Moi suant — plus vite, plus vite !
Yûnûs me fixant — calme toi Zina
J'étais en train de pressé Yûnûs car je devais me rendre en cours, j'avais un examen et hors de question de le manquer. Ça fait un peu près deux semaines que lui et Agnès vivent chez moi, je ne suis plus seule et ça me plaît. Avant qu'il parte au travaille j'avais supplier a Yûnûs de me déposer devant l'Université.
Yûnûs — AGNÈS VITE ON Y VA SINON JE CROIS QUE MADEMOISELLE EN FACE DE MOI VA M'ÉTRANGLER AVEC MA CRAVATE
Moi — ce n'est pas une si mauvaise idée quand tu le dis
Agnès — Zina j'arrive pas à fermer le sac
Elle trop mignonne, avec son sac rose et sa robe noir. Je prends son sac de ses mains puis je la porte.
Yûnûs — non non donne je vais la porter.
Je fais un bisou sur la joue d'Agnès et la donne à son père. Je pris les affaire de Yûnûs et nous sortons. Dans la voiture on parlait entre nous, sans que Agnès comprenne.
Yûnûs — tu sais ton soutien gorge rouge dentelle, il est sexy
Moi m'écriant — tu fouilles dans mes affaires ?
Yûnûs — fouiller c'est trop dire, regarder c'est mieux dire
Je le regarde en souriant puis je déboutonne ma chemise laissant apparaître le soutien gorge dont il me parlait. Heureusement que son par brise était un peu teinté.
Yûnûs — qu'est ce que tu fais ?
Moi me mettant face à lui — c'est de celui-là dont tu me parle ?
Je le vois ouvrir grand les yeux en regardant ma poitrine, je m'étonnais de faire ça sans gêne. Je n'ai jamais fait ça auparavant. Avec Yûnûs j'ai l'air de m'en foutre.
Yûnûs — seigneur... Zina remet ta chemise vite
Je rigole en le regardant ouvrir la fenêtre à toute vitesse, manquant de s'étouffer. Je finis de reboutonné ma chemise et je regarde l'heure sur mon tel, mais il était mort.
Moi — prête ton tel s'il te plaît
Yûnûs — sur tes genoux
Je rigole et le pris, je regarde l'heure mais le téléphone n'était pas verrouiller. Je me retourne pour voir si Yûnûs me regardait mais voyant qu'il était concentré sur la route, je me mis à fouiller.
Il n'y avait rien dans ses messages, alors je me rends sur le seule réseau social qu'il avait, Instagram. Sur sa fil d'actualité il n'y avait que des photos « nudes » de femmes. Alors dans ses messages, j'ai vue qu'il parlait à une certaine « Mélina Rayah ». Elle lui envoyer des photos d'elle nue mais Yûnûs semblait ne pas apprécier vue les insultes qu'il lui donnait, mais ils avaient l'air de bien parler car y'a des moments où ils rigolaient ensemble. Juste ça, ça m'a mise en rogne, j'ai verrouiller son téléphone et je n'ai plus parler.
On arrive devant l'Université, je descends en lui crachant un « à ce soir » sec comme une biscotte. Mon comportement n'ai pas normal mais enfaite je crois juste que c'est de la jalousie amicale.. je pense. Le fait qu'un « ami » parlent à une autre, sa peut énervé certaines personnes non ?
[...]
J'étais dans le bus direction le travaille de Yûnûs. L'examen s'est bien déroulé, j'espère décrocher un concours, Amine. J'arrive devant l'arrêt je descend et je cours jusqu'à son travaille. Du haut de mes 19 ans je ne savais pas courir, et puis je n'aimais pas ça.
J'étais essouffler en rentrant dans le hall. Je demande à la secrétaire putepute là de m'indiquer le bureau de Yûnûs. Elle m'y accompagne sans dire un mot et je me retrouve dans la salle. Yûnûs assit sur son bureau l'air détendu, même trop détendu. Je m'approche et pose ma main voilement sur la table.
Moi — les clés de l'appart
Yûnûs — Scridge ?
Moi — haha, c'est bon t'as finit ?
Il se met debout et contourne son bureau pour se retrouver totalement en face de moi. Je le voyais s'énerver et je ne le calculais pas.
Yûnûs criant — parle moi bien Zina !
Moi — tu cris sur moi là ? Qu'est ce que je t'ai fait ?
Yûnûs — parle moi bien j'ai dit !
Moi — tes crises là tu les fait à Mélina, pas à moi
Je vois son visage changer en deux seconde, il est passé de l'énervement à la réflexion.
Yûnûs — tu as fouiller dans mon téléphone ?
Moi souriant — fouiller c'est trop dire, regarder c'est mieux dire
Il m'a poussé voilement sur le mur et m'a fixer pendant une minute je pense. Et je ne sais pas ce qu'il m'a prise à ce moment précis mais j'ai déposé mes lèvres sur les siennes. Il ne s'y attendait pas mais une fois les idées en place il mis sa main sur ma hanche en approfondissant le baiser. Le manque de souffle me fait stopper, je l'ai regarder un instant puis j'ai pris mon sac et je suis partit.
Je parcourais les rues ne savant pas où aller.
[...]
Vers vingt-deux heures et demi, je décide de retourner chez moi. Arrive devant ma porte je me rappelle que je n'avais pas les clés mais que Yûnûs est peut-être déjà rentré. J'ouvre la porte qui se laisse aller, je fouille dans toutes les chambres mais aucunes trace de Yûnûs ni d'Agnès et aucune trace de leur affaires. Ils sont donc partis.
Fin du chapitre 🌺💫
VOUS LISEZ
VITALE.
General FictionTerminer. Il se peut dès fois, que Dieu réunisse deux âmes égarées, deux personnes perdues, deux êtres totalement opposés, car leur passé trop brutales peut donner un futur harmonieux. Bienvenue à bord. •AnnaByTheAsn•