Chapitre 26

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Mercredi 28 mars

14h56

Le retour aux sources, Paris.
Je prends le courrier que j'ai pas prit depuis que je suis parti et je rentre chez moi.

Idriss est parti chez lui pour ce reposé.
Je dépose mon sac de voyage dans ma chambre et je vais regarder mon courrier.

Un courrier du tribunal. Je commence à lire.

"Convocation pour le procès de monsieur Dylan Victas le jeudi 5 avril"

Le stresse monte d'un coup. De le revoir, de me dire si il va être jugé coupable ou pas.

J'envoie un message à Gabrielle, Alicia et Mina pour qu'elles me rejoingnent chez moi parce que ce soir on va tous aux concert au zénith.

Je fais un peu de nettoyage et je pars prendre une douche car je me suis pas lavé aujourd'hui ce matin j'avais la flemme.

Je fais un peu de nettoyage et je pars prendre une douche car je me suis pas lavé aujourd'hui ce matin j'avais la flemme

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Je me fais belle pour mon chéri quand même.

Je me fais un chignon et je me maquille un peu. Un beau rouge à lèvres nude matte.

Je regarde ma montre, 16h49. Ça passe vite.
J'appelle Idriss pour savoir si il est chaud pour ce soir.

Idriss - Oui mon coeur.
Moi - Ça va, t'es prêt pour ce soir ?
Idriss - Je suis grave chaud la mais j'ai envie de toi.

Il a dit la dernière phrase en chuchotant. Il est vraiment grave ce mec, il peut plus se passer de moi.

Moi - Pourquoi tu chuchotes ?
Idriss - Il y a les mecs à côté de moi.
Moi - Bon sinon j'ai reçu la convocation pour le procès de Dylan.
Idriss - C'est quand ?
Moi - Jeudi 5 avril.
Idriss - Je serais là.
Moi - Merci.

La sonnette de ma porte d'entrée retenti.

Moi - Bon je vais te laisser les filles viennent d'arriver.
Idriss - Oublie pas vous venez à 19h au zénith et on mange tous ensemble.
Moi - T'inquiète pas chéri.

Je pars ouvrir en même temps et je leurs fais signe de s'assoir sur le canapé.

Idriss - J'espère j'aurais le temps de te prendre dans les toilettes.

Je me tape le front avec ma main.

Moi - IDRISS !

Il éclate de rire.

Idriss - C'est bon je rigole bébé, t'as reprit tes pilule au faite ?
Moi - Ba nan faut que j'aille renouveler mon ordonnance chez la gynécologue.
Idriss - Bon vas-y à tout à l'heure bébé.

Je rejoins les filles au salon, je leur fais un câlin.

Moi - On doit y être pour 19h.

Je leurs raconte ensuite pour la convocation.

19h04

On rentre dans les coulisses du zénith.
Un mec nous emmène jusqu'au loge.

On toque. Il y a Théo avec sa femme.
On va leur faire la bise.

Mina - Ils sont où les autres ?
Théo - Parti chercher la bouffe.

Je m'assoie sur un canapé à côté d'Ana la femme de Théo.

Ana - Tu t'es fait belle pour ton chéri ?
Moi - Nan pour le tien.

Je rigole toute seule.

Moi - Je rigole Ana, oui pour le mien.

Elle rigole aussi. On attend un peu et les mecs rentrent. Idriss fait la bise aux filles et il termine par moi.

Il m'emmène dans la pièce juste à côté de la loge mais ouverte et il m'embrasse.

Idriss - T'es très belle.
Moi - Toi aussi t'es beau.

Je caresse sa petite barbe, je l'embrasse à mon tour et on retourne dans la loge manger.

02h34

Idriss - Depuis 19h j'attends que sa.

Il me pousse sur son lit et il s'allonge sur moi. J'encercle sa taille avec mes jambes.

Il déboutonne ma robe chemise puis il m'embrasse le ventre.

Je le pousse pour me lever. Je lui enlève ses chaussures, sa veste et son jean.
Il enlève lui même son tee-shirt.

Je me mets à califourchon sur lui. Je l'embrasse tout en descendant mes mains jusqu'à son boxer.

Je sais très bien qu'il attend que sa. J'embrasse sa mâchoire, son torse, ses abdos peu dessiner mais j'aime quand même puis je finis par lui enlever son boxer.

Je n'ai encore rien fait qu'il a déjà la bouche ouverte.

Je prends son intimité dans ma main, je commence par des vas et vient puis je rajoute ma bouche.
J'accélère, il grogne de plus en plus fort.

Idriss - Accélére bébé.

Je m'excute.

Idriss - Je vais venir chérie.

Je continue seulement avec ma main jusqu'à son apogé.
Il est essoufflé.
Je vais nettoyer son torse avec un gant et il me prend les mains pour m'allonger sur lui, je mets ma tête dans son coup.

Idriss - Je t'aime Keïla.

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