12.

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J'ai mal. J'ai terriblement mal. J'ai chaud aussi. Beaucoup trop chaud. Je laissais échapper un gémissement de douleur en essayant de bouger un peut. Alors sa y est. J'étais enfin mort.

Un bruit de porte ce fit entendre, suivie de bruit de pats qui ceux déplaçaient tout au tour de moi. J'avais envie d'ouvrir les yeux. De voir ou je me trouvais. Savoir si j'étais au paradis ou bien en enfer, même si je savais que l'enfer devait surement mieux me convenir. Mais cela m'étais impossible à cause de la douleur que je ressentais à la tête. J'entendis ensuite quelques bruit de machines, puis plus rien. Je pris une grande inspiration, et me battu corps et âmes dans le but d'arriver à ouvrir les yeux.  Une véritable guerre était en train de ce produire dans mon corps. Mais au bout de plusieurs minutes à me débattre contre je ne sais quoi je parvient enfin à ouvrir une paupière, puis une autres, pour avoir les deux yeux complètement ouvert. Les premières secondes furent compliqué et douloureuse temps la lumière du jours m'aveuglais, mais au bout d'un certain temps mes yeux finirent par s'habituer à cette dernière. Je pus alors commencer à prendre connaissance de mon environnement. D'après ce que je pouvais voir, le plafond était complètement blanc. Sans vie. Je fis par la suite glisser mes yeux vers ma gauche ou ce trouvais une machine respiratoire, me faisant froncer les yeux.

Y a des machine respiratoire ou paradis ?

Je ne fis pas plus attention à cela, et entrepris de découvrir le reste de la pièce ou je me trouvais. Au bout d'un certain temps à regarder un peut de partout je me rendis vite compte que je me trouvais non pas au paradis, n'y en enfer, mais dans une chambre d'hôpital, qui d'ailleurs ne m'étais pas totalement inconnus. Je laissais échapper un petit rire d'entre mes lèvres. j'étais vivant. En revanche, une question pris place dans mon esprit. Est ce que tout ce que j'avais vécu en temps que chat c'était vraiment passé ? Ou bien l'avais-je juste rêvé du fais que je sois dans le coma. Je laissais échapper un petit soupire, avant de sourire légèrement. Je ne devais pas me préoccuper de tout ça pour le moment. Tout ce qui compté pour le moment c'est que j'étais vivant.

Soudain un bruit de porte ce fit entendre. Et sans réellement savoir pourquoi je fermais les yeux et fis mine de dormir. C'était complètement stupide me direz-vous, mais cela avait était plus un réflexe qu'autre chose. Alors que j'avais toujours les yeux fermé, j'entendis un bruit de chaise sur ma droite, puis un soupire. Puis plus rien durant plusieurs minutes. Dans mon esprit tout tournais à vive allure. Qui pouvait bien être là ? Hoseok ? Jimin peut-être.

" Bon, tu compte rester longtemps comme ça ou tu vas enfin ouvrir les yeux ? Prononça une voie féminine."

J'ouvris brusquement les yeux avant de tourner violemment la tête sur ma droite, non pas sans grimacer légèrement suite à la douleur, et restais complètement abasourdit en voyant qui ce trouvais à mes coté.

" La vieille, prononçais-je presque en chuchotant.

- Et oui mon petit, dit elle joyeusement, c'est moi. Content de me voir ?

- Eu ... je ...

- Je vois que tu en perd la parole, rigola-t-elle. En tout cas sache que je suis agréablement surprise, mais aussi très heureuse que tu es pus revenir dans ton corps."

Alors ce que j'avais vécus c'était vraiment produit ? Je sourit sans m'en rendre véritablement compte.

" En voyant ce sourire j'en conclut que tu es tout aussi content que moi, constata mamie en me souriant.

- Oui, fis-je en ramenant ma tête droite, toujours en souriant.

- Tu te souvient de comment tu es mort ou pas ? Me demanda alors mamie sans ne passer par quatre chemin.

- Non. Le derniers souvenir que j'ai c'est quand je me suis enfui lorsque j'ai vus ..."

Je me coupais dans mon discours, me r'appelant subitement de quelque chose. SeokJin avait embrassé Jimin. Mon coeur ce serra douloureusement, bien plus douloureusement que lorsque je me trouvais encore dans le corps d'un chat. Je pris une grande inspiration, alors que je pris l'initiative de me redresser sur mon lit. Ce qui ne fus pas une mince affaire. Après plus de dix minutes de bagarre intensive contre mon corps, de nombreux gémissement, et avec l'aide de mamie, je réussi enfin à me retrouver en position assise sur mon lit. Je poussais un long soupire, fatigué par ce que je venais de faire. Mamie ce mit à rigoler en me voyant faire, puis me sourit tendrement.

" Tu sais que le vert te vas à merveille mon petit Suga, fit-elle en m'ébouriffant affectueusement les cheveux.

- Oui, je le sais, rigolais-je avant de lui rendre son sourire ne faisant même pas attention à la façon dont-elle venait de m'appeller. Mais je pense que, maintenant que je suis de retour, je vais peut-être changer un peut.

- Vraiment ?

- Hm ... finalement, je me suis habitué au noir, avouais-je en souriant doucement."

Elle laissa échapper un petit rire, et resta avec durant tout le reste de l'après-midi. J'en appris un peut plus sur elle, et cela me permis de penser un peut à autre chose que Jimin. Un peut avant qu'elle ne parte un médecin étais entré dans la chambre et était complètement resté sans voie de me voir réveillé, mais surtout de me voir assis sur mon lit à rigoler. Il m'avait alors demander si tout allait bien et si je n'avais pas mal quelque part. Je lui racontais alors la douleurs que j'avais ressenti à mon réveille, et m'avait rassuré en disant que tout était normal. Après m'avoir ausculter sous tout les angles, il parti de la chambre disant qu'il allait prévenir mon ami de mon réveille.

J'étais maintenant tranquillement assis en tailleur au milieux de mon lit essayant de faire marcher la télé, mais sans grand succès.

" Putain mais c'est pas possible d'être aussi con ma parole, m'énervais-je en jetant la télécommande au pieds du lit.

- Figure toi que si c'est possible, fis une voie masculine que je reconnus immédiatement. 

- Hoseok ! Hurlais-je en me tournant vers lui tout souriant."

Il ne me répondis pas, et vent directement ce jeter dans mes bras. Je le serrais fort contre moi tendis que l'autre énergumène était en train de pleurer la tête enfuis dans mon coup.

" Tu peut pas savoir à quel point je suis content de te voir, renifla-t-il en me regardant dans les yeux. J'ai tellement crus que j'allais te perdre.

- Tu crois quoi ? J'suis peut-être pas plus gros qu'une ficelle, mais j'en démord pas pour autant.

- En tout cas ça fait tellement plaisir que tu sois de nouveau par mit nous, tu peut pas savoir à quel point."

Je lui sourit à nouveau avant de le reprendre dans mes bras. J'étais enfin de retour, et j'étais bien décider à tout faire pour avoir une vie meilleure, dont commencer par récupérer mon gamin.

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Enfin de retour parmi les vivants ! C'est ça qu'on veux ! Un grand merci au jeunes gens qui lisent, aimes et surtout commente. Ça me fait vraiment chaud au cœur

Chat malgré lui. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant