VITALE.

.I.

Je suis pas le genre d'homme parfait que toutes femmes rêveraient d'avoir, non je suis juste un homme banale. Mis à part ma vie sociale rien n'est parfait chez moi. J'aurai pu m'inventer une vie comme toute personne qui n'aime pas sa vie l'aurait fait, mais en réalité je l'aime ma vie car déjà je respire et je suis « riche » c'est déjà ça. Une personne me verrait dans la rue elle me dira « t'as une vie de rêve, t'as tout ce que tu veux » je pourrais lui répondre que je veux ma mère mais que je ne l'ai pas, je pourrais aussi lui dire que je veux une famille mais je n'en ai pas. Je peux même lui dire que ma fille a besoin aussi d'une mère mais qu'elle n'en a pas. Je pourrais lui dire beaucoup de choses que je n'ai pas à part l'argent mais je me tais seulement. Je suis sage de tout même de l'énervement.

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« Moi criant d'impatience — fait vite Agnès je dois te déposer chez mamie d'accord ? Papa va sortir un instant.

Agnès hochant la tête — accord pa'

Moi ouvrant mes bras — vient là »

Ma fille est la seule chose qui m'oblige à être vraiment fort. Si elle n'était pas là, qui sait dans quelle genre d'endroit je traînerai en ce moment. Elle vient tout juste d'avoir 4 ans et fait sa deuxième année en maternelle.

...

Après l'avoir déposé chez sa grand-mère je me dirige chez mon ami d'enfance que je n'ai plus revu depuis un certain temps.

Je me gare trente minutes plus tard puis j'entre chez lui sans toquer, chose que je n'aurai pas dû faire car monsieur se taper une jeune fille dans son salon, StarfirAllah

« Moi choqué — WESH ?

Assane surpris — Yûnûs ? Frère tape avant d'entré wesh !

Moi — ferme là ferme là

Il se lève avec la fille et la fait diriger vers une chambre puis revient au salon et me tchek, un fou j'ai hleuf

Assane — azy tu niques mes plans comme ça vieux, sa fait longtemps

Moi — ferme là seulement, ouais aussi t'es partit à l'étranger sans prévenir

Assane — mdrr j'avais envie de changer d'air et wallaye c'est grave les States, le fuego

Moi — tu comptes rester tranquille maintenant oula ?

Assane — ouais ouais, sinon comment va ma princesse ? Tu lui as trouvé une mère j'espère

Moi *rires* — y'a pas de meuf sérieuse de nos jours, du coup je m'intéresse pas

Assane — oulaah, sa fait combien de temps t'as pas hechek toi ?

Moi — ferme là wAllah

Assane *rires* — calme, on bouge au grec ?

Moi — t'en fait quoi de la meuf dans la chambre ?

Assane — si vraiment elle veut que je la prend elle attendras hein

Moi dégoûté — putain tu peux pas faite attention à ton language ?

Assane — skuse nous le papa, être père t'a vraiment changer »

Dit-il et disparaît directement du salon. Il a pas tort mon rôle de père m'a changer, ça m'a fait devenir homme. Ça me dérange pas plus que ça. Mohem, quand monsieur eut finit de se préparer on est parti au grec.

Je peux vous dire que pour l'ambiance Assane est le dj, le grec en avait marre de lui alors qu'on venait juste d'arriver.

J'étais dans mon coin je réfléchissais un peu. Mais c'est quand la porte du grec s'est ouverte pour que quatres jeunes femmes y pénètrent, mon attention s'est diriger vers l'une d'elle après que je les ai toutes analyser, mes yeux se sont bloqués sur une seule. La seule.

« Assane — vieux tu prends quoi ?

Moi regardant la fille — pareille que toi

Assane regardant en ma direction — va lui parler au lieu de la regarder comme un coincé, tu vas lui faire peur là

Me dit-il en se levant, je la regardais toujours, elle avait ces cheveux sur ses yeux et essayer de les enlevés, quand elle eut finit elle discute avec sa pote puis se retourne vers moi, je n'ai pas détourné le regard mais elle, elle a directement tournée la tête comme si elle en avait rien a cirer.

Je la regardais toujours puis quand mon téléphone se met à sonné je pose mon regard sur celui ci qui affichait Appel entrant Assane, je décroche alors de suite

Moi- quoi wesh ?

Assane- va lui parler imbéciles putain on dirait un pd que tu restes là à la regarder comme un psycho

Moi- ferme là

Assane- tu sais dire que ça kho

Je raccroche puis je le cherche du regard, je l'aperçois enfin devant la porte. Il me fait coucou puis franchit la porte, il est malade ce mec.

Je prend encore trois minutes pour bien respirer, puis je me dirige vers la table de la jeune femme. Une fois devant elle, bah je l'accoste.

Moi — Salam 3Aleykoum

Elle hésitante — Waleykoum Salam

Moi — quelle est ton nom ?

Elle — bouge

À l'entente de son « bouge » je suis partit direct tel un soumis. Je savais pas comment m'y prendre. Il y avait un temps où je faisais rire les filles en les draguants, mais les temps ont changés.

Assane revient 30 minutes plus tard, je lui raconte la merde que j'ai faite et lui, il n'en revenait pas.

Assane — zoba des pantalons, donc toi ton zizi il s'est ramollit à ce point ?

Moi — tu t'arrêtes jamais toi

Assane — vas-y on bouge, ne te ridiculise pas plus ici. »

On est parti avec nos commandes mais cette fille, je n'en ai pas finit avec elle. Quand je veux quelque chose, je me donne les moyens de l'obtenir.

Fin du chapitre 🌺💫