Dès fois, tu te donnes à fond pour quelqu'un, tu fais tout pour la rendre heureuse mais t'as l'impression que ce n'est jamais assez. Zina était plus qu'une simple personne, sans m'en rendre compte, je devenais accro à elle. Mais ses dire m'avaient plus blesser qu'autre chose.
Pendant que je restais avec elle alors que j'ai une fille que j'ai laissé, cette salope se jouait de moi, elle s'était lié avec son salaud de père. Mais, d'un autre côté, elle n'était pas encore au courant de la vérité. Je ne sais plus quoi pensé et mon dernier message avait été écrit sous le coup de la colère. Mais elle ne m'a pas répondu alors c'est qu'elle s'en fiche : qui ne dit mot consent !
Après avoir réglé toute les paperasses tout en pensant à Zina, je retournais chez moi pour juste deux ou trois jours. Agnès était juste au salon quand je suis arrivé et comme toujours elle s'est jeté sur moi.
Moi — ça va toi mais avec qui tu es venue ?
Agnès — va voir dans la cuisine papa !
Curieux de savoir qui se cachait dans la cuisine, je pose Zina par terre et je m'y rends.
J'ai vu flou quand je suis tombé nez à nez sur Mélinda, j'étais persuadée qu'elle cherchait obligatoirement, sa mort.Moi — qu'est ce que tu fous ici ?
Mélinda — bah je vois que tu es content de me voir !
Moi — prend tes affaires et sort d'ici je ne blague pas Mélinda, tu dégages
Mélinda — qu'est ce qui te prend ? Tu m'avais dit à une prochaine fois alors voilà je suis là.
Moi — écoute moi bien, ouvre bien tes tympans. Si tout ce qui t'intéresse c'est que je t'écarte les jambes cinqs putain de minutes tu peux te barrer, je n'ai pas de place pour les prostituées de ton genre. Donc tu vas prendre gentiment tes affaires et m'éviter des problèmes avec ma femme.
Mélinda — mais tu-
? — il t'a dit de dégager merde !
Je me retourne surpris de sa présence ici, Zina. Cette femme c'est une dinguerie, un putain d'avion de chasse. Je la regardais s'approcher et coller une gifle sur la joue de l'autre Mélinda, tout ça avec classe laissez moi rajouter.
Mélinda — t'as fait quoi là sale pute ?
Moi — eh sort d'ici parceque la seule pute ici c'est toi et on se passera très bien de toi.
Je la regardais sortir en prenant son sac à main et claquer la porte, j'ai voulu l'encastrer celle là elle a cru c'est la porte à son père ?
Zina — et toi, je suis ta conne tu me lai-
Je la fais taire en posant mes lèvres sur ses lèvres despacito. Je la plaque au mur et la regarde dans les yeux.
Moi — je t'aime Zina
Agnès — papa !
Moi soupirant — Agnès
Agnès — moi aussi j'aime Zina 'pa
Zina *rires* — oh vous êtes adorables
Je me retire de la cuisine, au moment où je dévoile mes sentiments que voilà tout est gâché, ma foi. Je monte dans ma chambre et retire mes vêtements pour enfiler un short. C'est juste une heure après je Zina me rejoint, à ma plus grande surprise elle prend place sur mes genoux.
Zina baissant la tête — je t'aime aussi
Yûnûs *rires* — pourquoi tu as honte ?
Zina — oh ça va toi aussi !
Je ne pu m'empêcher de l'embrasser et de continuer ce qu'on avait stoppé dans la cuisine. Elle ne me repoussait pas donc je lui retire ses habits et me place sur elle.
[...]
Au milieu de la nuit, des bruits se faisait entendre dans la chambre d'à côté. Je me levais pour m'y rendre et m'assurer qu'Agnès se portait bien mais rien, elle n'était pas sur son lit ni sur son siège. Je retourne dans ma chambre en vitesse et réveille Zina pour qu'on cherche à deux.
Après 10 minutes de recherche, on se rendais compte qu'elle n'était pas dans la maison. Je devenais fou j'ai était jusqu'à pousser ma copine enceinte violemment contre le mur. La seule personne capable et ayant une raison d'enlever ma fille était Jamil mais lui étant en prison je viens à me souvenir qu'il avait un fils : Rachid.
Yûnûs — prend toutes tes affaires et rejoint moi dans la voiture.
Zina en pleure — quand est ce que ça va se finir tous ces problèmes Yûnûs ?
Yûnûs — très bientôt.
Je me précipite dans la voiture et attend Zina juste deux minutes dans la voiture et me dirige vers chez Assane. A peine garé que je me dépêche d'aller le récupérer.
Moi — OH ASSANE GROUILLE TOI, ON A DES PERSONNES À ÉLIMINER !
Assane — ah ouais ? Chouette !
On se munît d'un sac noir puis on se dirige dans la voiture où on retrouve Zina au téléphone.
Zina — prend le premier vol que tu auras ! On te récupère à l'aéroport.
Elle raccroche et me regarde salement. Sa y est, j'ai fait un truc et j'ignore quoi. Les femmes arrêtez de nous lancer des regards sale comme ça et parler.
Moi — qu'est ce qui se passe encore ?
Zina — ah parceque maintenant tu me frappes gratuit et tu ne dois pas t'excuser ?
Moi — eh c'est en partit de ta faute si ma fille a était enlevé alors ferme là !
Zina — pardon ? C'est toi qui a un problème avec Jamil pas moi, je ne suis rien dans tous ça, vous vous êtes servit de moi tous les deux. Lui pour t'atteindre et toi pour l'atteindre, tu as voulu récolter le maximum d'information sur sa femme et lui ne voulait juste que te voir couler puis t'achever donc démarre cette fichu voiture et allons récupérer ma fille.
J'ai démarrer directement parceque tous ce qu'elle venait de dire n'était que la pure vérité. Je me suis servit d'elle pour atteindre Jamil et je viens de me rendre compte qu'elle ne connaissait Jamil que par son nom.
Assane — attendez tous les deux ! Qui a disparu et pourquoi ?
Zina — Agnès, on l'a enlever cette nuit même.
Assane — par qui ?
Zina — je l'ign-
Moi — Rachid.
Fin du chapitre 🌺💫
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VITALE.
General FictionTerminer. Il se peut dès fois, que Dieu réunisse deux âmes égarées, deux personnes perdues, deux êtres totalement opposés, car leur passé trop brutales peut donner un futur harmonieux. Bienvenue à bord. •AnnaByTheAsn•