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Lorsque j'ouvris les yeux, la lumière ardente du soleil vent immédiatement me brûler la rétine. Je réprimais alors un grognements des plus spectaculaire, et enfouis à nouveau mon visage dans se qu'il semblait êtres .. des feuilles. J'ouvris alors à nouveau les yeux, me demandant se que je pouvais bien fabriquer allongé dans des feuilles. Je me mis alors en position assise, et posais mon regard sur le monde qui m'entourais. De se que je pouvais voir j'étais dans le parc. Mais qu'est-ce que je fichais dans le parc ? Soudain ma soirée de la vielle me revient en tête. J'avais eu un accident. Mais d'après se que je pouvais en conclure j'étais vivant. Je poussais un profond soupire, rassuré de ne pas encore êtres monté au ciel, ou dans mon cas, plutôt descendu sous terre direction l'Enfer.

Je ne réfléchi pas plus et me mis doucement debout tout en baillant avant de me secouer dans tout les sens. Me secouer dans tout les sens ? Je baissais automatiquement ma tête en direction de mes pieds, mais tomber nez à nez avec une pair de pattes ..noir ! J'ouvris grand les yeux, et tournais la tête sur la gauche pour remarquer que j'avais une fourrure, elle aussi toute noir. C'est alors que je senti la panique me monter crescendo, et me mis à courir à toute vitesse droit devant moi. Je ne savais pas où j'allais, n'y même les raisons qui me poussais à courir. C'était comme si je voulais fuir quelque chose.

Je fini par arriver devant une route, complètement déboussolé. Je regardais de droite à gauche essoufflé comme jamais, puis m'écroulé au sol en pleurant. Enfin, mon moi intérieur pleurait à chaude larmes tendis que mon moi extérieur miaulait à en perdre allène. Je ne comprenais pas se qui était entrain de m'arriver. Pourquoi étais-je coincé dans un corps de chat ? Peut-être que j'étais mort en réalité ! Soudain cette éventualité me parût beaucoup plus plausible. Il n'y avait pas d'autre explication au fait que je me retrouve coincé dans ce fichus corps de chat.

Je pris rapidement appuis sur mes pattes, prêt à courir à nouveau à vive allure. Si effectivement j'étais mort il fallait que mon meurtrier paye pour se qu'il avait fait. Je me mis donc à courir vers le campus, voulant absolument retrouver l'enflure qui avait oser me tuer.

J'arrivais rapidement sur ce dernier en trottinant légèrement. Je ne m'étais jamais fait la réflexion en étant encore vivant, mais le campus de la fac semblait êtres un véritable labyrinthe. Je m'assis dans l'herbe en râlant ce qui eu pour effets de faire ce retourner quelque passant.

Pourquoi tu me regarde comme ça ducon ?!

L'homme qui au début c'était approché de moi en souriant doucement dans l'optique de venir me caresser ce rétracta avant de partir en grimaçant. Je laissais échapper un petit rire en mon fort intérieur, me disant que même en étant un chat les gens me fuyaient . Un énorme bâillement de fatigue vent alors me déformer le visage, tendis que je commençais à me lancer dans une réflexion intense.

Ce que en ressorti de cette réflexion après quelque minutes c'était : pourquoi moi ? Pourquoi il avait fallut que ce soit moi qui me face écraser par une voiture, et me retrouve dans le corps d'un chat ?

Je fermais les yeux quelque instant, toujours en étant assis, et sans véritablement m'en rendre compte mon esprit commença tout doucement à ce fermer au bruit extérieur, pour totalement ce fermer. En clair, je venais de m'endormir.

Je fus réveillé par des exclamations provenant de devant moi. Et quel ne fus pas ma surprise lorsque je vis que deux étudiantes ce trouvait devant moi, me prenant en photo.

Non mais ça va pas bande de malade ? Est-ce que moi je viens vous faire chier pendant que vous dormez dans votre lit !

À la façon dont elle me regardais je me rendis vite compte que je venais de leurs hurler dessus violemment, ou plutôt miauler, ce qui me ramena bien trop rapidement à la réalité.

Je poussais un profond soupire de désespoir, et me mît à trottiner cars je ne sais trop où dans le campus. Il fallait que je retrouve celui qui m'avais tué. Oui, mais comment ? C'était à peine si je me rappelais avoir eu l'accident, alors me souvenir du visage de mon meurtrier.

Je décidais alors de partir en direction de ma chambre, et que peut êtres avec un peut de chance, ce que je doute, je tomberais sur mon ami. Cependant le fais qu'il détestait les chat me revient subitement en tête, m'octroyant un miaulement roque, et remplis de colère.

En pénétrant dans le grand bâtiment en pierre qui servait de maison au troisième années je ne pus m'empêcher de m'arrêter devant l'une des vitre du grand hall, et ce que je vie me donna la nausée. C'était moi. Mon reflet. Un chat noir comme la mort, avec des yeux aussi vert qu'une émeraude. Je ne pouvais plus le nier. J'étais belle et bien devenus un chat. Moi qui avait toujours détesté ces animaux, je me retrouvais contraint d'en êtres un.

Je parti en direction des escaliers la tête baissée, me répétant en boucle que j'étais belle et bien mort. En réalisant cela de nombreuses questions firent leurs apparitions dans mon esprit. Allais-je manquer à quelqu'un ? A part Hoseok je ne voyais personne d'autre. Je n'avais pas de famille, et encore moins des amis. J'avais toujours était tout seul. Enfin jusqu'au jour où j'avais rencontré Hoseok. En réalité je ne savais pas vraiment ce qui avait fait que nous étions devenus amis. Après tout nous étions tout les deux diamétralement opposées. Lui toujours souriant, joviale, et entouré de monde. Moi toujours, neutre, agressif, seul. J'avais essayé pourtant d'être différent. D'êtres une personne comme mon ami, mais rien à faire. Cela ne me convenait pas. Cela ne m'allais tout simplement pas. Peut-être que j'étais fait pour finir seul jusqu'à la fin de mes jour. Peut-être que dieu avait fait en sorte de me bloquer dans le corps de chat dans le seul but de me torturer.

Alors que j'étais plongé dans mes pensé je ne me rendit pas compte que je me trouvais maintenant au troisième étage. Mon étage. Je relevais brusquement la tête, regardant un peut au tour de moi. Les couloirs était bizarrement vide. Habituellement, d'innombrables personnes ce trimbalaient, la plus part du temps en mode nudiste, dans les couloirs, et là rien. Pas un chat. Enfin si. Moi.

Cette remarque stupide m'arracha un profond soupir, et sans ne rien penser de plus je me mis en route jusqu'à la porte du fond qui ce trouvais êtres ma chambre. En arrivant devant cette dernière je m'aperçus qu'elle était ouverte et qu'une personne ce trouvais à l'intérieur, ou plutôt devrais-je dire deux. Je plissais mes grand yeux vert, et m'assis devant cette dernière en attendant d'entendre quelque chose d'intéressants. Après tout, pourquoi des gens venait fouiner dans ma chambre après ma mort ?

« Hyung, fit une légère voix masculine que je ne connaissais pas. »

Il y eu un lège silence avant que des pas ce face entendre dans la pièce qui s'avérait êtres la mienne de mon vivant.

«  Laisse, c'est son carnet. Il aime pas qu'on y touche. »

Mon cœur rata un battement. C'était la voie de mon ami. Elle était plus grave que d'habitude, et semblait êtres cassé. J'ai un pincements au cœur en imaginant la réaction qu'il avait pus avoir lorsqu'il avait appris pour moi. En revanche, cela ne me disait toujours pas qui était l'autre personne avec lui.

«  Tu devrais aller dormir un peut, s'éleva légèrement la voie de mon ami. Tu es restais toute la nuit à l'hôpital à attendre des ses nouvel. Je vais aller lui apporter quelque truc et lui parler un peut. »

Il n'y eu pour seul réponse qu'un simple sanglot. Ne comprenant pas ce qu'il ce passait dans cette chambre, je poussais la porte avec ma pâte droite, entrais à l'intérieur sans plus attendre. En entrant dans la pièce Hoseok et l'autre homme ce tournèrent d'un seul homme dans mon sans, me regardant avec de grand yeux rond. Mais cela n'étais sûrement rien face au mien qui avait presque faillit sortir de leurs orbite lorsque j'avais vus qui était la personne qui ce trouvait avec mon ami.

C'est lui. C'est cette enflure qui m'a renversé...

Chat malgré lui. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant