Une

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"J'ai eu l'habitude maintenant"

POINT DE VUE DE MACKENZIE

Ma mère: MACKENZIE DEBOUT.- dit-elle d'en bas.-

Moi: M.

Ma mère: JE NE VEUT PAS QUE TON DIRECTEUR APPEL ENCORE POUR ME DIRE QUE TU N'EST PAS A L'ECOLE ! DONC DEBOUT AVANT QUE JE PARTE !-dit-elle encore en bas.-

Moi: Pff.-soufflage en retirant ma couverture et m'asseyant sur mon lit.-

Je me lève et met mes chausson. J'ouvre la porte de ma chambre et la voie en bas des escaliers.

Ma mère: Allez plus vite que ça !-regardant sa montre-Je vais être en retard ma chérie.

Je souffle une énième fois et décide de descendre ces escaliers. Après avoir finie de lès descendre je me retrouve devant ma mère. Elle me sourie et m'embrasse le front.

Ma mère: Ah enfaite...-prenant ses clefs- ce soir je dois te présenter quelqu'un.

Moi: M.

Ma mère: Au-revoir-fermant presque la porte derrière elle-Je t'aime !

Elle claque la porte me laissant seul. Bon je ne peut plus me rendormir. Car une fois réveiller je ne peut que manger ,regarder la télé ou sortir. La routine quoi. Je prend direction la cuisine. Je me fais un chocolat et prend des biscottes. Je farfouille dans les placards à la recherche du pot de Nutella. Et une fois trouvé je prend un sucre, une cuillère, un couteau et du jus d'orange. Je me pose sur un des tabourets qui se trouve dans la cuisine et commence a manger.

Je finis et part ranger tous soie dans les placards ou lave vaisselle. je retourne dans ma chambre prend les habits nécessaires et part dans la salle de bain.

Je ressors d la salle de bain habiller. Je prend mon téléphone, mes clef et mon sa sac a dos et descend les escaliers. Je sors de chez moi et ferme derrière moi.

Je souffle un bon coup a mon habitude avant de rentrer dans l'établissement. J'avance dans les couloirs du collège tête baissée et mon sac sur une épaule. Une personne me bouscule je lève la tête et vois les populaires. Elle ne vont pas s'excusées comme d'habitude. Mais elles vont prendre un bon mal à me rebaisser. Encore et encore.

Blonde: AH ! Vous sentez pas une odeur de salope ?-dit-elle en rigolant.-

Tout le monde ce retournent et rigole. J'ai eu l'habitude maintenant. ca fait deux ans depuis la mort de mon père. Du coup je ne suis pas gêné ni énervé. Enfin si un peu. Personne aimerez être rabaisser comme ça tout les jours. Même les week-end. Je souhaite ça a personne. Elles repartent en rigolant bêtement, mettant leurs cheveux en arrière comme les divas et marchand comme des stars. Je souffle et me retourne et me dirige vers mon casier. Je l'ouvre laissant mon cadenas sur la serrure. Je dépose quelque livre dedans et claque la porte. Je cherche mon cadenas en vin. Sa doit être encore des personnes qui s'amuse à me voler mes affaires comme toujours. Qu'elle excuse je pourrais dire a ma mère. Je re ouvre mon casier et remet tout mes cahiers et classeurs dedans. La sonnerie avait retentie une deuxième fois. Ce qui veut dire que je dois aller vite en cour avant qu'elle ne fasse l'appelle, et que ma mère ne me fasse pas la morale ce soir. Je cour dans les escalier et couloirs. Je me trouve devant ma salle te toque. J'entend un entrer. Je souffle et entre. Voilà que tout les regards sont braqués sur moi. En même pas 20 minutes. j'ai déjà eu les regards braqués deux fois sur moi. La prof me regarde en faisant de grand yeux. Mais qu'est-ce qu'elle a ? J'ai un truc sur le visage. De tout façon que j'ai quelque chose sur le visage ou pas, ca ne changeras pas. Tous le monde ce moqueras de moi.

Prof: On te revoie enfin Ziegler.

Moi: M. -soufflage .-

Prof: Va t'assoir.

Je ferme la porte et me dirige vers le fond de la classe et m'assoie. Je pose mon sac par terre et souffle. La prof reprend son cour. Elle a même pas réclamer mon billet de retard. Il a du avoir l'habitude vu que j'en fais jamais, alors que je suis absente. Je me m'enfonce dans ma chaise. Les mains croisé, je m'imagine une vie meilleur. Et cette question ce pose encore dans ma tête.

Qu'elle vie aurais-je eu si mon père n'était pas mort ?

Encore une question à la quelle j'aurais pas de réponse.

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-and this continues -

SouffranceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant