Chapitre 28

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L'oncle Sam nous sourit, ne me lâchant pas du regard. 

"-Professeur Orgie? Je me disais bien que je vous connaissais. Conclut-il.

-Vous nous expliquer? Ces Temples sont censés être abandonnés, Oublier. Alors pourquoi êtes-vous là?

Il sourit.

-Je comprends, vous savez, j'ai toujours su que vous nous trouverez. Pourtant nous avons tout fait pour vous persuadé que vous vous trompez. 

Je fronce les sourcils et mon copain crispe les poings.

-Vous voyez, cette tribu? Dites-vous qu'il y en as plus des dizaines en Amérique du Sud.Dans la forêt Amazonienne, les conquistadors ne s'y sont pas aventurer, cela fait que ces tribus n'ont pas suivient l'évolution. Mais maintenant nous avons besoins d'arbres,...

Je rumine. Je ne vois pas où il veut arrivé. Il a aussi une drôle de façon d'explique, cela rend difficile à suivre.

-....Ils faudrait donc les intégrés à la civilisation, petit à petit. Nous ne pouvons donc pas les mettre directement dans la société. Nous utilisons alors ces anciens temples pour les abriter le temps de leur apprentissage. Vous comprenez donc que nous ne voulons pas que ça s'entend?

J'écarquille les yeux, comprenant l'essentiel. Ces fils de putes m'ont traité de folle pendant quoi? Trois ans? Tout ça pour faire des putain de feuilles ? 

-Vous, ça représente qui?

-Les pays qui pensent à l'avenir. Je présume que vous voulez visité? "

J'hoche la tête toujours chamboulé par ses révélations, le pire est que l'homme annonce ça comme une évidence. J'y crois pas.... Mais c'est putain de dégueulasse. 

Nous avons visité les Temples, mais je n'étais pas vraiment là. Je me sentais comme absente. 

***

"-Laisse tout sortir...

Il me tend un kleenex avant de me faire un baiser sur le front. Je chiale comme une gamine de dix ans. Je pleure comme pour éradiquer toutes traces d'eau. Je me suis baisé pour la société. Je suis complètement vidé. C'est horrible comme sensation. 

L'Oncle Sam nous a proposé de passé la nuit ici-forcé-, parce que l'on devrait parlé à des représentants de pays étrangers.

-Respire.

Il me caresse les cheveux en me murmurant des mots doux. Il est tellement formidable. Je...dois lui dire.

-Je dois...snif, te parler...

-Qu'est qui a?Murmure-t-il.

Nous sommes assis à même le sol, sur nos couvertures ramener de la voiture. Nous sommes éloigner des autres qui sont sur l'autres rive à notre opposé.

-Je...

Et j'éclate en sanglot. Il me serre contre lui en m'embrassant le front.

-Je suis amoureuse de toi....jet'aime.

Je sanglote dans ses bras quand il se crispe contre moi. Je le sens déglutir....je me sens mal.

-Bah...euh...Merci..."

Non, maintenant je me sens mal. Vraiment mal. Je me décolle de lui et lui tourne le dos. Je souffre tellement. J'ai envie de m'arracher la peau . Mes battements de coeur me font mal aussi. 

Il ne tente même pas de ce rattraper, il ne ressens rien pour moi. Je mal. Tellement mal. J'ai envie de me faire mal. Je ne sais pas si c'est parce que je viens de me prendre le vent le plus magistral de toute ma vie ou parce que je viens d'apprendre que je me suis faite avoir par mon propre pays.

 Cette nuit fut rude. Mon coeur me faisait mal. Mes larmes ne s'arrêtaient pas. Et la journée ne fut pas mieux... Je ne sais même pas si nous sommes encore en couple.  Je me suis tenu à m'écart de lui toute la journée ne voulant pas aggraver la situation.

Nous avons raconté toute les recherches faites pour arriver jusqu'ici-sans parlé des ratés- et ils nous sont faits signé des contrat de silences. Je ne suis pas pour leur histoire, mais Je ne veux pas me mettre plus à dos la société.

"-Et l'entrée, comment vous l'avez trouvé? 

-On a vu une personne. L'un d'entre eux je suppose. 

Apollon montre les indigènes du menton. Mais tous froncent les sourcils.

-Non aucune chance, ils n'ont pas le droit de sortir la nuit.Ils sont trop peur de croisées une voiture...

L'homme qui accompagné Oncle Ben, se tourne vers les indigènes et parle dans leur langue. Après plusieurs échanges, ils partent tous en courant vers la sortit.

-Ils vont voir les alentours. Dit-il avec un accent.

Il me regardait avec ces yeux perçants, ça en devenait malaisant. Pendant ce temps, nous signâmes les papiers et ils me posèrent des questions sur mes futurs recherches. J'appris même  que j'étais l'idole de certains japonais pour ma détermination.

-Lâcher-moi ou j'appel mon avocat. Hurlait une voix féminine.

-Mais tais-toi."

Ces cris attirèrent mon attention  et celle de mon...de Apollon.

Une vrai journée de shit.

La rousse se tenait devant moi. La rousse qui m'avait fusiller du regard se tenait devant moi en hurlant comme une dinde. À ses côtés il y avait le grand homme rasé. Et dés que son regard croisa le mien, je reçus le même qu'il y a quelques semaines.

Mais le pire fut quand son regard croisa celui de Apollon, je me sentis mal. Comme cette nuit. Comme quand il m'a dit Merci.

Ils se connaissaient. Ils se lancer le même regard que celui de Devon et Artémis il y a quelques mois. Ils sont couchés ensemble.

Je fusille MON petit-ami. Pourquoi c'est quand y a un problème entre nous qu'elle vient?! Pourquoi une autre merde ma tombe dessus en 24h?

"-Ils les ont trouvé autour de votre Jeep. 

-Ils nous suivent depuis que nous sommes en Amérique Latine. Crachais-je.

Apollon tourne la tête vers moi surpris.  

-Je les ai vu à l'auberge et ils nous ont dépassé en voiture. Tu te souviens des traces de pneus fraîche au début?  Je suis sûre que c'est eux."

Je suis sûre de moi. Et d'après son regard c'est le cas.


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