La vie, c'est compliqué!

Chapitre 10: La fin de l'histoire

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Sting et Lucy se retournèrent et le visage de la jeune fille s'éclaira de la flamme de l'amour et de celle de l'espoir également !

« Toi ?! s'exclamèrent en chœur les deux jeunes gens.

-Lucy ! Je suis venu pour te ramener ! Et empêcher ce connard de te violer !

-Pardon ?! s'étonna la blonde.

-Eh bin... je... je t'ai sauvé de ce type quand lui et ses potes ont essayé de te violer... t'as pas été violée... enfin pas à ma connaissance.

-Quoi ?! Mais non ! Lisanna m'a dit que...

-Lis' t'a menti...

-Et pourquoi ça ?

-Parce que...

-Il dit la vérité, affirma Sting.

-Et comment pouvez-vous savoir cela ?

-Parce que ce soir-là, j'étais ivre avec des amis et... je me souviens avoir agressé une fille et avoir fini à l'hôpital. Je me souviens également de cheveux roses et d'une écharpe blanche.

-Pardon ?! Vous voulez dire que...

-Que je t'ai sauvée...

-Mais... pourquoi me l'as-tu cacher ?

-Je... je t'expliquerais plus tard. Il faut qu'on rentre à Magnolia d'abord !

-Oui mais... mon père...

-Allons le voir ! Je m'occupe du reste !

-Et moi dans tout ça ? s'exclama le blond.

-Tu viens et tu assumes tes conneries ! assena Natsu, énervé. »

Arrivés dans le bureau de M. Heartfilia, le rose eut la surprise et le choc de sa vie : il vit Ignir après sept ans de séparation.

« Ignir ?! Qu'est-ce que tu fais ici ?!

-Natsu ?! Je ne pensais pas te trouver ici.

-M. le directeur, vous connaissez ce vaurien ?

-M. le directeur ? s'étonna le rose.

-Oui, je suis le patron de M. Heartfilia ici présent. Au fait, ce « vaurien » comme vous dites, est mon fils adoptif.

-Veuillez m'excuser monsieur, je n'en avais pas connaissance.

-Bref.

-Pourquoi m'as-tu laissé ? Et où est Grandiné ? Wendy s'inquiète énormément !

-Je... suis désolé Natsu... à cause de moi tu... tu as dû rester seul depuis longtemps. Il fallait que je parte pour mon travail, pour aider la guilde des marchands qui ne s'en sortaient plus.

-Pourquoi tu m'as pas prévenu ? Ni emmené avec toi ?

-C'était dangereux et très soudain, et je n'avais pas la possibilité de t'emmener. Je ne savais même pas si je reviendrai... et, une fois revenu, je ne pouvais pas revenir te voir comme ça, les mains dans les poches...

-Bref, on reparlera de ça plus tard.

-Tu as raison... mais il faudra que je m'acquitte de ma dette...