Chapitre 121(Tome 3): Maternelle

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Kailyn

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Kailyn

September 5

Le jour de ma rentrée. Il était actuellement 5h30 du matin. J'étais surexcitée à l'idée de découvrir ma nouvelle Université. Même si j'y étais déjà allé au mois de Mai pour la journée porte ouverte. Zac dormait paisiblement à mes côtés, son bras entourant ma taille fermement me maintenant contre lui, l'un de ses bras soutenait l'arrière de ma nuque. Je sentais sa respiration s'écraser contre mon cou lentement. La rentrée débutait à 9h30, j'étais donc largement en avance. Pour m'occuper et tuer le temps je décidais de jouer sur mon téléphone.

-Bébé t'es sérieuse j'ai la lumière dans les yeux grognait le châtain

-Désolé grimaçais-je en ricanant

Il me poussait mon téléphone avec sa main qui tombait sur le matelas puis me retournais face à lui. Il tournait légèrement la tête pour regarder son réveil.

-T'es sérieuse ? Il est même pas six heures Kai !

-Je suis surexcitée à l'idée d'y être Zac, j'ai pas dormi de la nuit

-J'ai vu ça, ta pas arrêter de m'donner des coups de genoux dans le ventre

-Désolé m'excusais-je à nouveau

D'un geste brusque je me retournais puis montais à califourchon sur lui. Ses yeux descendaient sur nos deux bassins collés avant de remonter jusqu'à mes yeux et me regarder malicieusement. Sa main glissait dans ma nuque pour rapprocher son visage du mien puis pressait ses lèvres contre les miennes.

-J'regrette pas de m'être réveillé en fait grognait-il contre mes lèvres

D'un geste brusque il me basculait sur le matelas. Ma nuisette ainsi que son short valdinguaient à travers la pièce. Ma poitrine nu se retrouvait collé contre son torse brûlant. Sa tête plongeait dans mon cou puis descendait sur mes seins me laissant échapper des gémissements.

-Arrête de sourire l'engueulais-je

Il ricanait avant de descendre un peu plus me coupant la respiration.

-Zac ...

Son visage arrivait entre mes jambes. On m'a perdu.

****

Je me laissais retomber sur le matelas le corps entièrement transpirant. Zac ne tardait pas à laisser son corps retomber sur le mien.

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