Mon vampire de majordome (VKOOK/TAEKOOK) Fanfic Abandonnée

Chapitre 20

C'est vrai qu'il n'est pas au courant de tout ce qui vient de se passer, c'est pourquoi je décide de tout lui expliquer du pourquoi du comment cette morsure est apparue sur mon bras.

Il me regarde un moment les sourcils froncés avant d'ajouter d'un ton sec et déterminé.

- Je m'en fiche. Tu dois comprendre une chose Jungkook. Tu m'appartiens, quelle que soit la situation, tu ne dois pas donner ton sang à n'importe qui.

J'essaye de trouver une once de plaisanterie, mais son regard ne ment pas.

Sa poigne qui tenait toujours mon bras droit, m'entraine jusqu'à me faire tomber sur le matelas du lit, qui se situait à côté.

Je le regarde avec de grands yeux remplis de surprise. À quoi il joue ?

Toute fois son sourire ne semble pas aussi sévère que ses paroles, bien au contraire.

Ma serviette autour de la taille tient mal. J'essaye donc de la remettre correctement, mais il prend mon seul bras de libre, pour venir le bloquer avec l'autre au-dessus de ma tête.

Cette situation est beaucoup trop gênante ! Qu'est-ce qu'il fout au-dessus de moi à me regarder sans rien dire. Je ne sais même pas où regarder.

Il prend de sa main libre mon menton, pour que je puisse lui faire face. Son visage s'approche lentement du mien, je ne peux détacher mon regard du sien, qui était beaucoup trop hypnotique.

Et alors que je commence à sentir la chaleur de sa respiration contre ma peau, ses lèvres douces et chaudes se posent sur les miennes.

Je pensais qu'il allait approfondir le baiser, mais il ne le fit pas. Il se recule doucement à la place.

- Bah alors, tu n'as pas l'air pleinement satisfait après ce baiser, est-ce que tu attendrais quelque chose de moi ? Dit-il d'un ton moqueur.

Je rêve où il joue avec moi ? Et c'était quoi ça un l'instant, pourquoi j'ai chaud ? C'est du n'importe quoi.

- Oui j'attends que tu libères mes bras. Répliquais-je à ses provocations.

Au lieu de se sentir vexé par ce que je venais de dire, il se mit à sourire d'un air amusé.

Ce pervers de majordome s'approche davantage en posant ses lèvres prés de mon oreille, tout en faisant pleuvoir des baisers le long de mon cou, le caressant doucement de sa langue.

- Ah A-rrête, qu'est-ce que tu fiches ?

J'essaye de me libérer, mais ma force n'est pas comparable comparais à la sienne.

Un léger soupir vient s'échapper d'entre mes lèvres. Surpris de moi-même, j'évite tout contact visuel avec ce maudit majordome.

Je ne comprends pas. Comment mon corps peut-il autant être en contradiction avec mon esprit ?

- Eh bien, à chaque fois que je fais ce genre de chose, tu as l'air de méchamment apprécier.