Chapitre 178(Tome 4): Ring

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"C'était la seule qui croyait en tous tes projets, qui dans tes rêves voyait une réalité

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"C'était la seule qui croyait en tous tes projets, qui dans tes rêves voyait une réalité."

⚠️lisez bien mon petit mot à la fin svp⚠️

Kailyn


Durant le chemin du retour le petit s'était endormi dans son siège auto, son doudou dans les bras. Je n'avais pas pipé un mot à Cameron, lui non plus et c'était très bien comme ça. On courait droit au mur mais il l'avait chercher. Je sais très bien qu'à la fin de l'histoire ça sera encore moi la plus blessée, mais j'ai l'habitude. À peine le frein à main enclencher que je sortais de la voiture pour détacher mon fils derrière.


-Laisse je vais le port-

-Non c'est bon je peux me débrouiller toute seule crachais-je sans lui daigner un regard


Je serrais mon fils dans mes bras qui réfugiait directement sa tête dans mon cou et n'attendais pas Cameron pour rentrer à l'intérieur de l'immeuble. Je filais directement le coucher dans son lit après l'avoir déshabiller et mis en pyjama comme je le pouvais. J'embrassais son front et sortais de sa chambre en refermant la porte. Je tombais nez à nez avec Cameron qui me surplombais avec sa taille, je le contournais pour retrouver le dressing. Je savais très bien qu'il allait me suivre. Je sortais une valise que j'ouvrais au sol et fourrais mes vêtements sous ses yeux.


-Qu'est ce que tu fais ?

-Je me casse, ça se voit non ?


Il me regardait ahurie, les bras ballants.


-Quoi mais-

-C'est ce que tu voulais pas vrai ? Qu'on se quitte.


Il allait ouvrir la bouche mais je le coupais à nouveau en lui faisant signe avec ma main de se taire.


-Cherche pas d'excuses bidon, tu me l'a dis à Harlem. Au début j'ai penser que t'avais changer d'avis puisque t'es revenu ici avec moi mais apparemment non.

-Comment tu sais que je n'ai pas changer d'avis ?


Il ne cherchait même pas à m'en empêcher. C'est bien ça qui me brisais définitivement le coeur je crois.


-T'aurais dû parler moins fort chez Taylor.


Je fermais la première valise et attaquais la deuxième sans oublier d'y mettre mes chaussures et mes produits dont j'avais besoin.


-Fais pas ça.


Je ne l'écoutais pas me parler puis sortais de la pièce pour retrouver mon bureau. Il a vraiment dû se rendre compte que ce n'étais pas une blague quand j'ai pris mes dessins avec moi.


CONDOMOù les histoires vivent. Découvrez maintenant