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Partie 58.

<Le temps m'a réparé, plus rien n'est comme avant

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<Le temps m'a réparé, plus rien n'est comme avant.>
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*DANS LA PEAU D'EYLEM*

03 Avril

-Maman : Tu veux divorcer ?
-Moi : *J'hoche la tête positivement*
-Maman : Le père de ton enfant qu'est ce qu'il en dit ? Tu es sûr qu'il s'occupera de vous ? Tu seras heureuse avec lui ?
-Moi : J'en suis certaine maman !

Elle a affiché un petit sourire puis m'a caressé les cheveux.

-Maman : Chacun d'entre nous a commis des erreurs, toi, tes frères, ta sœur, moi ou même ton père alors ne laisse pas ça t'empêcher de vivre.

Lorsqu'elle m'a dit ça je n'ai pas pu m'empêcher de repenser à ce que Dario m'avait dit.

-Moi, hésitante : Maman ? En parlant de papa, il faut que tu saches...

Je ne finis pas ma phrase qu'on entend taper à la porte et brusquement Aymen entre dans la pièce.

-Aymen : Surprise !

J'ai immédiatement affiché un large sourire. Cela faisait un moment que je n'avais pas vu mon frère.

-Maman : En parlant du loup...
-Aymen : Vous parliez de moi ? En bien j'espère ! Et maman c'est quoi cette voix ? Tu pourrais un peu plus te réjouir de me voir, non ? Et Eylem il est où mon neveu que je lui pince les joues ?
-Maman : Déjà, viens là embrasser ta vieille mère.

Il l'a prise dans ses bras et lui a embrassé le front.

-Maman : Tu es venu avec mes petits-enfants ?
-Aymen : Si j'étais venu sans eux tu m'aurais fais repartir alors ouais, ils sont au salon.
-Moi : C'est vrai ?!

J'ai souri de toutes mes dents et je suis tout de suite descendu au salon. Mais avant d'atteindre le salon, je me suis arrêté dans un coin des escaliers et j'ai soufflé un grand coup. Bien que je n'avais pas réussi à parler à ma mère de mon père, j'avais au moins pu lui parler de Fadel et savoir que j'avais son soutien était là plus belle chose qui pouvait m'arriver. Je me sentais plus légère. Et maintenant que j'allais revoir ma belle-sœur et mes neveux, je devais sans conteste reprendre goût à la vie.

J'ai poursuivi mon chemin et lorsque je suis arrivé au salon, j'ai vu les jumeaux sagement assit sur le canapé. Lorsqu'ils m'ont vu, ils ont couru jusqu'à moi et se sont jeté dans mes bras.

 «Se Quitter, Pour Mieux Se Retrouver.»Où les histoires vivent. Découvrez maintenant