Chapitre 11

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Après quelques heures de larmes suite aux peu souvenirs de mes parents et la dernière chose que j’avais dite à Wilfried. L’affreux mensonge que je lui avais fait alors que je l’aimais aussi. Je ne voulais pas le perdre.

« - Est- ce que tu va mieux mon  enfant ? As-tu pu assez libérer toute ta tristesse ? M’avait demandé la déesse Luna d’un air inquiet.

-          Oui, ca va mieux, merci de m’avoir laissé exprimer ma tristesse.

-          Mais tu sais, si il y a le loup blanc avec toi, ne pense tu pas que le loup noir est justement avec ton ami ?

-          Vous avez sûrement raison, c’est vrai que ca serait magnifique, comme cela on pourra les retrouver tout les deux, le loup et lui. »

Je m’étais alors tournée vers le loup blanc et j’avais alors rapproché ma bouche de son oreille, je lui avais alors murmuré des mots que seul tes anciens et les loups pouvaient comprendre. Ma mère adoptive, Alice m’avait appris pour que je puisse retrouver mon chemin au cas où je me perdais en forêt.

« - Hé, mon beau est ce que je peu te demander un service ?

-          Oui bien sur. Tu peux me demander ce que tu veux.

-          J’aimerais que tu puisses retrouver la trace de Wilfried et du loup noir. Est-ce que tu pourrais faire ça pour moi ?

-          Oui, il n’y a pas de problème. Justement c’est pour cela que le loup noir a fait cela c’est pour que l’on puisse se retrouver. Alors maintenant monte sur mon dos fille de la lune et partons à leur recherche.

-          Oui. Je m’étais alors dirigée vers la déesse Luna qui était prêt de la porte, suivit du loup blanc.

-          Au revoir mon enfant, prend soin de toi. Je garderais un œil sur toi, je te protègerais. Mais n’oublie pas la prochaine épreuve que tu dois accomplir pour pouvoir maitriser ta nature vampirique. Sur ces mots la porte s’ouvrit et des rangées de loups étaient positionnées devant le temple. Leurs yeux luisant dans la nuit, ce sont eux les gardiens de ce temple sacré.

-          Au revoir déesse Luna. »

J’étais alors montée sur le dos du loup blanc, je tenais une touffe de fourrure dans mes mains pour ne pas tomber. Il était bien plus grand que les autres de son espèce, il faisait au moins un mètre quarante au garrot. Il s’était lors lancé dans la nuit, nous étions repassé s par la grotte. Arrivé au niveau de la cascade, j’étais descendu de son dos pour pouvoir ensuite traversé le point d’eau en nageant. Ma monture avait fait la même chose et en voulant se sécher, il m’avait éclaboussé de plein fouet. L’aube était entrain de montrer le bout de son nez, on voyait déjà quelques rayons de soleil. Je ne voulais pas perdre de temps j’étais alors vite remontée sur le dos du loup et nous nous étions dirigés en direction du lieu où nous avions vu Wilfried pour la dernière fois. Là où Tristan avait fait son entré, mais lorsque j’avais entendu des voix provenant de l’ancien campement nous nos étions arrêtés net. J’étais descendu de la monture et je m’étais dirigée sans faire de bruit vers la source des bavardages. Arrivé à proximité j’aperçus quatre individus de dos, c’était tous des hommes, mais je n’avait sentis aucunes auras maléfique. Il devait sûrement être des humains, j’avais repensé alors au petit groupe d’humain qui nous avait accompagné. Qu’est ce qu’ils étaient devenus ? Est-ce qu’ils avaient pu rejoindre le village le plus proche ? Mais lorsque j’avais entendu les quatre prénoms j’avais alors sauté hors du buisson. J’étais alors tombée nez à nez avec mes anciens compagnons. J’étais soulagé qu’il leurs soit rien arrivé. J’avais alors serré Robin dans mes bras, à moitié en rigolant et en pleurant. Robin alors avait fait de même mais il ne pleurait pas, malgré tout je voyais tout de même, une once de soulagement.

Entre deux mondesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant