The Big Bad Vampire [BP]

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Coucou tout le monde,

Tout  d'abord je tenais a m'excuser - oui je sais encore une fois - pour mes retard de chapitre. Je vous promets que je ne le fais pas exprès en générale je me fixe une date limite de un mois pour les écrire sauf que comme vous avez pus le remarquer je ne tien presque jamais mes promesses ^.^'.

Ensuite j'aimerais vous remercier de me suivre et de continuer a lire mon histoire malgré  mes nombreux retard ahah. Même si je ne réponds pas toujours a vos commentaire sachez que je les lis tous et qu'ils me touches beaucoup. Il y en certain qui me font beaucoup rire aussi XD.

J'aimerais aussi remercié toute les correctrices qui on travailler sur mes texte car non mes chapitre ne se font pas tout seul alors merci a @Pinguiness , StrongerEverHappy et surtout a Lu-Winchester pour m'avoir aider.

Enfin bref, tout ce blabla terminer j'espère que ce chapitre vous plaira, n'hésiter pas a me donner votre avis sur les personnages et sur ce chapitre.

Bisous ^.^

"- Oui, nous avons choisi, et l'avenir nous dira si nous avons fait le bon choix."

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9 heures 00 - Gallien.

Cela faisait plus d'un siècle que je n'avais pas tenu un pinceau entre les mains. Sentir le bois fin de ce dernier et la douceur de son extrémité m'était presque devenu inconnu, tout comme pas mal de choses ces derniers temps.

J'étais conscient de mon don indéniable pour la peinture. Cette capacité étonnante que j'avais de recréer des images sur une toile et de les rendre plus vivantes que la réalité m'avait été découvert lors de l'un de mes nombreux moments de solitude. Ces moments où l'on se rend compte que le monde qui nous entoure est fade et oppressant, et que l'on cherche désespérément un moyen de s'en défaire.

J'avais donc trouvé cette activité, moins fatigante que de gérer des conflits politiques entre factions surnaturelles, ou de frapper à mort un rebelle agaçant. Cela me nécessitait beaucoup plus de temps, et c'était bien là chose qui me manquait ces temps-ci.

Je saisis ma palette d'un geste lent et commençai à effleurer timidement ma toile de couleurs vives et rafraichissantes. De simples tâches pour l'instant qui deviendront dans quelques temps un portrait à exposer dans mon salon, ou à jeter au fond de ma cave selon mon humeur. Ou peut-être à offrir, qui sait ?

Encore une nouveauté étrange de mon passage à la Nouvelle-Orléans, moi qui avais l'habitude de peindre des tons sombres et angoissant inspirés des artistes comme A. Bertrand, me voilà perdu dans un tourbillon de gaieté et d'innocence à la Claude Monet.

Un revirement artistique que je n'avais prévu et qui était dû à une seule et unique personne. Une petite étudiante rebelle que j'avais bien du mal à apprivoiser mais qui réussissait là où d'autres avaient échoué : me distraire d'une autre manière qu'avec du sang ou du sexe.

Il était clair que la tentation de son cou devenait de plus en plus insupportable au fil des jours. Honnêtement, je ne savais pas combien de temps j'allais pouvoir contenir mon instinct de prédateur, mais la perspective de son éternelle soumission et obéissance était une bonne motivation.