Merciless (Sansxfrisk) {Terminé }

Chapitre 8: Payer pour son espèce

Le temps passait dans l'underground et Frisk retrouvait peu à peu un semblant de famille. Dans un monde où règne la loi du plus fort et où chacun ne peut s'empêcher de tenter d'ettriper l'autre. Qui aurait cru qu'elle se sentirait chez elle dans un endroit pareille, devenant de plus en plus proche des monstres qui l'entourait et se rendant réellement compte que cette même loi du plus fort réduisait à néant tout ce qu'il y avait de bon en eux.
Ce jour là, elle allait s'entraîner au combat avec Boss à waterfall. Mais bien sûre hors de question de sortir sans escorte.
Laissant Flowey dormir tranquillement dans sa chambre, elle alla toquer à léger coups à la porte de Sans dans l'espoir de le réveiller.
- Toc Toc Toc ?
Elle entendit remuer dans la chambre.
- Qui est là ? Répondit la voix rauque et ensommeillée du squelette.
- Frisk.
- Frisk qui ? Enchaîna-t-il.
- Ben Frisk l'humaine. Répondit-elle incrédule.
Il ouvrit la porte et lui lança une regard blasé accompagné d'un sourire amusé.
- T'as rien compris au blague "Toc toc" ma pauvre.
- De quoi ? Demanda-t-elle ne comprenant absolument pas la situation.
Le squelette en face souffla.
- Laisse je vais te montrer.
Il referma la porte.
- Sans j'ai pas le temps pour ça, s'il te plait.
- Fais pas chier et joue le jeu. Toc Toc. Dit -il à travers la porte.
Elle soupira échappant un léger sourire.
- Qui est là ?
- Cer.
- Cer qui ?
- Certainement pas Sarah elle à pas de bras.
Elle rit. Mon dieu ses blagues étaient horribles.
- Sans allez.
- Oh là là. Il ouvrit la porte. Bon qu'est ce que tu me veux pour me réveiller aux aurores.
Elle sourit chacun sa définition des aurores sachant qu'il était déjà 10 heures.
- J'ai besoin que tu m'accompagnes.
- Pour faire quoi ? Tu as déjà empruntés des livres hier.
- L'entraînement Sans. C'est aujourd'hui. Mais si tu veux je peux y aller seule je connais le chemin.
Il la regarda une minute sans comprendre puis soupira.
- Hors de questions, je te retrouverais en charpis. Je vais me changer deux secondes.
Il ferma la porte. Elle attendit quelques minutes durant lesquelles elle se perdit dans ses pensées. Elle ne s'était jamais ballader dans waterfall seule, regardant les pierres illuminant les paroies et à écouter les fleurs échos murmurer. Elle avait besoin d'un moment comme celui là. Durant lequel elle serais seule face à ses pensés. Elle soupira se genre de moment n'était pas possible, Sans et Paps ne la laisserai jamais se promener seule dans l'underground.
Sans sorti enfin de sa chambre, et ils se mirent en route vers waterfall. L'entraînement se passa comme d'habitude, elle refusait toujours d'attaquer et se contentait d'esquiver les coup, exerçant ses réflexes. Alors que Frisk était à bout de souffle, Boss mit fin au combat après 2 heures d'affrontement.
- ON VA S'ARRÊTER LÀ POUR AUJOURD'HUI HUMAINE ! SANS !
Le squelette qui s'était endormi adossé contre un mur, se réveilla en un sursaut.
- RAMÈNE L'HUMAINE JE VAIS CONTINUER DE M'ENTRAÎNER AVEC UNDYNE.
- Ok. Tu viens gamine ou tu comptes mourir sur place ? Dit-il moqueur face à sa difficulté à reprendre son souffle.
Elle se releva difficilement et le suivit. Avançant tout deux au milieu des fleurs échos, Frisk décida de demander à rester là un peu plus longtemps, après tout ce n'était pas les fleurs qui allaient la dévorer.
- Le Boss me tuerais si je te laisser seule. Imagine que tu meurs, je fini en poussière moi.
Elle soupira comme une enfant.
- Sans s'il te plait, j'en ai besoin. Je resterais pas longtemps et puis je ne risque rien. Suplia-t-elle.
Il souffla.
- Très bien, mais tu auras une dette envers moi. Affirma-t-il un sourir sadique s'affichant sur son visage.
Elle hésitat un instant.
- Quel genre de dette ?
- Une que je jugerais à la hauteur du service que je vais te rendre.
Elle hésita une seconde, mais
- Très bien. Elle tendit la main à Sans.
- Tu es sûre gamine, ici les dettes on une signification particulière, ceux qui ne les rembourse pas finisse généralement en poussière.
Elle rit intérieurement repensant à tout l'argent que Sans devait à Grillby.
- Je la rembourserai.
- Peu importe ce que C'est ? répliqua-t-il sont sourire s'etirant un peu plus.
- Je te fais confiance. Affarma-t-elle sûre d'elle.
- Tu as tort gamine.
Il la laissa, disparaissant en un clin d'oeil.
Enfin elle pourrait se recentré. Elle s'allongea et écouta distraitement les murmures des fleurs et le bruit des chuttes. Elle resta comme cela pendant quelques minutes, bercée, comme dans une sorte de transe au rythme lents et calme des eaux.
Frisk fini part se lever, ne voulant que Sans est de problèmes.
Elle décida d'empreinter le bateau du Riverman, afin d'arriver plus vite. Filant à toute allure sur l'étrange embarquation. Mais à peine était elle descendu sur la rive qu'en face d'elle se dressa un groupe de monstres, composé de chiens, de lapins et de drôles d'oiseau de glace, avec un aire tout sauf amicale, des rictus sadique étirant leurs lèvres.
- Heya... dit-elle timidement cherchant du regard un moyen de s'enfuir.
En un instant le plus grand des chiens la saisit au cou et la plaqua contre un sapin.
- Heya ! Il eue un rire amer. Comment se fait-il qu'une garce d'humaine peut se balader librement sur notre territoire ? Tu te crois en pays conquit ordure ?! S'exclama-t-il en grognant, dévoilant ainsi des cros ascerés prêt à la déchiqueté en quelque seconde.
Il resserra l'étaut alors qu'elle se débattait de toute ses forces, sentant ses poumons se vider et son esprit s'embrumer. Les ricanements des monstres resonnèrent dans son esprit comme un lointain écho. Sa vision se troubla, elle ne remua plus que par réflexe, une soudaine torpeur prenant possession de tout son corps.
Et alors qu'elle cru s'évanouir ou pire le canidé la souleva à hauteur de sa gueule et lui chuchota une phrase à l'oreille.
- Tu vas payer pour ton espèce.
Avant de la jeter dans la rivière glacé. Elle n'avait plus de force, ses membres paralysé par le manque d'aire et le froid mordant de l'eau. Elle sentait sa vie l'abandonner peu à peu, accueillant les ténèbres comme un soulagement. Fermant lentements les paupières, alors que la dernière chose qu'elle voyait était une silouhette de noir de rouge et de blanc.

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Chapitre 8
Avec beaucoup beaucoup de retard vraiment désolé.
Entre les fêtes et le fait que j'ai choppé la grippe j'ai vraiment eu du mal à écrire se chapitre n'étant jamais réellement contente du rendu. En tout j'espère que ça vous à plu, et je vais essayé de reprendre le rythme normal de mes publication la semaine prochaine.

Ah oui ! Je tenais aussi à vous remercier, plus de 100 lectures. Ça paraît pas beaucoup comparé à d'autre livre mais pour moi c'est déjà énorme. Donc voilà un grand merci 😊