Une soirée au bord du lac.

On joue ?

Je suis allongé sur mon lit, à regarder Ian face à moi. Je sais pas trop à quoi m'attendre, je ne savais pas se que je voulais. Il vint doucement m'enlever mes chaussures avant de les lancer au sol. Il vient sur le lit. En faite non pas sur le lit, pas sur le lit. Sur moi, il vient à quatre pattes au dessus de moi. J'entend ses chaussures tomber au sol. Il avance sur moi. Je sens mon t-shirt remonter, puis un baiser sur mon ventre. Brrrr je frémis. Il remonte encore et vint déposer un baiser dans ma nuque, je frémit à nouveau. Il vint déposer un baiser sur ma joue avant de venir poser ses lèvres sur les miennes avec douceur. Je répond doucement à son baiser, je sens sa langue sur mes lèvres, je la laisse volontiers passer. Nos langues dansent ensemble, je sens ses mains remonter sous mon t-shirt. Putain qu'elles sont douces, elles me font frémir à nouveau. On finit par décoller nos lèvres par manque d'oxygène. Je vins passer mes bras derrière sa nuque. 

Il vint me chuchoter à l'oreille, en redescendant ses mains sur mes haches.

-Est-ce qu'on peut faire des bêtises maintenant ? Ses mains descendent sur mes fesses, je ne peux m'empêcher de gémir.

-On peut pet-être attendre... Thibault est encore là.

-D'accord Bébé. Il roule sur le coté m'emmenant au dessus de lui. Mais ton frère ne sera pas toujours une excuse. Je souris et me relève un peu prenant appuis sur son torse avec mes mains.

-Qui a dit que c'était un excuse ? Bon ok, peut-être un peu... Je suis pas sur d'être prêt... Même si mon corps à encore envie de lui je suis sur qu'il me remerciera si on n'attend. Je vais devenir maso si on le refait maintenant. Brrr... Je frémit encore, il m'a ramené contre lui et fait glisser ses lèvres dans ma nuque. Je me mord la lèvre inférieur, les siennes sont si douces. Je sens ses mains passer dans mon dos sous mon t-shirt, elles viennent glisser entre mon pantalon et mon caleçon. Ian ! Pas maintenant ! S'il te plait mon chou.

-Bon... Qu'est-ce qu'on fait alors ? Je le regarde, puis je vins poser un baiser sur son nez, avant de demander:

-On peut jouer à la console ? Regarder un film ? Enfin je sais pas... On s'occupe un peu ? Il vint doucement poser ses lèvres contre les miennes Il vint passer ses mains sur mes cuisses, se redressant il m'assoit sur ses cuisses. Mes mains sont toujours posé sur son torse. Il éloigne doucement ses lèvres des miennes. Il détache finalement ses lèvres des miennes pour me dire.

-J'aimais bien l'idée de t'embrasser, de te garder contre moi, de faire voyager mes mains sur ton corps. Mais si tu veux on peut simplement jouer à la console. Il me caresse doucement les cuisses. Putain le crétin ! C'est qu'il veut vraiment que je cède. Que je lui saute dessus. Je ne lui ferrais pas se plaisir. Pas maintenant. Je me mord la lèvre en le regardant.

-Mais... Idiot... Je ramène mais mains sur les siennes. J'aimerais beaucoup vivre sous tes caresse mais... Je baisse un peu le regard. Je crois pas être prêt à... à le refaire... maintenant... Enfin je... Ma phrase reste en suspend ses lèvres qui se posa à nouveau sur les miennes m'empêche de continuer. Heureusement je sais pas trop comment j'aurais continué. Il s'éloigne un peu de moi.

-On est pas pressé tu sais. On a largement le temps pour recommencer. Parce que tu sais je pense que je vais t'aimer encore très longtemps. Et que j'aurais aussi envie de toi pendants encore très longtemps... Cette fois-ci c'est moi qui l'empêche de reprendre, je l'embrasse. Avec tendresse et passion. J'aurais pu hurler que j'aimais se garçon à se moment. On vint détacher nos lèvres quand nous n'avons plus d'oxygène. Mes mains étaient encore sur les siennes, ils les prends doucement dans les siennes et nos doigts s'entrelace. Je le regarde simplement, je souris comme un con, comme un gosse. Il me sourit aussi, il est tellement mignon comme ça.

Il relève mes mains vers le haute avant de me faire basculer en arrière. Il se penche un peu au dessus de moi, remontant mes mains au dessus de ma tête.

-Alors, qu'est-ce qu'on fait mon Léo ? Mon Léo !?! Brrrr, Mon, je pense mon Ian, mais je ne l'ai pas dis moi. Mon Léo. Oui. Le sien. Je crois bien que oui. J'aime bien, j'aime bien quand ça vient de lui. On entend une porte claquer. La chambre de Thibault. Et une deuxième, la porte d'entré. Il faut croire qu'on est seuls maintenant...

[to be continued...]