Les créatures de la nuit

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-"Un ours un ours un ouurs ! Tuer un ours c'est très facile ! ...."

Chantant autour d'un feu entouré par des hommes en armure, le troubadour du camps Oktrendburg chantait une chanson sur les Broulier. Glarius était aux côtés de Willerdre qui buvait goulument son vins rigolant aux nombreuses chutes des chansons chanté par le musicien.

C'était déjà pour certains leurs tours de garde. Pendant que d'autre revenait de deux heures affreuse dans le froid et l'ennui, d'autres partait pour subir le même sort.

Glarius regardait autour de lui constatant que quelque chose maniquait à cette buverie. Selon lui se serait le doux baiser d'une femme. Il se leva, puis il se dirigait vers sa tente pour s'y reposer. La journée fût rude et demain une exploration est prévu avec ces hommes et il le savait que ce sera sa seul préoccupation.

Ces paupières s'alourdissait chaques secondes mais un élément perturbateur vint le secouer. Qui ? Qui était assez courageux ou assez fou pour réveiller de tel sorte Glarius. En ouvrant ces yeux lourd de toute la fatigue de la journée, Glarius découvrit un jeune homme apeuré.

-Que voulez vous soldat, dit il s'enroulant dans la couette.

-Général, nous avons subi une attaque.

Ouvrant ces yeux, Glarius retrouvait son énergie monstrueuse. Il retira la couette pour y laisser à la vu du soldat, un homme portant en guise de pyjama une protection en cuir, souple à certains endroit et renforcer à d'autres. Glarius c'etait endormi avec sa protection sous son armure. Le soldat fût impressionné.

-Vite montre moi, demandait Glarius finissant de mettre le plastron de sa magnifique armure.

Les deux personnages se mirent à traverser le camps poury déboucher sur un lieu dégagé. Un attroupement de soldats étaient en cercle, ce qu'il observaient, Glarius devinait que cela allait pas lui plaire. Poussant les recrues terrifiés il réussit à ce frayer un chemin parmis eux.

Il en cru pas ces yeux, devant lui, un cadavre. Certes ce n'est pas le premier qu'il voit passer mais celui ci était le premier qu'il trouvit dans cet état.

Mordu, déchiré, un oeil sortant de son orbite, la vision de cet homme était intenable pour Glarius.

-des loups....des loups ! Murmurait il avant d'hurler les noms des coupables.

Les soldats savaient que les créatures du nord etaient féroces et sans aucune forme de pitié. Certains prit de paniques, commencèrent à se retirer doucement, surement pour s'enfermer dans leurs tentes.

-Que toutes les troupes se mettes en place, je veux une sécurisation de la zone, restez aux aguets ! Nous sommes en alerte.

Sous ces ordres sec et direct, les soldats de Glarius s'exécutaient, Willerdre arrivant sur le lieu vit tout les soldats partir dans tout les sens pour couvir le plus de terrain. Glarius et Willerdre était séparé d'une 15 aine de mètres et pourtant, malgré le passages des hommes entre eux, ils restaient fixe se lançant un regard noir. Un regard non de défi mais bien d'inquiétude et de serieux. Chaqu'un ce comprenait dans ce regard si intense. Willerdre sourit puis se tourna laissant sa cape prendre le vent, Glarius voyant le roi se retirer, en fit de même, il indiquait la suite des ordres.

Ils couraient dans tout les sens, le guerrier responsable du groupe surnommé "les défenseurs bleus" en référence à leurs nombreux explois, s'apprêtait à faire un récapitulatif comme à son habitude quand Glarius faisait passer le camps en alerte.

-Soldats ! Le doute n'est plus permis, faiblissez et les créatures du nord rayreront notre maison de la carte des terres de l'Ouest. Donnez donc le temps aux équipes qui vont renforcer les murs.

-Que devons nous faire capitaine ? S'exprimait un soldat en levant le bras.

-surveillez le secteur, certaines maisons du nord sont réputés pour leur dresseur d'animaux et les animaux ce n est pas ce qui manque dans les parages. Abbatez chaque bêtes que vous trouverez, ils peuvent être dresser et tuer pour le compte des Broulier donc faites attention ! Maintenant dispersion.

Sur ces ordres, les défenseurs bleus se divisèrent pour couvrir le plus de lieu.

Les chuchotements du vent et le fracas des outils face à la matière première, n'étaient que le seul bruit qu'entendaient les hommes de la garde. Ils semblaient abandonnés devant ces grands murs mais il ne fallait s'y laisser tromper, ces hommes savaient très bien ce qu'ils faisaient.

Glarius était accompagné par le chef des défenseurs bleus.

-Général, combien de temps mes hommes doivent t'il tenir ? Les bêtes du nord sont réputés pour leur discrétion et mes hommes même les plus aguerris ne pourraient pas faire long feu sur leur terres.

-Le temps qu'il faudra, je comprend que vous tenez à vos hommes. Mais comprenez qu'ils ont tous fait allégance de leur vie auprès de notre roi, sujet qui est ici et qui demande d'etre protégé.

Regardant l'horizon, le capitaine de la garde contemplait la cime des arbres. Au loin se trouvait une chaîne de montagnes, les nuages se fracassaient contre la parois de ces géants de pierre.

-Tu pense quoi du Général toi ? Demandait un soldat à son camarade.

-Je ne sais pas vraiment, il est direct on va dire.

-Je pense qu'il ne fait suivre que les ordres, à vrai dire j'ai un bon avis sur le général.

Son camarade leva les yeux au ciel avant de répondre.

-tu dis ça car il t'a sauvé lors d'une embuscade.

-Pas forcément, répondis le soldat, je sais qu'il est exactement ce que je pense.

-Et tu pense quoi de lui précisément ?

Le premier soldat se retournait pour admirer le général vu depuis le bas de la muraille. Le deuxième suivit et de retourna. Les deux restait plusieurs minutes à regarder et à débattre sur le général.

-Je sais qu'il sera un brave....

Le pauvre n'eu pas le temps de finir sa phrase. Quelques minutes d'inattention, il n'en fallut pas plus pour laisser approcher un loup.

Voyant son frere d'arme se faisant dévorer a vu d'oeil, le deuxième soldat declancha l'alerte avant de se faire avoir par un deuxième loup.

Glarius constatant plusieurs meutes arriver, il ordonna aux équipes de renforcement de rentrer avec les divers groupes soldats qui les protégeait.

Il se tourna puis ordonna au capitaine de faire rentrer ces hommes, mais celui-cine répondit pas.
Aussi immobile qu'un roc, Glarius s'inquiètait.
Soudainement suite aux appels du général, le capitaine leva son bras indiquant une direction.

Le général se retourna et découvrit la pire des visions.

Les cors de guerre sonnait et les arbres laissait place à une armée. Une armé portant l'étendard d'un ours.

Le lieu était en état de siège.



Les frontières de l'OuestOù les histoires vivent. Découvrez maintenant