Bonjour, bonsoir !
___________________•Ayannah•
Je regarde cette bague puis repose mon attention sur lui. Il me regarde en souriant puis moi je voyais de plus en plus flou. Je met ma main sur ma tête puis la dernière chose dont je me rappelle c'est que j'étais tombée de ma chaise.
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Une lumière sur les yeux m'aide à les réouvrir. Un médecin se tient devant moi ainsi que Yan qui était assit à mes côté.
Médecin - Comment vous sentez-vous ?
- Bien.
Médecin - D'accord, je reviendrai vous voir plus tard pour voir si vous allez bien.
- D'accord.
Il s'en va.
Yan - Tu m'as fait peur.
- Désolé mais je m'y attendais pas... Ça m'a trop fait pensé à mon autre demande. Même si je sais que c'était pas une demande, hein ?
Yan - Ouais... C'était un cadeau.
Je souffle de soulagement. J'aurai pas aimé lui dire "non". J'aime pas faire du mal au gens alors qu'ils veulent mon bien être.
- apeurée Et Mathis ?
Yan - T'inquiète je l'ai emmené à l'école. Il est presque 12 heures, je vais y aller. Tu m'appelles si ils te laissent.
- J'ai eu peur. D'accord, à plus.
Il me fait un bisous sur la joue puis s'en va.
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J'arrivais enfin à m'endormir quand soudain quelqu'un frappe à la porte. Je lâche un "entré" peu audible. J'ai déjà mangée donc je vois pas qui c'est.
La porte s'ouvre laissant apparaître ... William !
- J'ai pas envie de te voir, dégage !
William - Eeh molo, je suis venu te rendre visite alors que j'avais du travaille devant moi donc arrête de faire la princesse 2.0 et accueille moi comme il se doit... Je t'ai ramené un grec.
- J'en veux pas.
William - Tant pis, en plus j'avais fin dit-il en s'asseyant et en ouvrant la boite.
- Tu peux arrêter de faire comme ci de rien n'était deux seconde ? Sérieux, à chaque fois que je te vois j'ai envie de te gifler tellement tu m'énerves. Tu crois vraiment que j'ai tous oublié ? Ce que tu m'as fait. Je sais pas comment tu fais pour me regarder droit dans les yeux et me parler normalement, comme avant. Je sais pas si tu t'en rends compte de ce que j'ai endurée à cause de toi et tu me dis rien, même pas un pardon ? Sérieux, tu me dégoûtes vraiment, mais vraiment ! Moi, je t'aimais à en mourrir. J'étais tellement folle amoureuse de toi que j'ai même pas réfléchis à mes actes et voilà ce qui est arrivé et arrivé. T'es partis cinq ans, cinq longues années et moi tu sais où j'étais ? Bien sûr que non, puisque monsieur était trop occupé à vouloir se faire de l'argent le plus rapidement possible. T'as même pas chercher à me contacter ou à me donner de t'es nouvelles. Tu crois vraiment que ton fric va te suivre dans ta tombe ? ... Pendant que toi t'étais en train de te la couler douce moi, j'étais à la rue et j'étais enceinte. Ta mère, m'a traitait comme une moins que rien, dès que t'es partie elle a même pas cherché à comprendre elle a jeté mes affaires dehors. Je me suis mis mes parents à dos, j'avais plus rien ... Seul Dieu ! Á la rue, j'ai bien réfléchi et j'ai décidé de garder mon enfant. Parce que après tous tuer est un pêcher et tuer ma chair, c'était impossible. J'ai accouché dans la misère chez ma pote qui était là elle, contrairement à toi, qui devait l'être ! Maintenant cinq ans après, on va bien grâce à Dieu... Je sais que mon monologue n'a servit sans doute à rien puisque que je suppose que t'as rien n'écouté. souffle
Suite à ça il baisse la tête sans rien dire. Je crois fortement que les regrets commençaient enfin à s'emparer de lui et j'espère bien. Il passe sa main dans ses cheveux en posant son grec sur le côté.
William - Désolée Aya !
- Ayannah. dit-je en le corrigeant
William - C'est à mon tour de parler maintenant ... Je t'ai demandé en mariage puis le soir même quand on n'a dérapé... J'ai commencé à regretter, je savais pas pourquoi mais je me disais qu' avoir une femme, c'était beaucoup trop de responsabilités sans compter ma mère qui me retournait sans cesse le cerveau ! Puis y'a toi qui me mettais la pression pour qu'on se marie le plus vite possible, ça m'a fait encore plus douté. Je pensais que y'avais que mon argent qui t'intéressais. Le jour de notre mariage, dans la chambre tu m'as annoncer pour me gosse. Et c'est là que j'ai eu un déclic, je pensais encore plus que tu voulais juste après mon argent. J'ai dis des mots complètement déplacé envers toi et je le regrette aujourd'hui, pour de vrai Ayannah ! Je suis donc partis, j'ai dormis à l'hôtel pendant deux jours puis je suis venue récupérée quelques affaires à moi importants et je suis partis au Canada continuait mes études. J'avais prévenue ma mère, je voulais le faire avec toi aussi mais je pouvais pas. Donc j'ai terminée mes études et j'ai ouvert ma propre entreprise. Sérieux, je regrette vraiment d'être partis. J'étais encore un gamin et con.
S'il te plaît Aya, pardonne-moi !Je ne dis rien à mon tour. Mes larmes allaient couler c'est sûr, je ferma et passa mes mains sur mes yeux pour éviter de pleurer. Il venait de me demander pardon, il avait l'air vrai pourtant mais quelques choses m'empêchais de le pardonner. Je pouvais pas oublier ça, pas maintenant en tous cas.
Il se lève puis s'approcha de moi pour me serrer dans ses bras. Je gardais mes mains sur le lit pour qu'il comprenne que je ne voulais plus de lui. S'en m'en rendre compte ses lèvres sont venues se poser sur les miennes...
: Eeh Aya t'as pas relevant la tête .... Putain !
Je pousse William et me tourna vers la porte qui était grande ouverte et devant celle ci se tenait Yan, sourcils froncés et points serrés.
- Yan, c'est pas ce que tu crois. C'est -
Yan - C'est bon je vois qu'elle genre de meuf t'es. T'es vraiment qu'une petite pute toi, enfaite ? Ça fait un an tu me repousses et quand ton vieux chien reviens c'est direct bisous ? Hum ... D'accord !
William - Parles lui bien !
- William, c'est pas le moment s'il te plait.
William - Quoi c'est pas le moment ? Il t'insulte de "pute" et tu dis rien ?
Yan - Je préfère m'en aller. Je suis pas tombé sur la bonne femme à ce que je vois.
Il s'en va en claquant la porte puis quelques seconde plus tard c'est William qui s'en est allé. Je touche mes lèvres, putain je suis tellement conne. Comment j'ai pus le laisser faire ça ? Après tous ce que j'ai dis... Je me dégoûte !
Quelques semaines plus tard.
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Ayannah | Qu'est-ce que tu croyais ?
Ficção GeralLes erreurs sont toujours pardonnables ; seulement si celui qui les a commises à le courage de les admettre. _chroniqueuse2000_ Création : 08-07-17 Publication : 11-08-17 Fin : ?