Épilogue {Fin}

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Je mangé mon bol de céréales dans le plus grand des silences. Un cauchemard. J'avais fait un cauchemard dans un cauchemard. Je suis dans la vie réelle maintenant ? Ou c'est encore un cauchemard ? Les autres Patricks sont rentrés. Mes amants m'ont fait l'amour. Ils m'ont embrassé. J'ai été le soumis mais se n'était pas déplaisant. Les voirs au petit soin pour moi. Sentir leurs main exploré mon corps. Leur lèvres m'apprendre l'amour et leurs sexes m'apprenant le plaisir. C'était bien. J'étais guéris de tout et pourtant je vais mal. Pourquoi ? Car j'ai cette impression de manqué quelque chose. Sans vous mentir je sais ce qu'il me manque. Je le sais. Le mec dans mon cauchemard me la dit. J'ai crié. Hurlé. Pleuré. Il a répété. J'ai encore crié. Encore hurlé. Encore pleuré. Il a encore dit. Je me la suis fermé. J'ai accepté et je vais y allé. La chose qui me manqie pour être heureux c'est le pardon. Le pardon maternelle. Mon pardon envers ma mère. Je dois pardonné la femme qui ma prostituée et battues. Qu'elle horreurs. Ce n'ai pas juste.

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Un an. Un an que je nage dans le bonheur presque parfait. Je suis enceint c'est merveilleux n'est-ce-pas ? C'est un fille. Je suis un homme heureux qui vit dans un manoir avec ses hommes et ses amis et qui va dans quelque mois accouché d'une petite fille. On lui à préparé un chambre toute bleu ciel. On se disait que le rose était cliché. Mais il faut que je fasse mon pardon. Il le faut. Ensuite je serrai tranquille pour toujours. Et jusqu'à la fin de ma vie. Je veux être tranquille. En paix. Avec moi. Avec elle.

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Bonjour, c'est encore moi. Je suis allé au cimetière hier. Je vais mieux. Je suis pleinement heureux. Comme la clé qui enlève les chaînes, ce pardon ma fait du bien. Et la petite va bientôt arrivé... Je te ferme chère journal et je te balancerai au feux car tu es la dernière pièce du puzzle. Merci d'avoir était là. Mais toute bonne choses à une fin...

Si je devais écrire quelques dernière lignes je te dirai que

Le pardon n'est pas une faiblesse, nous pardonnons mais nous oublions pas.

Et

Les seules limites dans ta vie sont celles que tu créés dans ton esprits.

La page est brûlé.

Xariboynet : Pour La Vie [Terminé]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant