À pas de loup, je m'avance dans la suite. Pour l'instant je ne perçois que Artémis en train de dormir sur son lit et une silhouette sur le balcon. Je me dirige vers un autre lit en constatant que deux lits on étaient ajoutés. Je prends mon sac et repars vers la salle de bain. Par chance je ne croise personne ce qui me satisfait.
Je saisie un large tee-shirt, un tanga et une short en coton. Une fois les cheveux secs je retourne dans la suite. Téléphone en main, enfoncer dans les couettes je vérifie mes messages.Un de Jordan et l'autre de Ector.
De Jordan:
Tu rentre quand?
De Moi:
Je ne sais pas. Faut que je t'annonce quelques choses.
De Jordan:
Quoi?
De Moi:
Je me suis mariée. Avec un ami de mes cousins. Désolée pour toi. On reste amis?
De Jordan:
Tu quoi?!! C'était un mariage forcer de ta mère! Tu veux que je viennes te chercher!!?
De Moi:
Non, Jo. Je suis amoureuse de lui. Un vrai dieu.Je suis désolée si tu le prends mal.
Il ne répond pas et je comprends. Mais j'étais obligée de le faire.Ce type serait capable de mettre sur les réseaux sociaux qu'il attend de revoir mon cul. Oui très classe. Même moi je suis mal à l'aise en voyant ça.
De Ector ton chouchou:
Cousine coquine y'a ton homme qui défend. Quand t'as pêcho mon pote? Vu ce qu'il dit je suis sûr que ce que t'as dis c'est du mytho.
Je lève le sourcil puis pars sur l'appli. Je descends dans les plus récents mais ne vois rien. Puis un éclaire de lucidité me traverse.
Rahid.
Je pars dans les anciens postes à la recherche du fameux commentaire. Je tombe miraculeusement.
Apollon Layton:
Merci de parler dans mon dos. Alors oui nous nous marions. Et ma fiancée n'est pas un bout de viande sur lequel on passe chacun son tour. Surtout les petites comme toi. Donc merci de la respecter.
Stupéfaite je ne réagis pas. Terrassée par le sommeil, je sombre dans les bras de Morphée.
***
Doux. Une guimauve. Faim. Ce dernier mot suffit à me réveiller. Un coup d'oeil sur le reveil m'apprend que j'ai dormi quatre heures. Et que c'était bon. La hâte de recommencer me tiraille mais je me lève tout de même. Devon est devant la télévision, Artémis toujours endormie et je devine une ombre sur le balcon/terrasse.
En silence je me lève du lit pars vers l'ombre. Je n'ai pas spécialement envie de le voir mais...je crois que l'on doit discuté.
Je pousse la baie vitré sans faire de bruit et le surprend effectivement sur une chaise longue. Je m'approche en douceur et me mets sur celle à côté.
(Je vous conseille de mettre le média maintenant.)
"-Je suis désolée....Je ne voulais pas vous mettre dans des conflits.
Il reste silencieux m'ignorant. Le regard rivé sur les cieux. Il ressemble tellement à un ange. et dire que je pensais que se serait un vieux pervers au regard lubrique Alors que j'allais renoncer il ose prendre la parole.
-Ne le sois pas. Sans toi je ne l'aurai su. Barbie. Annonce-t-il amer avec sa voix érailler.
Je lève les yeux en souriant.
Barbie.
Tout à l'heure, j'étais fatigué et en mauvaise état. Maintenant que je vais mieux, ce surnom idiot me fait sourire. Cela faisait plus de trois mois que je n'avais pas fais de vrai nuit. Et presque un que je ne l'avais pas fait dans un lit.
-Je pense que si. Devon n'est vraiment pas bien. Il te l'aurait avouer.
-Si tu le dis. Mais tu ne le connais pas.
Un silence agréable s'installa. Les yeux rivés sur l'extérieur je découvrais. L'extérieur était si beau. Une grande piscine trônait entourer de transats et de lumières. Des palmiers éparpiller par tout donnaient un aspect californien. C'était magnifique. Des amoureux se promenaient en se tenant la main.
-Merci de m'avoir défendu.
-Je ne l'ai pas fais pour toi mais pour moi. Je n'aurai pas eu d'honneur à laissé ma..."fiancée" se faire traité de chaudasse sans réagir. Le prend pas pour toi.
Mon visage tourner vers le sien, je le dévisage. La main sous son tee-shirt, la jambe replier et les cheveux en bataille. Je suis sûre qu'il le fait exprès. La ressemblance avec un mannequin est trop flagrante pour être naturel. Il passe sa langue sur ses lèvres les humidifiant en même temps que ma petite culotte.
-Par contre on public, on va faire semblant de pouvoir se...supporté. Sinon on est pas obligé de s'adresser la parole.Barbie.
En une phrase il détruit tout. Il le dit avec un tel dégoût qu'il était impossible de l'ignoré. Comment peut-il être si méchant? Que lui ai-je fais pour recevoir autant de haine?
-Tu es infecte. Je ne t'ai rien fais moi.Je...Laisse tomber.Soupirai-je exaspéré.
Résignée, je me lève pour partir mais me stop juste avant de traversé la baie vitré. J'ai fallis oublier. Heureusement que mon ventre est là pour me rappeler à l'ordre.
-Je vais commander à manger. As-tu envie de quelques choses?
Son rire forcé résonne alors qu'il se lève. Le regard froid et la mâchoire durement contracté. En quelques foulés il se trouve en face de moi et me plaque contre la vitre. Front contre front, nous nous affrontons du regard. Je me laisse faire quand il attrape mes bras et les plaque au-dessus de ma tête. Mes pointes de ma poitrine se dresse contre son torse alors que j'observe ses pupilles rétractés. Marron clair avec un léger fond vert.
-Tu vois ça. C'est énervant.Je viens de te rejeter et toi tu me propose de me commander à manger. Tu es stupide? Vas pas me faire croire que tu es gentille. Tu es une bécasse sans coeur. Bonne à être prise. Rien de plus. Blondie.
Sa voix amer mais pas élever suffit à exprimer tout la haine qu'il ressent à mon égard. Une haine profonde sans limite. Qui pourrait me blesser si moi-même je n'étais pas en colère. Non en rage.
-Ne confonds pas tout. TU as envie de me prendre. C'est pas pareil. Même si tu ne te l'avoue pas. Et ça comme tu dis, c'est moi. Je crois comprendre. Tu fais un rejet envers les blondes. Ou envers moi. Mais au fond je m'en fiche. Vraiment. Par contre je crois que c'est toi qui es stupide. Tu as fais une longue tirade mais ne m'a pas répondu. VEUX TU À MANGER?
Il s'appuie encore plus sur moi en serrant mes poignées plus fort. Je crois que je l'ai énervée. Je vois pas pourquoi, c'est lui qui a commencer.
En psychologie, à la fac, on a étudier le comportement humain. Plusieurs cas on démontré que, chez l'homme, le rejet envers une chose de son passé est des plus courante. Chez lui, je dirais qu'il me rejette violemment pour une chose de son passé. Qui doit avoir un rapport avec une blonde ou un blond puisque qu'il ne cesse de me rappeler ma couleur de cheveux. Et le fait de le mettre en face de ce fait l'énerve et le perturbe. Il s'éloigne brusquement de moi et part se rassoir. Là il va faire comme si la conversation n'avait pas exister.
-Je veux bien de l'eau."
Bingo.
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HEY
Désolée je ne pouvais pas publier hier! Celui-ci est petit mais je préfère vous en mettre un petit que pas du tout!
J'espère qu'il vous a plu comme même!
Hani.
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Exploring
Teen FictionIls existent. J'en suis persuadée. Il faut juste les trouver, il faut explorer, rechercher, patienter! Je suis peut-être la seule à y croire mais ce n'est pas que je suis folle. C'est parce qu'ils sont là! Je vais le prouver! Vous me croyez, n'est...