Nous sommes dans une chambre, il est trois heure et demie du matin, il y a un grand lit. Nous sommes un peu dans les vapes à cause de cette fameuse fête ou tu m'avais invité, je pense que nous avions un peu trop bu...
Tout à coup je sens une main ferme agripper mon épaule, c'est lui, il me plaque contre la porte. Le vacarme de la fête me fait tourner la tête. Sa respiration se fait forte et saccadée. Il avance ces mains vers mon corps, et je me rend compte que je n'entend plus la musique, c'est comme si le temps s'était subitement arrêté, laissant place à nos sentiments plein de chaleur et de sensualité. C'est alors que son côté sauvage prit le dessus, mon haut vole en lambeau (heureusement que je n'y tenais pas tant que ça) et comme je m'y attendais, le reste de ma tenue ne tarda pas à faire de même... J'essayais de le déshabiller comme je pouvais, mais il fallait se rendre à l'évidence, il était beaucoup plus rapide que moi. Je sens ses mains me porter et me déposer sur le lit avec une délicatesse inouïe. Je me laisse faire, mais ça ne durera pas (enfin c'est ce que je pensais). Je fond littéralement de l'intérieur. Il m'embrasse fougueusement en écartant tendrement mes jambes. Il descend jusqu'à mon bas ventre, mais cette fois si, je le retiens. C'était sa fête, ce 17 février 2017 devait être mémorable.
Je l'attire vers moi et tente de le retourner, il comprend la manoeuvre et m'aide un petit peu. Je profite de ce moment pour me mettre à cheval sur lui. Surpris et dans un élan de désir spontané, il me colle à son torse et, comme à son habitude, donne un coup de hanche. J'encaisse le coup. Mais c'est à ce moment précis que mon désir à définitivement pris le dessus sur ma raison. J'ai très chaud, mon désir m'emporte et je me surprend à gémir de plaisir, mes yeux se ferment et je laisse le plaisir se mêler à mes sentiments. Je suis littéralement en train de voyager, j'entends sa voix au loin elle dit.
"Je suis la flamme de ton briquet, je suis la pluie qui coule sur ton visage, je suis les plantes qui se balancent au fil du vent, je suis le soleil qui te réchauffe, je suis la vie, je suis le désir, je suis ton plaisir". Je rouvre les yeux, pour les refermer quelques secondes plus tard. Je ne sais même plus ce qui se passe ni où je suis, je sens la chambre tourner autour de moi. Le plaisir m'évade, me fais voyager, je m'enfuis. Me voilà au-dessus des nuages. Il me fait l'amour de façon brûlante et j'adore ça. Je sens mon plaisir monter encore et encore, je ne le supporte plus, je n'en peux plus, je crie son nom. Et tout s'arrête. C'est alors que j'arrive enfin à ouvrir les yeux, me rendant compte que je suis dans ma chambre, mon lit, ma salle de bain derrière moi, mes photos accrochées au mur, ma guitare. Je me sens comme vidée de toute énergie. C'est ce moment que choisit ma mère pour me crier de l'étage du dessous : " chérie tu descends, ton déjeuner est prêt et tu vas être en retard, aller active toi"Je hais la rentrée putain...
je vous loves et à plus pour un prochain texte, biz <3
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l'eternel incompris
RandomBienvenue dans mon univers. N'ayez pas peur, vous ne faites pas partie de mon régime alimentaire. Du moins pas encore... Il est certain qu'il vous est nécessaire de satisfaire votre insatiable soif de curiosité. Je vous conseille donc de revoir vos...