Je m'étonnerai toujours des gens qui insulte leur père ou leur mère entre eux pour rigoler, c'est tellement décevant. J'étais justement en train de regarder deux hommes d'à peu près mon âge qui se faisait des blagues entre eux du genre « ta mère la salope je t'ai dit je sors ce soir » et l'autre qui répondait « ferme ta mère je l'ai baiser hier soir ça va elle se débrouille bien », c'est répugnant. L'homme est né grâce à la femme, il est éduqué par une femme, il aime une femme, il épouse une femme, la mère de ces enfants est une femme. wAllah je m'étonne encore des hommes qui respectent pas les femmes et surtout leurs mères.
Je passe devant eux en regardant par terre, bizarrement le sol était propre aujourd'hui. Je m'avance avec les tas de sacs que j'avais, jusqu'à mon appartement. A peine j'ouvre la porte que Agnès criait et son père jouait au jeu le plus aimé des gars, j'ai nommé FIFA, le volume à fond ! Non non, pas comme ça je dépose mes sacs dans la cuisine puis je retourne dans le salon.
Zina — ARRÊTEZ ÇA TOUT DE SUITE !
Yûnûs appuie sur pose et se retourne pour me reluquer de haut en bas et Agnès faisait pareille, wow j'ai réussit a les calmer. Mais en vérité il y'a des gens qui se foutent de ta gueule, à peine je souris à ma victoire que je les voit se retourner et refaire les mêmes bruits, foutaise !
Je débranche la télé et arrache les poupées d'Agnès de ces mains.
Zina calmement — vous avez deux minutes pour vous laver chacun votre tour, et après ça Agnès tu me réciteras l'alphabet en français et en arabe. Et toi Yûnûs j'ai cru savoir que tu avais de nouvelles offres mieux vaut les étudiés aujourd'hui.
Yûnûs — Zina tu as cru que je suis ton gosse ?
Zina — non Yûnûs je n'ai rien cru mais on est sous le même toit et on partage le même lit. Je fais des efforts pour vivre bien avec vous alors que je ne suis pas obligé donc tu fais de même.
Agnès — Zina je peux dourmir avec toi et Papa ?
Moi rougissante — non mon coeur, d'ailleurs même ton papa iras dormir autre part si il continue ses gamineries.
Yûnûs souriant — pourquoi tu rougis Zina ? On ne fait rien dans le lit enfin, pas encore
Moi — ferme là ! Dans trois minutes vous êtes sous la douche sinon vous mangerez des choux avec du poissions cru.
Je pars dans la cuisine mais je m'arrête encore une fois.
Moi — et n'oubliez pas de ranger le salon !
Je pars faire la cuisine. Je m'étais mise en pagne et un débardeur je bougeais sur du Doks- SHAINA.
Trente minutes plus tard alors que j'avais changer de musique je dansais sur du son tellement sensuel. Je sens des mains sur mes hanches et un corps derrière moi qui me collait et bouger en suivant mon rythme. Yûnûs. Je me retourne pour lui faire face. Il était tout propre et avait seulement un joggingMoi — qu'est ce que tu fais ?
Yûnûs — voir une magnifique femme cuisiner et bouger son derrière devant mes yeux, sa donne envie et pas qu'un peu
Moi — va mettre un haut
Je l'avais dit d'une manière, ma voix était sensuelle et je rougissais. Après lui avoir dit ça il m'a regarder longuement, puis m'a plaqué au mur tout doucement. Mon Dieu je chauffais je ne savais plus quoi faire. Il embrasse mon cou puis est partit dans le salon. Je suis rester planté là deux longue minutes puis j'ai repris la cuisine. Une fois tout au feu je suis repartit dans le salon qui d'ailleurs était rangé et laisser place à Yûnûs qui travaillait sur des dossiers et Agnès qui récitait l'alphabet en arabe tout doucement, c'était beau à voir.
Moi — c'est bien vous travaillez ! On adore.
Agnès — Zina j'ai finiiiit
Moi — aller mon petit coeur, récite pour voir
Agnès — ا ب ت ث ج ح خ د ذ ر ز س ش ص ض ط ظ ع غ ف ق ك ل م ن و ه ى
Moi applaudissant — waaw c'est bien mon petit coeur. Tu peux aller préparer ton sac pour demain et venir regarder la télé
Elle me fait un bisou sur la bouche et part dans sa chambre qui en vérité était la chambre de mon petit frère. Je pars m'assoir à coter de Yûnûs et lui arrache quelques dossiers. Je les lisais et les comparer, le premier avait un avantage sur les économies de l'entreprise mais le deuxième n'avait rien avoir.
Moi lui donnant le dossier — c'est une offre favorable pour ton entreprise vous pourrez faire des économies et continuer de faire des prix bas pour les produits. Moi j'aurai pris celle ci.
Il me regardait parlait puis sourit. Je ne comprenais pas ce sourire mais je lui rend à mon tour.
Yûnûs — c'est exactement ce que je me disais, mais j'avais besoin d'en parler à mon ami. Mais c'est bon j'ai eu ta confirmation et elle me va largement.
Moi — j'ai toujours aimé faire ça. Mon père le fait tout le temps et c'est moi qui l'aide à étudié ses dossiers
Yûnûs — comment il s'appelle ?
Moi — Jamil B********
Je vois son visage changer d'expression on aurait dit qu'il avait la haine. Je ne comprenais pas je lui demande ce qu'il y'a mais il n'a rien dit.
Moi — tu es sûr ?
Yûnûs — oui mohem
Je lui fais un bisou sur la joue et lui dit de ranger car nous allons passer à table. Ce qu'il fait de suite sans parler.
Fin du chapitre 🌺💫
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VITALE.
General FictionTerminer. Il se peut dès fois, que Dieu réunisse deux âmes égarées, deux personnes perdues, deux êtres totalement opposés, car leur passé trop brutales peut donner un futur harmonieux. Bienvenue à bord. •AnnaByTheAsn•