Un (faux?) couple parfait [TERMINÉE]

Chapitre 7

PDV DE CAROLINE

Après que Damon nous ait gentiment virés de chez lui, j’ai voulu rentré chez moi mais petit problème, j’étais venue avec Jeremy, Jeremy qui était déjà parti avec Bonnie et Sanae. Je me retrouvais donc sans voiture, obligée de rentrer chez moi à pieds, génial juste génial, mes sandales compensées vont adorer ! Je commençais à pester contre tout le monde quand j’eus la brillante idée d’appeler ma mère pour qu’elle vienne me chercher. Je sortis mon téléphone de mon sac et là plus de batterie ! Je suis maudite je vous jure qu’il y a des jours vaudrait mieux rester couché ! Je commençais réellement à perdre patience quand j’entendis un léger ricanement dans mon dos. Je me retournais et deviner qui était là à s’amuser de me voir galérer depuis un bon quart d’heure….. Klaus !

Caroline : Ca fait combien de temps que t’es là ?

Klaus : Je ne suis pas parti, Rebekah a pris sa voiture pour ramener Kenza et donc j’ai la mienne. J’allais te demander si tu voulais que je te raccompagne puis je t’ai vue gesticuler dans tous les sens et j’ai trouvé ça assez marrant donc j’ai attendu que tu remarques ma présence.

Caroline : T’as ta voiture ?

Klaus : Je me suis ouvertement moqué de toi et toi le seule truc que t’as retenu c’est que j’avais ma voiture ?!

Caroline : Non je me suis bien rendue compte de ça, ne t’inquiète pas tu vas en baver après, mais ta voiture, tu l’as oui ou non ?

Klaus : Si mademoiselle veut bien se donner la peine.

J’éclatais de rire devant son ton pompeux et m’empressais de monter dans sa voiture. Il démarra et pris la direction du centre-ville.

Caroline : Alors comme ça tu t’es moqué de moi ?

Klaus : Je ne me suis pas moqué de toi, j’ai simplement rit de la situation dans laquelle tu étais, nuance !

Je riais à gorge déployée. Je ne pensais plus à Tyler et Klaus était quelqu’un à l’écoute des gens et il me changeait les idées.

Klaus : Un penny pour tes pensées.

Caroline : Je pensais à Tyler. Je ne comprends pas pourquoi il m’ a fait ça, qu’est- ce qu’elles avaient de plus que moi ces filles ?! Je ne suis pas assez jolie, pas assez intelligente peut-être même stupide !

Klaus : Tyler n’est qu’un con ! Tu es très belle Caroline et intelligente et drôle. Tu es là pour tes amis, tu as monté un plan génial pour que ta meilleure amie ne souffre pas des mauvaises intentions de sa cousine. Tu es quelqu’un d’extraordinaire Caroline Forbes n’en doute jamais !

J’avais les larmes aux yeux, il avait réussi à me faire pleurer cet idiot !

Caroline : Merci Klaus, personne ne m’avait jamais dit quelque chose d’aussi gentil.

Il me sourit et je pus remarquer que ses joues avaient pris une légère teinte rosée.

Klaus : On est arrivés !

Je  ne m’étais même pas rendue compte que nous étions devant chez moi.

Caroline : Merci de m’avoir ramenée et de m’avoir écouté me plaindre.

Je lui plantais un bisou sur la joue et sortis de la voiture. Après un dernier signe de la main, je passais la porte de ma maison qui était une fois de plus vide. Je poussais un léger soupir. J’allais dans la cuisine et trouvais un mot de ma mère m’indiquant qu’il restait des lasagnes dans le frigo. Ma mère, Liz Forbes, était le shérif de la ville et était très souvent occupée en dehors de la maison. Mon père habitait Los Angeles depuis le divorce, c’est-à-dire une petite dizaine d’année. Je fis réchauffer les lasagnes et m’installais devant une énième rediffusion de FRIENDS, au moins ça me changerait les idées.