.VII.

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Cela faisait trois jours que je reste chez moi sans rien faire et je ne faisais que manger. J'ai tellement grossit en seulement trois jours. Mon frère reviendra sûrement dans 5 mois et je manque les cours, tous les jours je me réveille avec une intention d'y aller mais après la flemme m'envahit. Ce n'est pas grave je réviserai sur internet et les jours d'examens, j'y serai.

La sonnerie de mon appartement retentit alors je me lève savant exactement qui c'est.

Moi — entrez ne restez pas là

Il rentre suivit de sa fille, Yûnûs vous l'aurait deviné.

3 JOURS PLUS TÔT

J'étais dans mon salon à manger du bon poulet accompagné de riz blanc. Mes yeux rivés sur la télé qui afficher ma série préférée Orange is the new black, j'étais absorbée alors que je n'étais qu'à la première épisode de la saison 2.

Une sonnerie vient brisée ce moment que j'appréciais tant, la porte encore ! Je pars ouvrir et tombe sur un homme que je ne connaissais pas.

L'homme — salut toi ! Tu fais quoi ?

Je lui ferme la porte au nez mais aussitôt fermer que sa re-sonne. J'ouvre la porte en trombe prête à insulter cet homme.

Moi — tu n'es pas à la bonne porte sale c-

Oh mon Dieu ! J'ai sursauté voyant Yûnûs debout devant moi hors je ne m'y attendais pas. Je le regarde de haut en bas histoire d'être sûr que c'est lui.

Yûnûs — beau gosse n'est ce pas ?

Moi — pfff, j'ai cru que c'était l'autre imbécile qui s'est trompé de porte qui revenait forcer.

L'homme se penchant — l'autre imbécile il est juste là alors il vaut mieux le respecter !

Yûnûs *rires* — t'inquiète beau gosse, je vais la calmer

L'homme — déjà fait un effort de mieux draguer et on en reparle d'accord khoya ?

Et l'homme se laisse glisser sur la rampe des escaliers en criant « wouhou » tel un enfant. Je laisse échapper un rire en le regardant.

Yûnûs — concentre toi sur moi wesh, écoute je suis désolée pour ce soir, j'avais la haine que tu nous calcule plus moi et Agnès à cause de ce petit shlag

Moi levant un sourcils — je te rappelle que c'est toi qui a arrêter de me donner de vos nouvelles, durant un mois.

Yûnûs — je sais bien, tu m'avais juste soûler. Enfin bon, je suis juste revenue m'excuser. T'as le droit de faire ta vie comme tu le veux après tout

Il se retourne pour partir mais je le retient par la taille, je ne compris pas mon geste mais son corps se redressa comme s'il avait reçu une décharge de 1000W. Je le retourne et lui dépose une petite claque sur la joue.

Moi souriant — ne t'en fait pas. Ça ne m'a pas déplue, j'aime quand il y'a de l'action sans abuser.

Je referme ma porte et repart me mettre dans mes draps.

RETOUR AU PRÉSENT

Je les accueille dans le salon et prend le petit sac d'Agnès.

Moi — tu dors ici avec moi ?

Agnès excitée — oui mais papa aussiiii

Je lève mes yeux vers Yûnûs qui était concentré sur son téléphone. Je tape sa jambe pour attirer un peu d'attention de sa part.

Yûnûs se penchant à mon oreille — sa sera un honneur de dormir avec toi, moi juste en petit caleçon

Je me sens comme paralysée après son aveu, c'était trop je ne m'y attendais pas. Je le regarde dans les yeux et lui sourit.

Moi — sa sera un honneur pour moi de dormir avec toi, moi sans petite culotte

Ses yeux se sont arrondit et il m'as regardé choqué de ce que je viens de dire. Je laisse échapper un rire et je déshabille Agnès pour aller la lavée.

————————

J'étais allongée entre temps, téléphone en main. Sa fait un peu près deux jours que je parlais avec une fille sur les réseaux. Je n'étais pas très fan de tout ça mais cette fille avait un délire que je kiffais bien.

Je laisse mon téléphone par une envie pressante d'aller pisser et je cours vers les wc. A peine rentré dans la salle de bain que je retrouve Zina en petite serviette en train de remuer son corps. Je la regardais tel un tanjine puis quand ses yeux se lève vers le miroir elle s'arrête en me regardant à travers.

Moi sourire en coin — j'apprécie que tu te donne à fond quand je suis là mais on voit ta petite culotte

Zina me fixant à travers le miroir —qui t'as dit que j'en avais une Yûnûs ?

Je la regarde presque choquée et je m'approche d'elle puis la retourne face à moi. J'avais chaud, trop chaud. J'approche mon visage du sien et lui mord sa lèvre inférieure puis je me remet à la fixé avec mon petit sourire en coin.

Moi — je n'en suis pas certain, tu ne veux pas que je vérifie ?

Zina partant — les rêves, c'est la nuit

J'étais encore debout je la regardais partir. Je me met à me regarder à travers le miroir j'ai même oublier ma venue ici, à présent je pensais juste à une seule chose.

Moi — il me faut du sexe bordel.

Fin du chapitre 🌺💫

VITALE.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant