Exploring

Chapitre 27

Toute ma vie. Non depuis que j'ai seize ans.Des nuits pendants des années ont été consacrés uniquement dans le but de les trouvé. Je me suis dopée pour tenir le rythme que je me suis imposé. On m'a traité de folle, traité comme une folle. J'ai fouiller mille et uns pays pour les trouvés. J'ai saigné, été trahie, pleuré, affronté mes pires terreurs, mais jamais abandonné....j'ai failli perdre l'amour.

 C'est là tout de suite, que je me rends compte que je suis amoureuse. Je suis tombée amoureuse de Apollon Layton.

J'ai envie de pleurer. J'ai faillis tout perdre, j'ai perdu beaucoup de choses et même si j'en retrouver beaucoup gagner plus même, mais j'ai perdu. L'estime de mon père, une crédibilité historique...

Mais j'ai gagné un meilleur ami.

Je hurle. Je hurle à m'en casser la voix, à me déchirer les poumons. Ma voix résonne le plus fort possible, imaginable.

"-ROMANE!!

La voix paniqué de Apollon me ramène sur terre. 

-Apollon, Monte!!

Et même pas dix minutes plus tard je le vois en train de ce hisser à la force de ses bras. Si cet homme n'est pas un dieu, qu'est-il?!

-Bon dieu Romane, tu m'as fais la peur de ma vie! J'ai truc que, que...

Il me tire contre lui et me tâte le visage. Le sien est tordu par l'inquiétude.

-Mais non! Regarde! 

Je me tourne complètement vers l'entré du Temple. 

-On l'a trouvé?

-Mais oui, aller viens! Le tirais-je vers l'entré.

-Non attends, il nous faut du matériel adapter. Je descends en chercher, et je reviens. Ne bouge pas sans moi. Articule clairement mon petit ami.

Trente minutes plus tard, on d'y aventure. J'ai du mal à réaliser. Réaliser quoi?Que je suis tombé amoureuse? Ou que j'ai retrouvé ces Temples? Je ne sais pas.

Je devrais lui dire... 

De toutes façons ça peut attendre.

-Waouh...

Nous sommes dans le noir, et il y a un long tunnel qui nous mène vers....des arbres?! Je me mets  à courir vers la source de lumière verte, et au bout de dix mètres je m'aperçois que ce sont bien des arbres. Je me sens comme Indiana Jones, devant le pont si cliché. Oui, pont comme dans les films, constitué de corde et de planches et surtout suspendu dans le vide.

-Il a l'air solide...Je passe en première.Annonçais-je.

Je vois qu'il tente de négocier mais un regard de ma part suffit à le faire capituler. Je prends une grande inspiration et pose mon pied. Rien. C'est donc confiante que je traverse le pont, c'est vrai qu'il a légèrement tangué mais sinon rien d'alarmant. Apollon le traverse et j'angoisse quand je vois le pont se tendre sous son poids. Mais aucune perte à déclarer.

Ensuite il y avait un cadre coupé dans le mur, où un escalier qui s'enfoncer dans le sol.

-J'ai l'impression de jouer Indiana Jones, même gosse je n'aurais pas fais mieux. Me confit-il.

-C'est ce que je me disais...

Et il passe devant moi. Le passage est trop étroit pour avancer côte à côte, et très sombre donc je lui sors une lampe torche du sac. L'ascension est longue mais le mental est là, aucuns de nous deux n'émets le souhait de renoncé. Une heure peut-être s'écoula.

-Tu t'attends à trouver quoi en bas, Barbie?

Le fait de savoir que je suis amoureuse de lui, me rend bizarre limite...gênée. Heureusement que nous sommes dans le noir et que je suis dans son dos, je suis persuadée qu'il trouvera ça louche.

-Hum...Des Temples?! Non, en vrai je sais pas...Sans doute un endroit vide sans vie...Plein de ruine...

Et le silence fut éloquent. Je me collais un peu à son dos, toujours angoissé.

-Je vois de la lumière...

Et il accélère le pas. Je le suis de près, pressée de découvrir mon rêve. 

-C'est quoi ce bordel...

Il s'arrête d'un coup. Je m'éclate le nez contre son dos et gémis de douleur. Mais je n'ai pas le temps de penser à la douleur.

-Taguéta, guguwalle!Cria une voix. 

Puis Apollon fut tiré en avant et plusieurs lances apparurent au niveau de ma gorge.

Là je peux paniquée.

-Apollon!!

-Grounahh.

Un dialecte étrange sonnait à mes oreilles, mais je paniquais. Apollon n'étais plus dans mon champs de vision, et une dizaines de lance me pointais. Ils vont le tuer?!! Une main surgit et me tire par le col me faisant tombé à genoux au sol.

-Laisser-la!!

Je lève la tête et vois mon petit ami se débattre dans tout les sens, en envoyant trois personnes aux sol. Il bougeait dans tout les sens, attrapait les lances et les jetaient au loin, envoyait des coups de pieds tout en hurlant de me laisser.

-STOP. Aguela!

Et soudainement tout s'arrête. Les lances s'éloignent et Apollon est lâcher. Ce dernier se précipite vers moi alarmer. Il me tripote le visage puis les côtes à la recherche de la moindre blessure. 

-Je suis affreusement désolé. Grince une voix.

Une main surgit devant nous-encore!- suivi d'un visage. Un veil homme à la barbe argenté nous observe en costume d'un aire consterné. Apollon fronce les sourcils, contracte la mâchoire et m'aide à me relever.

C'est une fois debout que j'observe le lieu....

De gigantesques tours en pierres, pleine de fenêtres (sans vitres), emmêlés dans les lianes bordent un fleuve, non une source tout aussi grande. L'arrivé de l'eau  venait d'un ouverture très large qui devait être une grotte.

Les Temples. Je me trouvais enfin devant les Temples. Des Temples Centenaires, Millénaire même.

-Qui sont-ils? Vous les connaissez, Blanc?Intervient une voix en Portugais.

Je reviens sur terre, et observe ce qui se passe. En premier lieu, mon petit ami reste légèrement devant moi comme pour servir de bouclier. En deux, devant se trouvent deux personnes civilisés, deux hommes dont un blanc en costume noir avec une barbe et une queue de cheval de couleur argenté. Il me fait légèrement pensé à oncle Sam d'ailleurs. Et l'autre homme était en débardeur noir avec un pantalon kaki, la peau hâlé, les cheveux noirs tirés en arrière qui nous dévisagé les bras croisés. Et enfin en dernier, des indigènes. Non, je plaisante pas. J'ai même l'impression de rêver. Des hommes et une femme nous entouraient avec leur lance. 

-Je crois que l'on a besoin d'explication. Affirmais-je.

~~~~~

HEY

Les Temples existent! J'avoue que j'ai hésiter à les faire exister, mais j'ai trouvé un truc pire que ça. 

Vous allez voir, j'adore. Sinon vous l'avez compris la fin approche grandement mais il reste encore des questions en suspend:

Qui était la silhouette dans la nuit? Pourquoi cette rousse a regarder ainsi notre Romane? Et Artémis déteste-t-elle vraiment notre Barbie? 

Hani.