Chapitre 8

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Le matin venu, nous étions descendus pour aller prendre le petit déjeuner car j’avais une faim de loup et c’était bien normal après tout. Lorsque nous étions arrivés près de la table la mère de Peter était arrivée derrière nous. Elle nous avait tendu un sac remplit de nourriture et d’une couverture plus chaude que celles que nous avions. Lorsqu’elle nous avait rejoints elle s’était coupée à la main en voulant couper trop vite des aliments. Mon instinct de vampire avait fait une apparition soudaine suite à cette délicieuse odeur. J’avais voulus me retenir de ne pas lui sauter à la gorge, j’avais sentis mes crocs sortit. Je ne pouvais pas reste dans la même pièce qu’elle, j’étais alors sortie pour pouvoir calmer mes instincts.

« - Pour avoir sauvé mon fils, et pour votre cadeau de mariage aussi. La couverture est pour remplacer celle que tu as donnée à mon fils. Avait-elle dit avant que nous puissions dire quoi que ce soit.

-          Merci beaucoup madame, vous êtes vraiment très aimable. Avait répondit Wilfried.

-          Mais malheureusement ce que je vous ai donné n’est pas grand-chose.

-          C’est amplement suffisant je vous assure, de plus vous nous avez permis de dormir au chaud, ce que nous n’avions pas espérer. Lui avais-je dis.

-          Bien je pense que plus vite vous partirez, moins vous rencontreriez de danger et plus vite vous serez arrivé à destination je suppose. »

Sur ces paroles nous avions pris nos affaires, nous avions scellé nos montures, nous avions appelé nos loups et nous nous étions mit en route vers notre réel destination. Nous avions salué Peter et sa mère et nous les avions encore remerciés de leur agréable hospitalité. Peu de temps après être partis de la petite maisonnette, Wilfried m’avait dit :

« - Tu étais très mignonne hier soir lorsque tu dormais. Beaucoup plus que la dernière fois. Avait-il dit avec un sourire au coin des lèvres qui lui avait donné un charme ravageur.

-          Arrête tes bêtises et concentre toi, la mère du jeune Peter a sous entendu de faire attention avant que l’on parte tu t’en souviens ? Et toi-même hier tu m’as dit que l’on parte tu t’en souviens ? Et toi-même hier tu m’as dit que l’on ne sait jamais qui il pourrait y avoir dans les forêts.

-          Oui c’est vrai, j’ai dit ça, tu as raison. Mais n’empêche que je te trouve quand même plus mignonne lorsque tu es vulnérable. Et … »

Je lui avais fait signe de ne plus dire un seul mot car j’avais entendu des bruits de branches qui s’étaient cassé. Wilfried avait comprit très vite et avait sortit son épée de son étui. L’arme était relativement grande, elle brillait de mille feux et son étui était d’un rouge émeraude magnifique. Je n’avais pas remarqué qu’il avait une arme de cette envergure avant, car sa cape avait recouvert presque toute sa taille. Un groupe d’hommes étaient sortit des buissons qui entouraient le chemin que nous avions emprunté. Je m’étais mis tout de suite à faire galoper mon cheval pour échapper à l’attaque des bandits. Mais malheureusement ils m’avaient déjà bloqué la route, je ne pouvais pas faire demi-tour car Wilfried se battait déjà contre certains hommes. Un jeune homme garçon me surpris en montrant d’un coup derrière moi sur ma monture. Il m’avait pointé un couteau sous la gorge, tout en me menaçant.

Entre deux mondesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant