Partie 14

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Cher journal,

Voici enfin après une semaine de marche, notre village troglodyte.

Il ne paye pas de mine comme ça, mais c'est un lieu stratégique très intéressant.

Chaque demeure et battit à environs trente mètre du sol à même la roche au niveau d'une falaise.

L'accès se fait par des passerelles et des échelles en bois aménager par les Spearwood.

Notre grotte est située en périphérie du village et orienté plein sud, ce qui nous permet de goûter au maximum du soleil, de jour.

Nous apercevons également la cime des arbres à notre hauteur et au loin, l'océan immense.

Haaa... Si j'avais pensé à prendre la longue vue du capitaine sur l'Irradiant...

Les progrès de Ragnarok son stupéfiant.

Les cours de médecine des plantes ont étaient dévoré en deux jours...

Normal tu me diras, pour un shaman, mais tout de même surprenant.

Demain c'est jour de chasse...

Nos hommes vont partir en foret pour chasser le singe et le volatile.

De mon coté, je vais commencer à ensemencer quelques herbes médicinales pour que le printemps m'apporte ce dont j'ai besoin pour mon stock.

J'ai observé quelque chose d'assez déconcertant depuis peu, c'est le système de datation spécifique et l'avancé mathématique du clan.

C'est sans doute étrange, mais j'ai l'impression que les Spearwood n'on rien à enviés au plus grand mathématicien de Hurlevent. Leur calendrier est très précis, et grâce à un appareillage de bois, ornée de tige et de boule entre chassé dans ses dernières, ils peuvent compter et effectuer des calcules très rapidement.

Il appel cela le Compteur d'Utèrr, c'est un super calculateur pour ainsi dire.

Qu'il est loin le temps ou je pensais être tombé au milieu de sauvage !

Malgré tout, mon corps se pince en ce moment, et il m'arrive d'avoir des crises de sanglot...

Est-ce le manque de mes amis ? Le mal du pays ?

Sans doute... Le goût amer d'une promesse non tenu...

Teiana... Ma chère Teiana...

Pardonne-moi mon manquement, et embrasse Nôss si tu le vois...

En espérant que mes prières seront entendues.

Les jours ralentisse de plus en plus ainsi que les températures nocturnes.

C'est la raison pour laquelle Ragnarok ma taillé une fourrure à même un singe, fourrure que je vais rafistoler pour en faire un gilet en plus du baume bleu traditionnel que la tribu utilise.

Haaa... La couture...

J'ai essayez de me souvenir des techniques qu'appliquait Sander, mais le résultat fut catastrophique, surtout avec le matériel local, formé de fil de lin et d'aiguille en bois.

La fourrure me tient malgré tout, assez chaud, ce qui fait plaisir par des nuits fraîche et humide. J'ai put au moins compter sur mes connaissances médicales pour suturer mon gilet.

L'humidité... Ô combien je ne supporte pas les pluies de mousson et cette période ignoble ou l'ont à l'impression de suer tout le temps.

La journée, une chaleur humide écrasante et la nuit une fraîcheur humide déconcertante.

Climat propice aux maladies respiratoire, ce qui n'a pas tardées à commencer parmi des membres du clan.

Et c'est pendant le trajet pour aller au village d'hivers, que deux enfants sont tombés malade avec un début de fièvre...

Heureusement c'était, il y a trois jours, soit un jour avant notre arrivé.

Si la situation n'évolue pas à la normale je vais devoir redoubler de vigilance tout en me contentant seulement de faire mon devoir de médecin du clan, avec amour et compassion pour ceux qui mon recueillit, en restant discrète pour ne pas paraître arriviste.

Ragnarok et à présent rentré, les bras charger de nourriture, qu'il va falloir préparer.

Mais avant, un peu d'intimité ne nous fera pas de mal...

Surtout après une journée d'effort.

Il est temps de me retirer dans les bras de mon époux, cher journal.

Puisse Elune bénir ceux qui réclament ça volonté divine.

Neysha.


Le Bruissement des VaguesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant