L'amour de l'océan / Ereri-riren

CHAPITRE 2 : On s'assied, pour rêver, sous le saule pleureur ;

Pdv Eren

Ils sont tous là. Tout le gang c’est déplacé pour venir me voir faire des miracles avec ma planche.

Tout d’abord il y a Armin, mon meilleur ami qui me soutient dans ma vocation depuis toujours. Puis Mikasa, ma deuxième amie que je considère presque comme une sœur. Il y a ensuite Jean, un peu con sur les bords mais digne de confiance, Reiner et Bertolth, un duo de bras cassés. Ah ! Et euh, ils sont en couple. Vient ensuite Annie,  une fille bizarre qui parle presque jamais sauf pour casser l’ambiance.  Et enfin Connie et Sacha, deux amoureux de la bouffe.

Mon entraîneur ne devrait plus tarder. Il est parti chercher quelqu’un en me disant qu’il avait une surprise pour moi. Je me demande ce que c’est. Mais là je veux juste qu’il revienne pour finir de me préparer. Je vais bientôt devoir me lancer et je sais toujours pas ce que je dois faire.

Le soleil brille de mille feux. Les vagues ne sont pas bien grandes au Pays Basque, mais pour ce qu’on va faire, cela suffit largement. Tout ce qu’il nous demande c’est de tenir sur une planche et de faire quelques figures de premier niveau. Rien de bien difficile en soi. J’ai peur. Je commence à stresser comme un malade. En même temps c’est normal, c’est ma toute première compète.

J’espère que tout se passera bien. Enfin, y a pas de raison que le contraire arrive.

Je me suis entraîné comme un malade ses derniers temps. Je passais presque mes journées à la flotte pour peaufiner ma technique de surf.

Oui je suis un jeune surfeur amateur de 18 ans. Mon rêve à moi c’est de participer au tournois le plus prestigieux de surf et devenir aussi bon que mon idole. Vous voyez pas ? Mais si enfin. Un type aux cheveux noir et au regard gris acier. Toujours pas ? Vous êtes nul ! Bon un indice : on l’appelait le Caporal. Bien sûr,   personne ne connaissait son vrai nom.

C’était un géni du surf. Une vrai légende constamment accompagné de ses deux amis surfeur.  Je sais plus comment qui s’appelaient ces deux là. J’ai vu toutes ses compétitions des dizaines de fois.  Que dis je ? Des centaines de milliers de fois. Non non, je n’abuse pas. Une fois je suis même allé le voir en vrai et j’ai réussi à avoir une dédicace. UNE PUTAIN DE DÉDICACE DE MON IDOLE !!!!!! Je l’ai directement mise dans un cadre au dessus de mon lit. J’étais tellement heureux de l’avoir rencontré.

Je le suivais constamment. Me renseignait sur tout ce qu’il faisait. J’ai un poster de lui en taille réelle. D’ailleurs je suis plus grand, ça m’a trop fait bizarre mais ça n’a rien changé à mon amour pour lui. En tant que fan hein bien sûr.  Allez pas vous imaginer des choses bandes de sale petit pervers. Oui c’est à vous que je parle. Oui vous derrière vos écrans qui n’attendait que ça, bavant sur vos claviers.  Faite pas les innocents.

Qu’est ce que j’aimais chez lui ? Déjà,  il était juste à tomber. Ses yeux gris qui semblaient sonder votre âme,  ses cheveux noir corbeaux à la undercut, et sa putains de musculature !! Il était trop sexy, et mignon en même temps. Bon ok, je crois que je l’aimais un peu plus que comme un simple fan. Bah quoi ? J’ai le droit d’être gay ! Ça vous pose un problème ?

Ensuite son style. Tandis que certains surfeurs étaient agressifs avec leur planche, lui semblait danser avec les vagues. Oui c’est ça. Il s’agissait d’un  ballet entre lui et l’océan. Comme si il était en parfaite harmonie avec l’eau. Il semblait être en apesanteur, il glissait avec aisance et… Wouah !! Rien que dit repenser j’en ai encore des frissons. D’ailleurs mon style à été calqué sur le sien.

Puis un jour, plus rien. Il avait disparu de la surface de la Terre sans rien dire. J’ai cherché que mon monde allait s’écrouler quand je l’ai sût.

Encore aujourd’hui, deux ans plus tard, personne ne sait ce qu’il est devenu. La dernière chose qu’on à sût était qu’il partait surfer en free style avec ses deux amis surfeur. Puis plus rien. Aucun des trois n’est revenu. Ah si ! On a retrouvé les corps de ses deux camarades. Mais le Caporal lui, a était porté disparu. On a jamais retrouvé son corps…

PUTAINS !!!! J’AIS TROP ENVIE DE CHIALER !!!!

C’est à partir de ce jour que j’ai décidé  de devenir comme lui.  Je voulais l’égaler. Devenir aussi doué que lui. Voir même le dépasser. Et c’est aujourd’hui que ma carrière va commencer… ou s’arrêter.

-Eren !!

Je me retourne et là… soulagement total. Mon entraîneur, Erwin Smith vient vers moi, un grand sourire plaqué sur son visage. Je lui rend son sourire. Je remarque une erreur personne derrière lui. Un homme plus petit, habillé avec un sweet noir et un jean. Des cheveux noirs à la undercut, les yeux gris acier sans expression (il me rappel étrangement quelqu’un mais je sais plus qui…). Il boîte beaucoup de la Jambe droite et, piting, on dirait un vrai cadavre ma parole !! Enfin non, pas à ce point là quand même. Il et juste maigre et à l’aire fatigué. Mais il est aussi drôlement sexy et mignon. Attend une minute ? J’ai dit que c’était un cadavre et je le trouve sexy et mignon ?? Je serais pas nécrophile des fois ??

-Et ben, c’est pas trop tôt ! Ralais je, j’ai cru que vous ne reviendriez pas.

-Enfin, Eren, c’est mal me connaître. Répondit mon entraîneur. Bon, il reste combien de temps avant que ça commence ?

-20 minutes.

-Ca va, tranquille. Eren, je voulais te présenter quelqu’un. Voici Livaï Ackerman, l’homme dont je t’ai parlé. Livaï, je te présente Eren Jeager, le jeune prodige de surf.

Alors c’était lui le fameux amis dont il m’a tant parlé ? Ackerman ? Comme Mikasa ? Sa surprise, comme il dit. Je vois pas en quoi c’est une surprise. A part le fait que je suis en train de le reluquer comme pas possible. Il est vraiment trop kawaii !!

-Salut, ravi de te rencontrer, dis je en lui tendant la main.

Il se contente de me regarder sans changer d’expression. Mais ses yeux. Au mon dieux ses yeux. Ils sont magnifiques. D’un gris acier, tendant vers un bleu ciel. On dirait un ciel chargé de nuages orageux. J’aurais envi de me perdre dans ce regard pendant des heures. Je peux également y voir une lueur… de détresse ? Et de désespoir ? Alors lui, c’est sûr qu’il cache quelque chose. Et je sais pas pourquoi, mais je veux tous faire pour le découvrir et l’aider.

Nous nous regardons un instant sans rien dire. Je n’arrive pas à déterminer ce qu’il pense de moi. Tous ce qu’il fait, c’est me regarder. Puis il se tourne vers mon entraîneur qui n’a rien dit depuis qu’on a commencer à se fixer.

-Erwin, j’ai mal.

Oh Jésus, Marie, Joseph !! Cette voix !! Mais qui lui a permit d’avoir une voix pareil ? Ça devrait être interdit d’avoir une voix aussi belle, douce, mélodieuse, grave et rassurante à la fois. Le visage de mon entraîneur se fait plus dur. Apparemment, quelque chose ne vas pas. Mais je ne sais pas quoi. Et je crois pas que ça soit le moment de demander.

-Eren, dit Erwin, je vais conduire Livaï là où il pourra s’asseoir, je reviens aussitôt après.

J’hoche la tête et les regarde partir vers le côté des entraîneurs ou des bancs ont été aménagé. Ce Livaï boîte quand même beaucoup. J’espère qu’il ne lui est rien arrivé de grave ?

Peu de temps après, mon entraîneur revient vers moi. Il me donne les dernières indications avant que le départ ne soit donné. Il reste 5 petite minute avant que le coup ne soit donné. Je me concentre, je fais le vide dans ma tête et je pense au Caporal pour me donner du courage. Je m’imagine qu’il est venu me voir pour me soutenir, qu’il est fière de moi et qu’il m’encourage. Plus que 2 minutes. Mon cœur s’emballe un peu.

-Caporal, où que tu sois, soutiens moi…

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Mon deuxième Chapitre !!!! 😄😄😄😄

J'espère que cela vous plaît toujours autant. Surtout n'hésitez pas à laisser des coms. Ça pousse à continuer l'écriture.

Et au fait, je relance le débat. Chocolatine ou pain aux chocolats ??

Gros bisous baveux mes p'tits loups 😘😘😘😘