Chat malgré lui.

Prologue.

« Putain mais qu'elle merde ! »

Je donnais un grand coup de pieds dans la poubelle ce trouvant à mes côté tout en me laissant tomber sur le tabouret devant le piano. Je n'avais pas d'inspiration, et cela m'agaçais au plus au points. Je détestais me retrouver devant mon instrument favoris, et ne pas avoir d'idée lumineuse. Cela me frustrais grandement.

Je relevais doucement la tête vers l'horloge de la grande salle où je me trouvais, avant d'y inspecter l'heure. Il était maintenant un peut plus de vingt-et-une heure. Je poussais un profond soupire de lassitude en me disant intérieurement qu'il fallait que je rentre chez moi. De toute façon cela ne servait plus à rien que je traîne encore dans cette salle à râler devant mon piano, cela ne m'avancerais a rien.

Je me mis alors debout, non pas sans prendre un temps fou n'étant pas le moins du monde pressé, et entrepris la tâche de mettre les quelques affaires que j'avais sortis dans mon sac. Après quelques longues minutes de dure labeur, car oui pour moi cela s'apparentait grandement à cela, je mis ma veste en cuir noir tout en attrapant mon sac et sorti nonchalamment de la pièce où je me trouvais depuis maintenant plus de six heures.

Dans les couloirs, un silence de mort régnait en maître, me provoquant quelques petits frissons plus que désagréable. Je n'aimais vraiment pas me retrouver seul dans un endroit sombre, d'autant plus lorsque cet endroit sombre en question était les couloirs terriblement morbides de la fac.

Je fus néanmoins rapidement à l'extérieur ou je réprimais un frisson suivie d'une grimace peut masculin suite au froid me fouettent le visage. Je me mis rapidement en route en direction des chambres universitaires.

En marchant dans la nuit fraîche je pouvais entendre une musique raisonnée au loin, enfin si on pouvait comparer ce raffut à de la musique. Je soupirais doucement, me demandant pourquoi les étudiants de la fac avaient décidé de faire une fête en extérieur à cette période là de l'année.

Alors que j'arrivais devant les grilles de la fac, je me demandais si mon seul et unique ami Hoseok y avait mit les pieds. En y réfléchissant quelque seconde je me rappelais que pour le noël dernier il avait réussi à nous faire incruster à un repas de famille de personne que nous ne connaissons n'y d'Ève n'y de Adam.

Je ris légèrement à cette pensé alors que je m'engageais maintenant sur une petite route en direction du campus, qui pour une raison qui m'étais totalement inconnue ce trouvait êtres de l'autre côté du parc, à quelque kilomètres de la fac.

Au bout d'un certain temps de marche, ou j'avais pus traverser le parc sens encombres, je me rendis compte que quelque chose me suivais. C'est donc en fronçant les sourcils de je fis volte face pour me retrouver nez à nez avec un chat noir. Je pris une grande inspiration avant d'exploser de rire, me rendant soudainement compte que j'avais eu peur d'un pauvre petit chat. Je me remis alors à marcher comme si de rien était.

« Bon c'était drôle deux minutes, mais maintenant casse toi ! Hurlais-je au chat après avoir marché jusqu'à la sorti du parc me rendant compte qu'il me suivait toujours. »

Il me toisa du regard avant de me souffler déçu et de partir en courant.

« Il a vraiment un problème se truc, dis-je pour moi même en mettent mes écouteurs dans mes oreilles. »

Je repris ensuite mon chemin comme si de rien était. Mais au moment où j'allais m'engager pour traverser la rue pour accéder au campus juste en face de moi quelque chose me stoppa. Je n'eu pas le temps de comprendre se qu'il se passait que je fini allongé au sol là respiration coupé, et l'esprit totalement embrumé. Me trouvant sur le ventre je poussais un gémissement de douleur en me laissant doucement rouler sur le côté avant de me laisser tomber sur le dos. Mais qu'est-ce qui était en train de m'arriver ? Pourquoi étais-je au sol en train de souffrir le martyr à travers tout mon corps ?

«  Putain ! Putain ! Putain ! Jimin t'as renversé un mec ! Hurla une vois que je ne connaissais pas.

- Je sais merci, hurla une seconde voie, totalement paniquée cette fois-ci. Tu crois qu'il est mort ?

- Mais j'en sais rien moi ! T'as cas allait voir ! »

Des pas se firent entendre autour de moi. De mon côté rien n'avait plus de signification. Tout semblait devenir sombre. Et alors que mon esprit commençait dangereusement à vaciller un visage que je ne connaissais pas m'apparus alors. C'était lui. Jimin.

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Bonsoir. Bonsoir.
Ici CactusRouge en direct des toilettes...hm...glamour.
Donc, voici un petit quelques chose que j'ai fini d'écrire il y a un mois je crois. Voici, devant vos yeux ébahis, la blague, le prologue !
Bonne lecture pour ceux et celles qui lirons ceci, même si j'ai de gros doute... me demander pas pourquoi, je ne sais pas moi même. Et désolé pour les fautes. Dieu ne m'a toujours pas donné de détecteurs à fautes entre temps.
Bisous piquant sur ton jolie fessier.