Chapitre 168(Tome 4): Dallas's past

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"Les plus belles étoiles sont celles qu'une femme a dans les yeux quand elle regarde l'homme qu'elle aime

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"Les plus belles étoiles sont celles qu'une femme a dans les yeux quand elle regarde l'homme qu'elle aime."


Cameron


-Prenez vos affaires, vous allez venir à la maison disais-je à Caroline

-Cameron ... Comment ça peux être possible ?

-Écoutez Caroline je veux pas vous brisé le coeur mais je suis obligé de vous le dire. Il c'est seulement mit avec vous pour se rapprocher de ma famille.


Ses yeux s'embuèrent et je ne pouvais rien faire.


-Je suis désolé.

-C'est moi qui suis désolé, je me suis engueuler avec ma fille pour lui et c'est par ma faute qu'il vous fais du mal. C'est lui qui a agresser Kailyn ?

-Vous avez pas à vous excuser. Non ce n'est pas lui mais un de ses complices qu'on a pas encore chopper.


***


Kailyn m'interrogeait du regard en voyant sa mère arriver avec ses sacs à mes côtés. Je mettais ses affaires dans le coffre et montais dans la voiture.


-Qu'est ce que tu fais là maman ? demandait-elle agressivement

-Kailyn, lui parle pas comme ça.

-Comment ça je dois pas lui parler comme ça ? m'agressait-elle dois-je te rappeler qu'elle a même pas cru sa propre fille couverte de bleus ?!

-Je suis désolé chérie intervenait doucement la voix de sa mère

-Ah non commence pas avec t'es excuses !


Je levais les yeux aux ciel. Ma copine était putain de buté. Tu peux parler mais t'es pareil me disais ma conscience.


-Kailyn, y'a eu un putain de retournement de situation, faut que je t'explique à toi aussi ...

-J'attend que ça depuis tout à l'heure que tu m'explique !

-C'est mon père.


Elle eu un moment d'arrêt et me regardais droit dans les yeux pour essayer d'y déceler une once de rigolade mais non, c'était clairement la vérité malheureusement.


-Thierry ?

-Diego plutôt.

-Mais..mais comment ?


Je lui montrais le nounours et lui expliquais. Elle ouvrait d'un seul coup la voiture et se mettait à vomir toute ses tripes. Je fermais les yeux et regardais ailleurs.


-Beurk lâchait Aiden

-C'est répugnant disait-elle en se relevant

-Ton vomi ou la situation ?

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