Sweet Disaster

Chapitre 17

Un jour plus tôt

/PDV Aiden/

Lorsque je la vit sur la piste de danse entouré de plein de gars je décidai d'y allez moi aussi. Elle s'en fichai des gars, elle ne faisait que danser pour elle même. Je m'attendais à ce qu'elle me repousse et arrête de danser, mais non elle accentua même son roulement de hanche et je plaquai mon torse à son dos. Nous dansâmes comme ça quelque instant jusqu'à ce que je remarque un objet métallique dans le bas de son dos. Sans me décollé d'elle je lui pris et la seconde d'après elle se prit une droite de ma copine si on peut l'appeler comme ça.

-Ouah! Ça faisait longtemps que je n'en avais pas reçu une bonne comme ça! s'exclama-t-elle le sourire au lèvres en se tenant le côté gauche de sa mâchoire.

-Et ce n'est pas fini, lança Mylissandre en tentant de lui donner un autre crochet.

Ça y est Alexis va se prendre la raclée de sa vie.

-Oh non, ça ne l'est pas Mylissandre, cracha Alexis en lui attrapant son point dans sa main.

Comment elle sait son nom elle?

Elle le tordit et écrabouilla son point. Je m'en allais intervenir quand elle arrêta de tourner et elle se penchait pour lui chuchoter quelque chose à l'oreille. Mylissandre était traumatisée, pour être gentil je l'aidai à ce relevé et puis partis en haut en suivant Alexis.

-Tu sais que tu as mis une raclée a une des meilleures filles du gang, lançai-je en m'asseyant à ses côté dans les marches à l'extérieur.

-Votre gang ne dois pas se spécialiser en combat rapproché alors.

-Oui c'est l'une de nos forces et toi tu as fait comme si c'était l'une de nos faiblesses, je comprend pas.

-Elle était plutôt facile à battre, tu sauras que les Vipers n'ont aucune faiblesse, du moins c'est ce qu'ils font paraître. Leurs méthodes d'entraînement sont très intense, pour y entré tu devais tuer un membre de ta famille.

-Tu as fais ça toi?

-Non bien sûr que non, m'assura-t-elle.

-Je peux savoir quel est ton vrai nom au moins?

-C'est Alexis Knights mon vrai nom.

-Pourquoi tu avais amener ton Colt ici.

Elle toucha l'endroit où elle l'avait mit et lorsqu'elle réalisa qu'il n'y était plus elle tourna sa tête vers moi et me présenta sa main pour que je lui donne.

-Donne le moi, ordonna-t-elle.

-Non pas avant que tu me dises qui tu es vraiment.

-Je souhaite pour toi que tu le découvres jamais.

En un millième de seconde, je me retrouvai couché sur les marches son couteau sous ma gorge ainsi que son genoux inconfortablement placé sur mon plexus.

-Donne le moi. Ça serait dommage d'abîmer ton beau petit visage, me menaça-t-elle en jouant avec son couteau sur ma joue gauche.

Je lui donnai son Colt ne voulant pas faire tout dégénéré dans une réunion de gang avec une personne qui appartenait au gang ennemi. Elle replaça ses armes et commença à partir vers la rue.