un jour tout s'arrangera.
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HARD TO LOVE BUT LOVING SO HARD
AcakT'as apparu dans ma vie comme une étoile filante dans le ciel, et t'étais déjà parti que je réalisais enfin ce que toi comme l'étoile vous étiez : trop rapides, trop éclatants, trop beaux pour être approchés. Brûlants d'un feu qui me consume aujourd...