Chapitre n'8

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Anaïs

Je voulais ouvrir la porte.. Mais bon j'avais oublié quelle était bloquée de l'intérieur. Fares fait le tour de la voiture et m'ouvre la porte. Je sors de la voiture en sautant elle est haute quand même comme voiture. J'avance je ne l'attends pas. Je voulais que ça se termine assez vite. Je ne sais même pas ou je vais mais bon ...j'avance quand même. Il me rattrape, me reteint..

- Doucement, qu’est-ce que tu fais la?....pourquoi t'es fermée comme ça ?..depuis qu'on s'est parler dans la voiture ça ne va pas..(il sort son meilleur sourire)

- J'ai rien(je lui dit avec un ton sec. En me dégageant de son emprise)

- D'accord ..moi qui voulais qu'on y aille au Macdo avant..

Je le regarde avec de gros yeux. Juste à penser au Macdo mon ventre crie famine.

- Ok on y va.(en fessant un grand sourire)

- T'es vraiment une bagra toi hein..(il me souris et m'ébouriffe les cheveux)

- Comme si toi tu ne les pas.(en rigolant et me re coiffe vite fait)

On c'est regarder dans le blanc des yeux puis on s'est souris comme de gros boloss ..pars la suite on s'est diriger vers le grâle ..le Macdo...

Je vous passe, on à commander. J'ai bien fait une grosse commande, m'en fiche de l'heure qu'il est y'a pas d'heure pour manger déjà et surtout un Macdo.. on c'est poser sur une table avec nos plateaux. Nous avons discuter vite fait ensemble. Je le regarde mal il m'a piqué des frites ce salop.. j'aime pas qu'on me pique des choses de mon repas.

- Pourquoi t'a fait ça?..(je le regarde toujours aussi mal) 

- Quoi?... J'en voulais (il me souris)

- Mais tu en as ..(je lui montre ses frites qui sont sur son plateau)

- C'est pas pareil.

- Bien sur que si. (en fronçant les sourcils)

- Non, non.

- Fait moi gouter les tiennes alors.

- T'a pas intérêt Anaïs. (il me regarde d'un air de défie très sérieux) 

- Mais pourquoi toi tu as le droit..et moi non?..

- C'est comme ça.. ne chercher pas.

Moi on me dit non mais je ne peux pas résister à la tentation.. je fonce la tête en première. Attends il m'a quand même piquer des frites c'est beaucoup déjà.. faut que je récupère mon du.

Je me lève vite fait, pour pas qu'il comprenne. J'ai la frite de monsieur dans ma mains droite. Il m'a directement attraper le poigner droit. C'est qu'il est vif celui-là.

- Lâche ça.

- Non.( avec ma main gauche j'attrape la frite qui était dans ma main droite)

Je mets la frite dans ma bouche et mâche le plus vite que je peux. Avec bien évidemment un sourire de vainqueur même si je l'ai toujours dans ma bouche. Lui me regarde très mal. Il m'attrape la mâchoire en la tenant très fort pour que je ne puisse pas mâcher .

chronique de Anaïs: kidnapper par sont futur Mari . Réécriture Où les histoires vivent. Découvrez maintenant