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Partie 32.

<Je t'aime comme un malade, j'vois que tu sais pas toi

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<Je t'aime comme un malade, j'vois que tu sais pas toi.>
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*DANS LA PEAU D'EYLEM*

3 septembre.

Je plaçais tranquillement mes vêtements dans valises en croisant les doigts pour que tout entre, vu le nombre incroyable de cadeau que mes cousins, tantes et oncles m'avaient donnés. C'était demain matin que nous partions, le vol était programmé à 6h ne nous laissant donc que cette journée pour profiter de notre famille. J'étais triste mais je préférais peut-être retourné là-bas afin d'être éloignée de toutes ces histoires de Kidnapping.

J'allais fermer ma première valise lorsque la voix de Fathia devant la porte attire mon attention,

-Fathia : T'as d'la place dans ta valise ?

Je me tourne vers elle et lui fais un non de la tête.

-Moi, en riant : Toi aussi, ils t'ont gaver de cadeaux ?

Elle me fait un oui de la tête en rigolant et vient se jeter sur mon lit. Elle s'allonge et fixe le plafond un instant avant de s'adresser à moi.

-Fathia : C'est bête parce que j'commençais à bien aimer vivre ici. Ça ne te manque pas un peu à toi ?
-Moi, avec un sourire triste : Si, mais faut qu'on continue nos vie Fathia.
-Fathia : Mais c'est ici qu'elle a débuter justement, pourquoi on ne reste pas ? On revient pas au bercail ?

Je lui fais un petit sourire même moi je ne savais pas ce que je voulais, rester ici ou retourner aux Bahamas. La seule chose qui m'empêchait de rester ici, c'était Anna, elle me manquerait beaucoup trop, mais ici je me sentais bien, près de ma famille, près de ceux avec qui j'ai grandi.

-Moi : On verra bien, toi pour le moment termines ta valise, on part demain très tôt tu le sais.

Elle souffle fatiguée et sort de ma chambre pour rejoindre la sienne. Moi de mon côté je continue de faire soigneusement ma valise en repensant à ce qu'elle avait dis, c'est vrai que ce serait chouette de revivre ici.

[...]







































*16H30*

J'enfile mon blouson, lace la paire de basket à mes pieds et sort en prenant soin de prévenir que je ne tarderais pas. J'allais faire un petit tour une dernière fois avant notre départ. Je ne savais pas quand est-ce que nous reviendrons en France mais j'espérais le plus tôt possible.

 «Se Quitter, Pour Mieux Se Retrouver.»Où les histoires vivent. Découvrez maintenant