DEPUIS LE TEMPS QUE VOUS L'ATTENDIEZ AHAH, LE LEMON EST ENFIN LA! (D'ailleurs ce chapitre est simplement dédié à la scène en elle-même, donc si vous êtes gênés avec ça vous pourrez la passer sans problèmes.)
Enfin, je sais si je l'avais déjà dit, mais ce fut mon tout premier lemon. Gosh, j'aurais jamais cru en écrire un comme ça, c'est pour ça que ça m'a pris autant de temps ahah... XD Mais tout ça veut dire que l'on se rapproche très dangereusement de la fin, préparez-vous!
En parlant de fin, ne paniquez pas (mdr), j'ai déjà un autre spamano sous la manche depuis un petit bout de temps! Je le développe petit à petit, mais j'ai déjà pas mal d'idées, et se sera très différent de cette fanfic... Soyez préparé! \o/
Et dernier point, comme vous l'aurez constaté, les cours ont repris et donc je publierais moins souvent... Mais j'imagine que je posterai surtout le mardi (comme j'ai pas cours le mercredi matin) et le week-end...
Bref, trêve de bavardages et allez lire ce lemon que vous attendiez tant! (En vrai j'ai vraiment peur du résultat lol)
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Lovino ne ressentit même pas la douleur quand il fut plaqué violemment contre la porte de la pièce. Tout ce qu'il pouvait sentir était la langue d'Antonio dansant avec la sienne, son bras entourant sa hanche alors que sa main glissait discrètement sur sa fesse, l'autre autour de son poignet, la tenant fermement sur le côté de sa tête, et sa jambe entre les siennes. Il se répétait que c'était réel, que toutes ses sensations qu'il éprouvait dans chaque partie de son corps étaient aussi véritables que la pièce dans laquelle il se trouvait. Ou alors c'était une illusion chimérique. Lovino s'était peut-être évanoui et était en train de rêver. Et pourtant la chaleur qui émanait de son corps ou de celui d'Antonio étaient si embrasées, si réelles que Lovino ne pouvait nier cette délicieuse, parfaite réalité.
Alors il en profita. Il laissa tomber l'embarras, la gêne et toutes ces contraintes qui lui avaient rongées la vie, et il passa sa main dans les boucles brunes d'Antonio, tout en dévoilant des gémissements longtemps étouffés par sa fierté habituelle. Sa jambe s'enroula autour de celle d'Antonio, se perdant dans ce baiser fiévreux et désespéré, comme si Antonio avait attendu ce moment depuis tellement longtemps, comme Lovino tout compte fait. Leurs langues effectuèrent un ballet endiablé, refusant de lâcher l'autre, jusqu'à ce que Antonio rompe le moment pour essayer de reprendre leur souffle.
Ses yeux verdoyants brûlaient d'une sombre lueur à travers ceux de Lovino, rempli de désir et d'excitation, et sa peau étincelait déjà de chaleur. Lovino respirait comme si sa vie en dépendait, rouge et beaucoup trop excité et émoustillé pour rester calme. L'air semblait si chaud et écrasant, si pesant et érotique autour de lui. Il s'en fichait que ce soit sa première fois, parce que ce premier baiser était avec Antonio, ces simples gestes d'affection et de frustration relâchées étaient dévouées à la personne qui lui importait le plus. Ses propres yeux brûlaient de plaisir aussi.
Le répit ne fut pas long néanmoins, puisqu'Antonio s'attaqua à nouveau au cou de Lovino avec férocité, suçant et mordillant la chair olive, sensible et chaude comme si c'était tout ce qui importait, tout en murmurant entre deux suçons :
-J'ai rêvé de ça... pendant des années... Ah Lovi, je ne sais pas à quel point j'ai attendu...
Des années. Des putains d'années. Alors que Lovino se plaignait d'avoir supporté quelques mois, Antonio s'était langui de cette scène pendant des années. Évidemment, tout prenait sens. La sensualité et le désespoir dans ses gestes quelques fois brusques, tous ces regards et ces gentillesses, ces moments et ces mots prononcés... Tout ça par un amour simple et inconditionnel, bouillonnant et pur. Comment Lovino pouvait-il faire face ? Il laissa échapper un gémissement bruyant entre ses lèvres, puis claqua sa main contre sa bouche, tremblant de tout son être. Il n'aurait jamais imaginé que la sensation soit aussi merveilleuse et incontrôlable. Mais Antonio n'accepta pas ce geste et retira sa main, le fixant à nouveau avec ce regard de braise.
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[Spamano] La Mano d'Oro
Fanfiction[Hetalia Fanfiction.] Fin du XVème siècle. Lovino Vargas est reconnu comme artiste raté, vivant dans l'ombre de son petit frère et de son grand-père reconnus dans l'Art Italien. Des peintures trop ternes, sans sentiments, laides comme certains dira...