-Salutations lecteur, je suis le messager, je vous informe que la publication continue au format habituel d'un chapitre tout les deux jours. Le scribe s'excuse ce chapite comportera surement plus de fautes qu' habituellement mais ce soir il va le corriger sous peine d'etre flagellé, le papier coute cher. Sur ce, bonne lecture.
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Cela faisait trois jours qu' Eoguel naviguait à bord d'un clipper à trois mâts nommée " Pyke jeleen " signifiant braveur de tempête dans la langue des anciens. Prenant le vent, les vingt - huit voiles du navire soulevèrent la coque, la laissant flotter délicatement sur la surface de l'eau. Aussi grand qu'il était, sa finesse lui permettait de voguer sans problèmes sur les divers mers qui était présente sur ce monde.
Il pouvait apercevoir le maître d'arme à côté du capitaine Arald Première-pierre. Celui-ci se renseignait sur la dangerosité de cette traversée. Dernièrement, de nombreux pirates venant de la mer morte ont été aperçu pillant les nombreux convoits maritime.
La mer morte était non le nom d'une véritable mer mais bien celui d'un territoire se trouvant au nord de Que'or. C'est un territoire stérile où rien ne pousse depuis le passage de l'armée Bellfroid, ou du moins, non sans mal. Ce manque de vivres et d'or ont poussé le peu d'habitant de la mer morte à pratiquer la piraterie, le braconnage et toute sorte d'activités plus ou moins illégales.
-Dite moi capitaine, s'adressait Edwin.
-Je vous écoute.
-Savez vous si nous rencontrerons des soucis lors de notre traversée ?
Tenant fermement la barre, le capitaine se gardait bien quelques secondes avant de répondre, tout en barrant à bâbord.
- nous avons bien trois jours de voyage, peu etre quatre si Océus le veut, je pense que nous ferons non une rencontre mais plusieurs.
-Nous avons de quoi protéger la vie du prince en cas de bataille ?
-Si vous voulez nous avons le placard, plaisentait le capitaine continuant de barrer le navire.
Souriant à la plaisanterie du capitaine, Edwin se reprit et tappa sur le dos du capitaine en signe d'affection.
-cela me rassure guère vous savez.
Soudain le capitaine lui tendis un drole de fourreau.
-Qu'est ce que c'est ?
-un objet de mon invention, mettez y votre épée je pense que le fourreau s'adaptera parfaitement à celle-ci.
Edwin rengainait son épée à l'intérieur du fourreau fait de cuir et de métal ornéde belles gravures sur métal représentant la mer et Océus. Le navigateur lui indiqua de ressortir l'épée rapidement mais pas trop rapidement, au risque de faire sortir le liquide à l'intérieur hors du fourreau.
Le maître d'arme s'exécutait mais n'en ressortit que son épée humidifié. "C'est un lave épée votre fourreau ?" Se moquait Edwin avant qu' Arald Première-pierre renforça l'épée dans le fourreau.
-C'est une habitude à prendre.
Il ressortit l'épée d'Edwin executant un large mouvement. L'épée s'embrasa d'un feu si grand et si impressionnant qu'Edwin en tomba au sol.
-vous voyez maitre d'arme, ceci est fort sympathique. Voyez ces tonneaux la bas avec une fente sur le dessus, tout l'équipage peut y allumer leurs armes. Je commercialise ce liquide en petite dose et qu'au personnes ayant les moyens.
-Je pense que vous vennez de trouver votre principal clients, s'approchait Eoguel intéressé par ce procédé alchimique.
-Parfais je pense que vos armes n'en seront que plus impressionnante et plus efficace ! Répondit le capitaine.
Apres un long silence qui pour Eoguel dura une éternité, le Pyke jeleen se retrouvit face à un récif, assez grand pour s'y ateller et pour faire une pause à terre mais aussi assez large pour y cacher un trois mâts. Ces canons était bien visible et son équipage bien actif.
Un matelot arrivait face à Première-pierre et lui annonca la venue du trois mâts.
-capitaine face à nous un trois mâts ! Qu'elles sont vos ordres ?
-Nous allons le contourner, lui ordonna Arald Première-pierre avant de barrer à tribord.
Le bateau toujours porté par le vent, se décalait de sa trajectoire initiale sans perdre de sa formidable vitesse. Le capitaine hurlait sans cesse pour donner les ordres, puis il se mit a chanter. Les marins chantaient souvent pour ce donner du courage et pour connaitre l'ordre d'exécution des diverses tâches à faire dans certaines situations. Le capitaine en connaissait de nombreuses chansons, celle ci permettait aux marins de connaitre plus facilement les nombreuses directives du capitaine. L'équipage le suivit dans son chant sur chaque refrains.
"Et comme sur terre nous volons
Et comme sur terre nous travaillons
Et comme sur terre nous vivons
Nous voyagerons sans peine.Que voulez vous nous sommes de sale pirates.
Que voulez vous nous sommes de sale pirates.
Que voulez vous nous navigons et nous équmonsEt sur mer nous volons
Et sur mer nous travaillons
Et sur mer nous vivons
Nous navigons sans peine.Preparez les jarres de feu
Preparez les pierres et le rhum
Et degainez vos sabre de feu.
Decrochez les crochet d' abordage et naviguez sans peine.Et comme sur mer nous volons
Et comme sur mer nous travaillons
Et comme sur mer nous vivons
Nous navigerons sans peine.La chanson continuait d'être chanté pendant que l'equipage suivant le rythme et les paroles, preparaient le matériel pret pour la defense du navire.
Dressant de grandes planches servant de bouclier contre les fleches, d'autres installait plusieurs onagres.
En plus de ceux la, chaques membres d'équipage attachaient à leurs ceintures, un cordage avec comme embout de sur chaque côté, un crochet. Ceci permet en cas de chute dans la mer, de pouvoir s'accrocher au nombreux anneaux dispersé sur la coque du Pyke jeleen. Cet accessoire pouvait très bien être utilisé pour du combat rapproché, certains en ont fait leur spécialité.
Chargeant les onagres de pierres de differentes taille, le capitaine confia au maitre d'arme et au prince Eoguel, que les pierres étaient enduite du même liquide qui embrasait les épées de son équipage.
Un faible vent carressait le visage d'Eoguel, prenant son épée à pleine main, le capitaine embrasa sa lame et continua, tenant un regard sûr et fixe, la chanson que lui et son équipage avait commencé.
Les deux navires ce rapprochaient rapidement, la première bataille d'Eoguel sur mer allait commencer, maintenant.
______________________________________________________Océus : dieu de la mer dans la religion Castigatienne.
Onagre : L'onagre était un engin de siège de la périoderomaine post-classique qui tire son nom de l'analogie de son mouvement avec celui de laruade d'un onagre, sorte d'âne sauvage.
Certains la décrivent comme une petitecatapulte capable d'envoyer des petits projectiles à 30 m de distance ou 40 m de haut, d'autres comme une baliste.
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Les frontières de l'Ouest
FantastiqueDans l'ouest de ce continent ce trame un terrible jeu, celui de la conquête pour redéfinir les frontières de leur royaume. Entre les différents seigneurs, qui gagnera ce jeu à la fin, à vous de vous laisser emporter par ce récit.