8. Massacre à la peinture

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(Screenez le média c'est cadeau 😏)
VOTRE ATTENTION S'IL VOUS PLEASE !!
Ce chapitre contient un lemon, une scène olé olé, où on fait crac-crac boum-boum, bref vous avez compris.
Mais ce lemon vous n'êtes pas obligé de le lire puisque c'est un « bonus » dans le chapitre, il ne change rien à l'histoire. Alors je mettrais une petite alerte («!!!») quand le chapitre deviendra un peu chaud pour ceux qui ne veulent pas le lire.
Bon, il ne sera pas hard non plus, vous comprenez bien que c'est pas vraiment le but de l'histoire.
Merci de votre compréhension et bonne lecture jeunes padawans !
( )

•••

Jungkook ferme la porte de la chambre d'hôtel en la poussant à l'aide de son pied.

Il se dirige vers moi et m'embrasse fougueusement, sa respiration est irrégulière, presque animale. Son regard est devenu noir perçant, il m'observe comme si je n'étais qu'une proie sans défense qu'il attendait de dévorer.

°°°LEMON°°°

En un instant, ma robe est arrachée et tombe lourdement à terre. Il me reluque de la tête au pied en s'arrêtant sur mes sous-vêtements, il n'est plus le même, c'en est presque effrayant. La tension entre nous le rend perturbant.

-À chaque fois que je te déshabille, c'est comme si je redécouvrais ton corps. m'avoue-t-il en me portant pour me poser sur le lit.

Il embrasse chaque parcelle nue de ma peau et y laisse quelques marques rougeâtres. Jungkook remonte vers moi et approche ses lèvres des miennes, elles sont douces et sucrées. Ses mains parcourent mon corps et se place sur mes parties intimes qu'il prend soin de torturer.
Ce que j'aime quand on fait l'amour, c'est qu'on a beau être ensemble depuis longtemps, c'est toujours comme si c'était la première fois. On se redécouvre à chaque fois.

Sa bouche descend vers ma poitrine puis, lentement, jusqu'à mon bas ventre. Cette délicieuse sensation me fait gémir, au point que j'en perdrais la tête. Il profite d'être à cette hauteur pour enlever le fin bout de tissus qui sépare ma partie intime de lui.
Mais je me redresse et le stop, et commence à déboutonner lentement sa chemise en embrassant son torse.

-Tu trouves pas que t'es un peu trop habillé ? lui susurré-je à l'oreille en souriant.

Ses lèvres viennent se mouver contre les miennes. Je descend mes mains vers son pantalon que je déboutonne tout aussi lentement en prenant soin d'effleurer son membre ce qui provoque des geins plaintifs de sa part.
Il enlève son pantalon, relevant un caleçon bien trop serré pour lui depuis quelques minutes. Ce bout de tissus aussi finit par voler dans la pièce quelques secondes plus tard. Nous sommes égaux maintenant, nos corps nus se superposent et n'attendent qu'une chose : ne faire qu'un.
Ils ne tardèrent pas à être satisfaits.
La température de la pièce augmente considérablement au fil du temps, la faute à nos deux corps en sueurs bougeant de plus en plus. On ne peut qu'entendre nos gémissements et nos « je t'aime » murmuré aux creux de l'oreille.

Le plaisir est de plus en plus présent, presque intenable. La sensation qu'il me provoque est indescriptible. À chaque coups de rein, il mélange douceur et brutalité. Ce qui a le don de me faire monter au septième ciel. Je passe mes mains dans ses cheveux quand l'une des siennes se pose sur ma hanche.
Je me cambre encore plus quand il devient brutal, ses grognements sont de plus en plus fort. Je ne peux m'empêcher de m'agripper à lui et de le griffer, c'est beaucoup trop fort. Je l'embrasse fougueusement entre deux gémissement puis met la tête en arrière. Il enfouit sa tête dans mon cou et continue ses vas et viens jusqu'à ce qu'il atteigne l'orgasme. Je ne mis pas longtemps avant de faire de même. Il se retire lentement et dépose un baiser brûlant sur ma joue rouge avant d'aller dans la salle de bain, il revient quelques secondes après et s'allonge à côté de moi pour reprendre son souffle.

Pourquoi moi ? 3 | j.jkOù les histoires vivent. Découvrez maintenant