CHAPITRE VIII

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SIENNE.

Chapitre VIII:

Ils ne s'arrêtèrent que lorsque leurs respirations furent totalement erratiques.

Ils se regardèrent tout deux dans les yeux.
Et enfin, il comprirent.

Ils comprirent pourquoi ils ne pouvaient se résister, l'un et l'autre. Pourquoi l'air devenait électrique lorsqu'ils étaient ensemble.

L'attirance qui les rapprochait était indomptable.

Ils ne pouvaient pas lutter contre elle.

Et ils ne voulaient pas lutter contre elle.

Ils reprirent leur baiser, plus ardent, sauvage et impatient que jamais.

Leurs vêtements étaient imbibés d'eau de pluie, mais aucun d'eux n'y prêtait attention.

Ils rentrèrent dans la maison.

Végéta plaqua Bulma contre un mur et plongea sa tête dans son cou. Elle émit un gémissement de plaisir.

Elle sentait la langue de l'homme lui parcourir la gorge et elle en éprouvait une excitation considérablement élevée.

Alors, le Prince planta ses dents dans la peau blanche de la femme. Leur désir grimpa à un niveau démesuré.

Elle passa ses mains dans la montagne de cheveux de Végéta, les agrippa sauvagement et le colla encore plus à elle. Cela provoqua un profond gémissement de la part du Saiyan.

Sans qu'elle ne s'en rende compte, elle s'était retrouvée dans sa chambre, sur son lit. Elle était allongée sur le dos, lui au dessus.

Le Saiyan s'était déplacé trop vite pour qu'elle ne puisses s'en apercevoir.

Végéta cessa de dévorer de baisers son cou. Ils se regardèrent.
Elle se tortilla et enroula ses jambes autour de sa taille, pour lui faire comprendre qu'il devait continuer.

Il lui déchira son haut pour dévoiler une poitrine volumineuse.
Comme il se l'était toujours imaginé.

Il recommença à piquer de ses dents la gorge de la jeune femme.
Il descendit plus bas, et joua avec la poitrine de Bulma, provoquant en elle un déluge de sensation.

Trop occupé par le cou et les seins de la jeune femme, il fut fort surpris lorsqu'il se retrouva sur le dos, avec elle au dessus de lui.

Elle avait profité de son inattention pour le retourner, malgré sa force inexistante.

"Maligne." se dit-il en la regardant, un léger rictus amusé au creux des lèvres.

Elle commença à onduler ses hanches sur lui, avec ce sourire dont jamais il ne se lassera.

Ce sourire de provocation, espiègle et perfide, qui lui est propre. Ce sourire qu'elle ne faisait qu'à lui. À lui seulement.

Lassée de ce jeu, Bulma décida d'y mettre un terme en enlevant les vêtements de Végéta. Il la regarda lui enlever ses vêtements un par un, jusqu'à ce qu'il ne soit qu'en caleçon.

À son tour, il lui enleva son short.

Ils étaient alors en sous-vêtements l'un sur l'autre et Végéta décida de retourner au dessus.

De sa nouvelle position, il observa Bulma.

Elle était magnifique.

SIENNE. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant