Chapitre 64: Le bac

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Cameron

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Cameron


Le jour J.


J'observais ma petite amie se maquiller devant moi. Je le voyais sur son visage qu'elle était stresser et je pouvais sentir son coeur battre à mille à l'heure. J'apercevais même ses mains trembler légèrement. Aujourd'hui nous passions l'épreuve Philosophique qui commençait à huit heures et qui se finissait à midi. Notre épreuve anticipées de Français était cet après-midi.

Kailyn a gigoter toute la nuit contre moi en essayant de trouver le sommeil, mais en vain. Tandis que moi je me suis lever serein. Faut pas stresser, sinon ça va empirer les choses.


-Bébé


Elle se retournait vers moi. Je pouvais lire de la panique dans ses yeux. Je décrochai mon dos du mur de la salle de bain pour me poster devant elle. J'attrapai son visage entre mes deux mains pour la forcer à me regarder.


-Ça va aller, j't'assure chérie. Sa sert à rien de stresser

-Mais Cam, je suis nulle en philo pleurnichait-elle

-Non tu l'es pas, arrête de te sous-estimer. Allez viens avec moi on va déjeuner

-Si je mange je vais vomir après


Je soufflais.


-Au moins une barre de céréales, viens


Elle acquiesçais et me suivait en bas. Je la laissait s'asseoir sur mon canapé et fouillait mes placards à la recherche des barres de céréales. J'en trouvais une et lui tendais. Elle grimaçait mais la mangeait tout de même. Je m'installais à ses côtés pour entamer mon petit déjeuner.


-J'arrive pas à comprendre comment tu peux être autant serein


Je me retournais vers elle.


-En plus t'es nul en Philo et en Français, tu devrai paniquer

-T'es sympa toi pouffais-je en faisant mine d'être vexé


Je reposai mon regard sur la télé en évitant son regard. Je sentais ses bras s'enrouler autour de mon cou et sa tête se nicher dans mon cou.


-Excuse moi bébé, je voulais pas dire ça

-Je sais. Ta raison de toute façon. Je stresse pas, parce que sa sert à rien de stresser, sa fais qu'empirer les choses de stresser.


Elle déposait un baiser à l'arrière de mon oreille et se remettais sur le canapé.


-Ta fini ta barre de céréales ?

-Non.

-Fini la.


Elle avait prit son petit air enfantin.


CONDOMOù les histoires vivent. Découvrez maintenant