Martin : Qu'est-ce qui t'arrive pana tu t'es enfin rendu compte que tu avais un petit sexe ?
Panayotis : Il y a un attentant en cours à la fête des lumières, une centaine de morts minimum sont déjà déclarés ! et je n'arrive pas à joindre Alice et Valentine !
Le visage des journalistes viennent de se décomposer suite à l'annonce de Panayotis. Hugo s'assoie au sol et tente directement d'appeler les filles mais aucunes des deux ne répond. Il se sent terriblement mal, comme si on lui arrachait le cœur. Il n'a pas réussi à lutter plus longtemps à retenir ses larmes. Il se lève et part chercher ses affaires.
Yann : Tu compte aller où Hugo ?
Hugo : L'une de mes meilleures amies et la femme que j'aime sont peut être morte, je ne vais pas rester ici à ne rien faire !
Yann : Martin tu pars avec lui et Pierre, tu couvriras l'attentat, Hugo tu es en repos demain et ça ne change pas. Vous me tenez au courant !
Martin : Ça marche Yann, allez les mecs on est parti ! On n'a pas de temps à perdre on a plus de dix-heures de route à faire !
Pierre attrape son matériel et ils partent tous dans la voiture de Martin en direction de Barcelone. L'ambiance est glaciale, Martin conduit et Hugo et Pierre scrutent leur téléphone en perpétuelle recherche d'informations, personne ne parle.
Hugo culpabilise de ne pas avoir avoué ses sentiments à Alice et d'avoir préféré jouer au con en la snobant alors que tout ce dont il rêve c'est d'être avec elle. Dès l'instant où Panayotis leur a appris la nouvelle le journaliste a vu sa vie prendre un nouveau tournant il est désormais sûr de ce qu'il veut faire de sa vie. Le seul moyen qu'il a trouvé pour se calmer c'est d'écrire un message à Alice.
Messenger
Hugo Clément :
Alice, à l'heure où je t'écris ce message je ne sais pas si tu es encore en vie, je me sens mal, horriblement mal, j'ai envie d'être auprès de toi, envie de m'excuser. M'excuser d'avoir été aussi con. Si tu savais à quel point je m'en veux de t'avoir laissé partir après t'avoir sortie cette phrase complètement débile. J'aurais du te retenir, chercher à connaitre la vérité plus tôt, au lieu d'imaginer que tu t'étais barrée en me laissant comme un con. J'aurais du te dire que moi aussi j'avais passé la plus belle nuit de ma vie à tes côtés , que j'en rêvais depuis de nombreuses années. Je me suis même surprit à nous imaginer un avenir commun. J'ai besoin de toi dans ma vie Alice ! Je pris actuellement tous les Dieux pour qu'il ne soit pas trop tard, pour que Valentine et toi n'aillez rien. J'espère avoir encore l'occasion de te dire tout ça en face. De ressentir encore une fois le bonheur de sentir tes lèvres contre les miennes. J'espère tellement pouvoir finir ma vie avec toi, qu'on est une grande maison avec un grand jardin, des enfants aussi beaux que toi et un mariage digne des plus grands films hollywoodiens. Je t'Aime Alice pour toujours et à jamais, pardonne moi !
Le journaliste verrouille son smartphone pour économiser la batterie qu'il lui reste et laisse les larmes dévaler sur son visage. C'est la première fois qu'il pleure pour une femme et surtout qu'il dévoile autant ses sentiments bien que ce ne soit que dans un message qu'Alice n'aura peut être plus l'occasion de lire. Jamais il ne se le pardonnerait si il lui arrivait quelque chose. Son portable vibre, c'est un sms de Lucas :

VOUS LISEZ
Au Quotidien
FanfictionTu as du temps à tuer et tu es fan de Quotidien ? Ne bouge pas, tu es au bon endroit ! Entre dans la vie d'Alice Olsoni, journaliste spécialisée dans les conflits internationaux chez Quotidien. Tu ne vas pas être déçu du voyage ! Publication de 2 ch...